7.2. Limites et paradoxes de l’écotourisme au Kenya

L’Afrique possède de paysages favorables à l’écotourisme ce que Roland Pourtier résume par la formule « nulle part ailleurs au monde le tourisme n’est aussi prioritairement, voire exclusivement, orienté vers la nature »350 que sur le continent africain. La création et l’exploitation des aires protégées ont entraîné incompréhensions et rejet. Elles sont vécues comme une confiscation de la ressource. Actuellement, il existe un conflit entre les programmes de conservation et les besoins des populations locales. Cependant, le gouvernement kenyan reconnaît la nécessité de faire participer les populations locales dans l’activité touristique. Alors, existe-t-il de vrais exemples de l’écotourisme au Kenya ? Qu’entend-on par tourisme de safari ? Parle-t-on de la même chose quand on fait référence au concept de l’écotourisme ?

Figure 16 : Une représentation typique de l’itinéraire du tourisme de masse enclavé.

Source : Odiara B., 2010.

A partir des années 1950, l’activité touristique est en pleine expansion dans le monde. En ajoutant le mot « masse » à celui de tourisme (tourisme de masse), la perception envers cette activité est transformée : un tourisme qualifié à partir de 1950 de « populaire »351, un tourisme d’« aujourd’hui »352, un tourisme « pour tous »353, malgré son image négative beaucoup plus médiatisé. De plus, le tourisme de masse – souvent caractérisé par les comptoirs touristiques qui sont autosuffisants – est considéré comme un destructeur de l’environnement naturel, social et économique ; un tourisme enclavé (fig. 16), standardisé et concentré.

A la suite des nuisances écologiques posées par le tourisme de masse sur les milieux, la « capacité de charge », un concept beaucoup critiqué, intervient dans leur protection. Butler, dans les années 1980, a démontré que la plus forte fréquentation touristique induit d’importantes modifications et qu’une destination touristique possède une résistance limitée à la pression, au-delà de laquelle elle se dégrade.

Ce concept (capacité de charge) fait encore débat bien qu’il soit difficile de mesurer un seuil de saturation pour un territoire ou un espace ouvert comme les parcs. En effet, Deprest observe que la capacité de charge « n’est pas une valeur absolue à découvrir »354 car elle se lie à une série de valeurs – physiques, écologiques, sociales et économiques, psychologiques, anthropologiques et culturelles. Ces valeurs restent problématiques parce qu’ils ne peuvent pas être considérés simultanément. Aussi, malgré l’utilisation de ce terme dans les textes, ce concept reste facilement applicable en écologie mais difficile en ce qui concerne l’activité touristique au sein des aires protégées.

En plus du concept de capacité de charge s'ajoute celui du tourisme dit alternatif au tourisme de masse. Selon les auteurs, ce tourisme « alternatif » est qualifié comme approprié, doux, responsable, vert, de nature ou bien d’écotourisme … Le tourisme alternatif se positionne dans une posture de redéfinition des rapports Nord-Sud. Il se compose de trois types du tourisme : le tourisme solidaire/équitable, le tourisme d’aventure et l’écotourisme. Chacun se différencie par une motivation dominante.

Le tourisme équitable est orienté vers des échanges et des partenariats avec des communautés au bénéfice de ces dernières355. Celui du tourisme solidaire se concerne avec la mise en œuvre de micro projets à vocation humanitaires ou d’aide à un développement raisonné réalisés après une évaluation objective des besoins ou des marques356. La motivation dominante dans le tourisme d’aventure est pour conquérir la nature. Il incorpore un élément de risque ainsi qu’un haut d’effort physique sans être nécessairement axé aux critères de durabilité. Enfin, l’écotourisme concerne principalement des zones protégées ou fragiles avec la motivation d’observer, de découvrir et d’interpréter la nature – le cas de Saiwa et de Kakamega.

Le Kenya faisant partie des pays touristiques d’Afrique subsaharienne les plus visités, privilégie la notion de l’écotourisme – une notion développée dans la foulée du mouvement environnemental au début des années 1970. A partir des années 1980, la perception sur le tourisme comme un choix anodin de développement pour des pays a changé lors de la création des lobbies environnementaux tels que le « Tourism Concern » au Royaume-Uni et l’ « Ecotourism Society » aux Etats-Unis357. Pendant cette période là, le concept de l’écotourisme apparut dans les milieux naturalistes en Amérique du Nord suivi de la démarche institutionnelle mise en place à partir des années 1990 avec la création de TIES358 (The International Ecotourism Society).

