Université Lumière Lyon 2
École doctorale : Sciences sociales
Équipe de recherche : Histoire et Archéologie des mondes chrétiens et musulmans médiévaux
Implantation et hydraulique monastiques : le cas de Cluny
Thèse de doctorat en Langues, histoire et civilisations des mondes anciens
Sous la direction de Nicolas REVEYRON
Présentée et soutenue publiquement le 30 mars 2010
Membres du jury :
Nicolas REVEYRON, Professeur des universités, Université Lyon 2
Bruno PHALIP, Professeur des universités, Université Clermont-Ferrand 2
Andreas HARTMANN-VIRNICH, Professeur des universités, Université Aix-Marseille 1
Paul BENOIT, Professeur émérite

Contrat de diffusion

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Remerciements :

Je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont aidé et soutenu dans ce travail,

en tout premier lieu, mes directeurs de thèse successifs, Jean-François Reynaud et Nicolas Reveyron, pour le temps qu’ils ont bien voulu me consacrer,

Christian Sapin, qui m’a lancé en 1988 sur le site de Cluny et qui se trouve finalement à l’origine du choix du sujet de ce travail,

Paul Benoit, toujours partant pour une expédition dans les sous-sols,

Sylvain Cornic, qui m’a régulièrement assisté et avec qui j’ai partagé, outre l’amitié, des moments d’émerveillement et de frayeurs dans les couloirs sombres des entrailles de la ville et de l’abbaye,

Luc Françoise-dit-Miret, actuellement au Service Régional de l’Archéologie de Rhône-Alpes qui a pu prendre beaucoup d’intérêt à l’étude archéologique de Cluny, alors qu’il était Ingénieur de l’archéologie en Bourgogne,

la Conservation Régionale des Monuments Historiques et le Service Régional de l’Archéologie de Bourgogne,

l’Inrap avec Nicole Pot, directrice générale, et Pascal Depaepe, directeur scientifique et technique, qui m’a permis, en m’octroyant un congé recherche, la possibilité de terminer ce travail,

les conservateurs du musée d’Histoire et d’Archéologie de Cluny, en particulier, Brigitte Maurice-Chabard, Dominique Vingtaing et Anne de Thoisy ainsi qu’Hélène Tomasyck, secrétaire du musée, qui m’ont ouvert les portes du musée et ses archives,

l’Ecole Nationale des Arts et Métiers et son directeur qui a pu m’autoriser à fréquenter les réseaux de canalisations, les étudiants qui m’ont donné beaucoup d’informations relatives à l’hydraulique,

La ville de Cluny et plus particulièrement monsieur Matesiczek, responsable des services techniques,

Les équipes des différents chantiers archéologiques et en particulier Anne Baud et Ghislaine Macabéo.

Marianne Escoffier, Marion Fouchet et Emma bouvard, étudiantes à l’Université de Lyon II, pour les riches prospections des sites cisterciens de Rhône-Alpes-Auvergne,

Enfin, tous ceux qui me pardonneront pour l’oubli de leur nom au moment où j’écris ce texte.

Je tenais en dernier lieu à remercier mon épouse Juliette et mes trois filles Lidwine, Clara et Floriane qui m’ont toujours encouragé à continuer et qui ont souvent oublié que vacances pouvaient ne pas rimer avec longues visites de monastères plus ou moins ruinés.