Conclusion

La première partie s’achève en montrant comment le Kenya possède bien des attractions touristiques diversifiées, différentes de son image de savanes, de safaris, de big five et de la côte swahilie. Par contre, parmi ces attractions se trouvent des parcs nationaux qui sont des lieux privilégiés pour l’écotourisme. Depuis la création de Yellowstone aux Etats-Unis, et jusqu’à maintenant, ces espaces ont entraîné des incompréhensions et des rejets. Les problématiques au sein et autour de ces lieux protégés changent constamment. Cela pourrait nous aider à comprendre globalement le rapport espaces/société, car on constate une évolution constante du paysage. Le tourisme au Kenya dépend largement des ressources naturelles : la faune, la flore et la plage. Avec une biodiversité abondante et une naturalité de ces territoires, la forêt de Kakamega, le parc de Saiwa et celui du Mont Elgon sont de véritables destinations « écotouristiques » potentielles. Enfin, ces territoires constituent des destinations alternatives du pays présentant une autre façon de faire du tourisme, loin des safaris passifs en voiture.