Deuxième partie : Vers la mise en tourisme des régions moins exposées au tourisme ?

Introduction

Dans cette partie, le chapitre 4 propose une méthodologie à suivre dans la question de la mise en tourisme des ‘nouveaux’ territoires au Kenya.

En outre, l’écotourisme auprès des milieux naturels marginalisés, parfois identifié comme community based tourism chez les Anglo-saxons, a besoin de la participation des communautés autochtones. Certains le connaissent simplement comme le tourisme pour les pauvres (PPT) – pro poor tourism –, celui-ci générant clairement des avantages pour les plus démunis. Le chapitre 5 examine le choix du tourisme comme modèle de développement territorial. Alors, le tourisme chez les autochtones, comment se pratique-t-il à l’ouest du Kenya et ailleurs dans le pays ? Quel espoir dans ce choix de développement territorial ?

Dans cette partie, le chapitre 6 présente la société locale de Kakamega et de Saiwa en montrant sa relation avec les milieux naturels. Il montre que les sociétés locales peuvent profiter du tourisme si elles créent elles-mêmes leurs petites entreprises. C’est le cas des guides touristiques de Kakamega et l’association « KEEP » (Kakamega Environmental Education Programme) dont les membres sont les villageois. Alors quels sont les exemples du tourisme diffus autochtone dans nos terrains d’étude ? Qui sont les clients visitant cette partie du Kenya ?