L’écotourisme se présente ainsi comme une forme de tourisme qui ne détruit pas l’environnement naturel, mais contribue à sa protection. Cette idée nous semble rhétorique car la recherche empirique fait ressortir le fait que l’écotourisme a aussi des impacts négatifs sur les milieux et la communauté d’accueil359. Sa contribution au développement notamment au bien-être des populations locales, à la protection des zones fragiles et à la sauvegarde des cultures des populations d’accueil, participe à un paradoxe. En tout cas, deux scénarios ressortent dans la description de l’écotourisme au travers de publications du tourisme360 :

  • soit qu’on ne parle pas d’écotourisme
  • soit que la différence entre l’écotourisme et le tourisme dit conventionnel est très étroite.

Malgré les progrès réalisés en matière de recherche en écotourisme, un travail considérable reste à faire pour mettre au point des projets efficaces au bénéfice des communautés locales. Il reste à connaître l’élément principal assurant la réussite d’une destination écotouristique. Est-il la fréquentation touristique vers des milieux naturels – le cas de Maasai Mara au Kenya ? Est-il la sauvagité d’une destination donnée – le cas des parcs nationaux ? Ou simplement les avantages économiques qui en découlent pour la communauté d’accueil – le cas d’un projet communautaire de Kimana group ranch près d’Amboseli au Kenya ?

Etant donné la diversité des acteurs en écotourisme, on constate le fait que chacun le perçoit de sa propre manière. Par exemple, Nadeau décrit le vacancier de l’écotourisme comme celui « à la recherche d’authenticité ; il veut avoir accès à des espaces éloignés, sauvages, uniques. Il veut qu’on lui transmette des informations éducatives et scientifiques de première qualité ; il préfère voyager par petit groupe et selon ses affinités et il cherche toujours une occasion de contribuer à la conservation. Cette personne veut observer, photographier, peindre, faire de la spéléologie, goûter à la cuisine locale, découvrir l’histoire du coin de pays visité… »361. Selon cette définition, l’écotourisme constitue un voyage dans un espace peu transformé, (« menacé », « vierge » ou « presque vierge ») par les activités humaines. Il favorise la moindre promiscuité des touristes afin d’avoir dans la mesure du possible, un impact minimum sur le milieu.

Par contre, « …la restriction n’est pas vraiment une option durable si elle nie aux populations locales le potentiel de se développer »362. Une idée partagée par Vivien en disant que « la croissance (touristique) devient la solution aux problèmes posés »363. Dans ce contexte, la protection de l’environnement ne se résume pas à la limitation du nombre de touristes mais à la mise en tourisme de ces espaces pour faire profiter les masses et la conservation de la biodiversité.

Les discours autour du nombre de participants dominent les débats sur l’écotourisme. Cependant, dans la réalité, ce concept ne se limite pas aux nombres des touristes mais à leurs comportements. On constate que, dans l’histoire du tourisme moderne, l’industrialisation a joué un rôle déterminant. Pour le Kenya, dont l’objectif est de devenir industrialisé en 2030364, on fait l’hypothèse que cela va fortement favoriser le tourisme international ainsi que national. Pour le moment, on fait un appel sur le renouvellement du regard porté à l’écotourisme. Les destinations touristiques doivent se préparer à l’augmentation de la fréquentation touristique car « …rien, pour l’instant, ne nous autorise à penser qu’ils puissent être un jour les lieux touristiques de demain, sauf à se densifier »365.

Par ailleurs, Weaver ajoute qu’il serait immoral de refuser aux touristes l’accès, au nom du respect de la capacité de charge366. Certes, pour certains, le concept de capacité de charge n’est plus admissible scientifiquement367, et il semble démodé et inadapté à l’activité touristique. Alors, la proposition de lutter contre la massification en écotourisme n’est pas dénuée d’erreurs par rapport au sens premier d’écotourisme. On met en exergue le fait que la définition initiale donnée par le Mexicain Ceballos-Lascurain en 1996, le fondateur de l’écotourisme, ne s’est pas préoccupée du nombre d’éco-voyageurs.

