En résumé :

D’après les études recensées, les déficits des enfants dyslexiques pourraient donc ne pas simplement relever d’une difficulté à traiter des stimuli acoustiques rapides, mais une composante linguistique/phonologique serait centrale dans les difficultés d’apprentissage en lecture. C’est justement dans cette perspective que nous nous plaçons dans ce travail de thèse. Nous supposons des anomalies du codage phonologique en lecture chez les enfants dyslexiques, un de nos objectifs étant de préciser si ce déficit concerne des traits phonologiques.