Conclusion

Ces monographies font ressortir plusieurs cas de figures. Chaque entreprise a ses caractéristiques propres depuis le processus de sa création (constitution de son capital, nombre d’actionnaire, type de financement…) jusqu’aux moyens disponibles (véhicules, effectifs employés…). Pour certaines d’entre elles, la répartition des tâches est structurée comme par exemple la société BITTAR au Mali avec une distinction nette des différentes fonctions de la compagnie. Pour d’autres par contre, l’organigramme n’est pas complet ce qui entraine des failles dans l’organisation et le fonctionnement de ces entreprises. Cela peut laisser supposer un enchevêtrement dans la réalisation des tâches et un manque de coordination des différentes opérations de gestion de l’entreprise. Il s’agit là d’un premier handicap pour toute élaboration d’une stratégie par l’entreprise. Malgré ces différences, ces entreprises ont en commun les attentes pour les perspectives futures du secteur. Elles restent conscientes des entraves au développement de leurs activités et espèrent toutes, plus d’implication des acteurs dans la compétitivité du secteur.