Pour certains, l’écotourisme serait une « culture qui exige une approche douce, mesurée, patiente, orientée sur le long terme »368. Il respecte l’environnement naturel et humain en favorisant les initiatives autochtones telles que KEEP. Il s'appuie sur des principes de solidarité, d’éthique, d’équité, de responsabilité et de coopération369. Les discours catastrophiques sur les effets pervers du tourisme permettent de légitimer des pratiques de répression et d’exclusion des populations locales.

Mais, si on fait de l’écotourisme un modèle de développement territorial, pourquoi lutter contre sa massification ? Entre les valeurs et les buts affichés existe un écart. La modestie de la taille des projets contribue-t-il au développement économique au niveau local ? Les contradictions subsistent, car à travers de l’écotourisme, on recherche le développement tout en craignant en même temps sa popularité et les effets pervers qu’il est capable d’amener.

Pourquoi a-t-on peur de la démocratisation ou de l’amplification du concept noble de l’écotourisme ? Peut-on justifier et soutenir la conservation sans le tourisme ? L’Equipe MIT (2008) nous averti contre les scientifiques qui se contentent de véhiculer l’idéologie dominante et de cautionner toutes les entreprises. Par exemple, Kurt Kutay propose que « pour éviter que le ‘vrai écotourisme’ ne soit remplacé par un tourisme de masse destructeur et qu’un site ne soit irrémédiablement déprécié ou saturé, il est nécessaire d’imposer des quotas de visiteurs ». Pourtant, les quotas limités n’auraient qu’un impact minime sur la réduction de la pauvreté sans présenter les conditions optimales de réussite économique pour les visités (encadré 7.4). Le principal obstacle ici n’est pas d’arriver à des chiffres sur les quotas définis. C’est plutôt la possibilité de son application sur le terrain.

Les exemples ne manquent pas. C'est le cas de la baie de Corisco au Gabon où il y a une cinquantaine des pêcheurs spécialisés dans la chasse à la tortue verte à des fins commerciales. Là, un projet écotouristique en association avec un hôtel d’une capacité de 10 chambres sur cette île370, générait-il assez de revenus pour devenir un projet alternatif à la chasse ? En Equateur dans le village de Huaorani cité par Blangy, y a-t-il un impact économique significatif résultant d’une seule cabine d’une capacité de huit visiteurs accueillant un seul groupe par mois séjournant pendant deux à huit jours ?371 Et la loge située à Il Ngwesi au Kenya avec 12 chambres et 30 emplois générés pour une communauté de 5.520 membres372 peut-il satisfaire aux besoins actuels de cette population ? A quelle échelle ces projets permettent-ils la conservation et le bien-être des populations locales ? A partir de quel seuil pourrons-nous dire que la communauté participe et profite ?

Il est clair que ce sont les touristes qui font fonctionner le système. Ainsi sans leur nombre suffisant, les petits projets florissant comme les bandas à Kakamega se rentabilisent mal. Le modèle actuel de Community Based Tourism au Kenya n’a pas contribué significativement au développement économique des populations concernées. Il faudra noter que la société est composée des individus. Même si la protection de la faune et de la flore est considérée plus performante que l’agriculture373, celle-ci apporte des avantages plus personnels que le tourisme.

En outre, l’absence de tourisme comme dans la plupart des forêts du Kenya, ne garantit pas leur conservation. En écrivant sur le Gabon, Rieucau affirme que « en absence de ‘tourisme de vision’ valorisant cette espèce (éléphants) … les Etats et les sociétés locales ne protègent pas ces animaux »374. Quant à Brunel, la Grande Barrière de Corail en Australie a été protégée de la destruction par sa mise en tourisme375. Alors, à l’instar d’un prédateur dans un milieu naturel, le touriste « détruit » pour préserver. Cela signifie qu’on pourrait accepter quelques inconvénients provenant de cette activité pourvu que ces impacts positifs soient évidents. L’enjeu principal réside dans la protection de l’environnement, d’une part pour le tourisme, et d’autre part pour le protéger des effets néfastes de l’activité touristique.

Parmi les exemples, on cite celle de Rhino Charge 376 au Kenya. Cette activité demeure peu soucieuse de la question environnementale, malgré la participation limitée de 60 participants. Toutefois, les retombées économiques de cette manifestation participent fortement au financement de la construction d’une barrière électrique autour de la forêt d’Aberdaire au Kenya, un outil important pour la conservation de cet écosystème (tableau 23).

