Université Lumière Lyon 2
École doctorale : Sciences sociales
Faculté des Lettres, Sciences du langage et Arts
Équipe de recherche : Histoire et Sources des Mondes Antiques – Institut Fernand Courby & Institut des Sources Chrétiennes
Abraham dans l’exégèse de Philon d’Alexandrie
Enjeux herméneutiques de la démarche allégorique
Thèse de doctorat de Langues, histoire et civilisations des mondes anciens
Sous la direction d’Olivier MUNNICH
Présentée et soutenue publiquement le 14 décembre 2010
Devant un jury composé de :
Olivier MUNNICH, Professeur des universités, Université Lyon 2
Francesca CALABI, Professeur d’université, Universita degli Studi di Pavia
Carlos LÉVY, Professeur des universités, Université Paris 4
Jean SCHNEIDER, Professeur des universités, Université Lyon 2
Marie-Odile BOULNOIS, Directeur d’études, École Pratique des Hautes Études

Contrat de diffusion

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[Dédicace]

À la mémoire de Sophie Kessler-Mesguich

Remerciements

Je tiens à remercier en premier lieu mon directeur, M. Olivier Munnich, pour m’avoir opportunément aiguillé vers l’étude de Philon d’Alexandrie et m’avoir depuis constamment aiguillonné, soutenu et conseillé dans cette entreprise, en consacrant un temps précieux à la relecture et à la correction de toutes ces pages.

Je voudrais également remercier M. Carlos Lévy pour ses conseils éclairants ainsi Mme Marie-Odile Boulnois qui m’a aidé à clarifier mes idées en me proposant de les présenter lors de son séminaire à l’EPHE.

Je tiens encore à remercier tout particulièrement le P. Alexis Leproux pour m’avoir donné des clés essentielles pour entrer dans l’œuvre de Philon – comme pour en sortir – ainsi que Christophe et Jérôme pour nos riches échanges sur les questions d’herméneutique.

Mes remerciements vont encore à mes collègues de l’université Lyon 2 et à l’équipe des Sources chrétiennes pour m’avoir chaleureusement accueilli parmi eux dans le cadre d’un monitorat puis d’un poste d’ATER, me donnant ainsi les moyens non seulement d’entreprendre mais encore de conclure sereinement mon travail.

Je voudrais également témoigner de ma grande reconnaissance à l’égard du Centre de recherche français à Jérusalem et de ses membres qui m’ont permis de me consacrer pendant une année à mes recherches dans des conditions uniques et de rédiger l’essentiel des pages qui suivent. Je remercie également bien chaleureusement frère Albert et frère Daoud ainsi que tous les occupants du Collège des Frères qui m’ont entouré de leur amitié, notamment durant les derniers mois de labeur que j’ai passés avec eux à Jérusalem.

Je ne peux enfin que remercier vivement tous mes relecteurs : mes parents, Étienne, Hélène, Nathalie, Anne-Catherine, Vinciane, Julien, Ariane, Patrick et Anne, et tous ceux qui d’une manière ou d’une autre, en bibliothèque et ailleurs, m’ont accompagné et encouragé durant ces quatre années.