En plus, le tourisme existe pour profiter de ces espaces dits conservés et pour pouvoir justifier leur existence. A titre d’exemple, les éléphants du Kenya étaient jadis connus pour détruire les champs des villages voisins comme à Kimana et à Mwaluganje. A l’heure actuelle, ils sont jugés utiles grâce au tourisme à travers les revenus qu’ils génèrent pour cespopulations.Par exemple, le revenu touristique dégagé par un lion au Kenya est évalué à $ 27.000 tandis que celui d’un groupe d’éléphants se monte à $ 610.000 par an377. On évalue celui des flamants roses aux lac Nakuru à $ 7,5-15 M par an378.

Il est évident que les activités touristiques comme Rhino Charge ne sont pas des opérations anodines et sans risques. Par contre, la géographe Deprest demande ouvertement s’il faut tuer les touristes379 à cause des impacts négatifs qu’ils génèrent. En plus, l’équipe MIT dans leur défense de l’activité touristique se demande ironiquement pourquoi on encourage une activité qui est nuisible aux paysages et aux cultures380. Le tourisme reste une activité nécessaire et utile au monde actuel malgré son caractère destructeur : il fait découvrir des paysages et des cultures, aboutissant ainsi à leur conservation.

Tableau 23 : Les revenus générés par la compétition ‘Rhino Charge’ au Kenya depuis son inauguration.

Source : www.rhinocharge.co.ke (date consultée 03/06/2009)

Le Kenya encourage le tourisme dans ses aires protégées pour rentabiliser les efforts liés à la conservation de biodiversité. Parmi les activités proposées, se trouve le marathon de safari du nom de sotokoto 381 depuis le parc national de Nairobi en 2009, qui a attiré 2.000 participants pour soutenir les efforts de conservation de la biodiversité au Kenya. De plus, depuis septembre 2003, l’événement annuel nommé cycle with Rhinos a lieu au parc National du lac Nakuru qui a rassemblé 62 cyclistes en 2008 générant ainsi près de 86.000 euros de chiffre d’affaires. La totalité de cette recette a été versée à des projets communautaires et à la construction d’une barrière anti-babouins autour de la partie avoisinante des habitations humaines de ce parc. Enfin, A Lewa, un marathon dans le calendrier de la conservation au Kenya depuis 10 ans a généré jusqu’à maintenant 1,3 millions d’euros. Celui-ci a été utilisé aussi dans les projets communautaires afin de soutenir la conservation de la biodiversité.

Pour le tourisme, l’essentiel réside dans l’invention d’autres solutions comme le fait le KWS plutôt qu’envisager de limiter son essor. Il faudra trouver des solutions qui peuvent soutenir la conservation de la biodiversité et aider à lutter contre la pauvreté car, même s’il est évident que le tourisme pollue, la « pauvreté en soi est aussi une pollution qui, à sa façon, agresse l’environnement »382 davantage.

Pour des acteurs locaux et plus particulièrement la communauté d’accueil, l’écotourisme comprend les projets menés avec leur participation pour leur profit en favorisant la pratique du tourisme à une échelle plus petite. La relation entre la communauté locale et le tourisme est un thème central au sein de l’OMT (Organisation Mondiale du Tourisme), qui considère le tourisme comme un outil véritable du développement pour les pays pauvres. Cette organisation est en train de poursuivre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) conçus par des Nations Unis, parmi lesquels assurer un environnement durable et combattre la pauvreté à travers le tourisme. Pour elle, le tourisme reste l’un des moyens qui pourraient jouer un rôle moteur dans la croissance économique à différentes échelles : internationale, nationale, régionale et locale.

Par diverses activités, et à travers de nombreux acteurs, publics ou privés, nationaux ou locaux, le tourisme démontre la capacité à créer des emplois et à apporter de nombreux d’autres avantages sociaux et économiques aux couches sociales les plus pauvres de la population. Au Kenya, le projet de Mwaluganje Wildlife Sanctuary a généré 19 emplois à temps complet383, celui de Kimana Wildlife Sanctuary en partenariat avec African Safari Club génère un revenu de 70.000 euros par an. De plus, au Kenya, les recettes dûes à l’activité touristique au sein des parcs nationaux sont estimées à 50 fois plus que la valeur des recettes la plus optimiste de l’agriculture sur le même terrain384. Mais, cette affirmation ne constitue pas la vérité absolue pour tous les territoires comme le démontre l’exemple du Zimbabwe385 : revenus agricoles de 4.566 dollars par Km² et revenus CAMPFIRE (Communal Area Management Programme For Indigenous Ressources) tirés de la chasse sportive de 186 dollars par Km² (encadré 7.2).

Enfin, si le débat se poursuit sur la définition précise de l’écotourisme, on cite celle donnée par la TIES (1991) qui définit l’écotourisme comme:

‘« Une forme de voyage responsable dans les espaces naturels, qui contribue à la protection de l’environnement et au bien-être des populations locales ». ’

Alors, que signifie un voyage responsable ? Dans la pratique, un voyage touristique commence à domicile. Ainsi la plupart des touristes internationaux vers des destinations lointaines utilisent le même moyen de transport. Par conséquent, la « responsabilité » dans le voyage reste théorique, puisque c’est différent dans la pratique. En effet, « les destinations décrites dans le guide sont situées dans des lieux souvent reculés qui nécessitent de longs voyages d’approches. Or, le secteur des transports représente aujourd'hui la source la plus importante de gaz à effet de serre. A lui seul, le transport aérien responsable, chaque année, de l’émission de 600 millions de tonne de dioxyde de carbone »386. Jusqu’à présent, cet aspect de voyage ne différencie pas l’écotourisme d’autres tourismes sauf une fois sur place où on peut utiliser les moyens de transports légers – à pied, VTT, vélo, chameau…

Notes
350.

Pourtier, op.cit.

351.

Williams, op.cit.

352.

Deprest, op.cit.

353.

Boyer, op.cit, 1999.

354.

Deprest, op.cit.

355.

Lamic, Tourisme Durable, Utopie ou Réalité ? Comment Identifier les Voyageurs Eco-Responsables ? L’Harmattan, 2008, p 190.

356.

Ibid, p 190.

357.

Holden, op.cit.

358.

AFIT, Ecotourisme, Expériences Françaises, les cahiers de l’AFIT, guide de savoir-faire, 2002.

359.

Cf. Duffy, op.cit.

360.

Voir par exemple la publication de Duffy, op.cit. Ce livre ne fait pas de distinction entre l’écotourisme et le tourisme axé sur la nature.

361.

Nadeau, Tourisme et Environnement, Presses université du Québec, 2000, p 75.

362.

Cater, op.cit, 1994a, 81p.

363.

Vivien, op.cit.

364.

Kenya Government of, op.cit, 2007b.

365.

Equipe MIT, op.cit., 2002.

366.

Weaver, op.cit, 2003.

367.

Equipe MIT, op.cit., 2002.

368.

Cazelais, op.cit, p 59.

369.

Blangy et Laurent, op.cit., p 38

370.

Rieucau, op.cit, 2001.

371.

Blangy, op.cit., p 4.

372.

Manyara, Jones, Community-Based Tourism Enterprises Development in Kenya: An Exploration of their Potential as Avenues of Poverty Reduction, Journal of Sustainable Tourism, vol. 15, n° 6, 2007.

373.

« Une étude sur l’Amboseli a démontré qu’elle rapporte 18 fois plus de revenus en tant que parc d’attraction qu’en tant que centre de production de viande bovine dans des conditions optimales » (Kutay, op.cit., 1993).

374.

Rieucau, op.cit., 2001, p 420.

375.

Brunel, op.cit.

376.

Evénement annuel réservé à des 4x4 qui font la course hors piste en pleine nature.

377.

Mc Neely, 1988, cité par Fennell, 1999, op.cit. Cf. aussi Sherman, Dixon, The Economics of Nature Tourism: Determining if it Pays, p 89-131, 1991.

378.

Navrud et Mungatana (1994) cité par Lilieholm et Romney, op.cit.

379.

Deprest, op.cit.

380.

Equipe MIT, op.cit., 2002.

381.

Mot japonais signifiant la conservation.

382.

CMDE, cité par Deprest, et al.

383.

Manyara, Jones, op.cit.

384.

Boo, 1990, cité par Holden, op. cit.

385.

Rodary, Mobiliser pour la Nature, ou la Construction et la Disparition du Local, Belin-Reclus, 2007.

386.

Blangy et Laurent, op.cit., p 43.