Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons « Paternité – pas d’utilisation commerciale - pas de modification » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d’en mentionner le nom de l’auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l’adapter ni l’utiliser à des fins commerciales.
Pour qu’un enfant grandisse, il faut tout un village
Proverbe africain
A ma famille
Louise ma chère Liza qui a tenu le gouvernail, gardant le cap en toutes circonstances
Daba, prodigue en encouragements
Mamy Diouma « zozo »
« Tonton » Alioune Badara
Fatou Bintou « bé fa »
Diouma Touty « la belle »
Mouhamadou Thiéyacine « junior »
Quatre professeurs de français ont accepté de soumettre leurs pratiques à notre regard dans un contexte où l’enseignant est encore très jaloux des « secrets » de sa classe. C’est grâce à la générosité intellectuelle et professionnelle de mesdames O. Ndiaye et A. Coly, de messieurs N. Niang et A. Keita, que nous avons pu conduire nos recherches. Nous les remercions de leur dévouement. Nous y associons les chefs des établissements qui nous ont accueilli pour leur compréhension, voire leur complicité en pensant notamment aux efforts déployés par monsieur A. Diop du CEM / U 19 afin de nous mettre dans les meilleures conditions.
Ils sont nombreux à avoir été à nos côtés, nous apportant leur assistance technique, nous manifestant leur soutien de tous les instants, nous conseillant et acceptant de nous relire. Nous pensons à nos jeunes caméramans : M. Sy et son ami, à F. Lupu, A. B. Diané, O. S. Fall, à toutes celles et tous ceux que nous avons sollicités dans le cadre de nos recherches. Nous voudrions leur en remercier
Et puis il y a le soutien financier sans lequel rien ne serait possible. C’est le lieu de dire toute notre gratitude à l’endroit de notre bailleur, Asiyla Gum Company, qui a bien voulu financer nos études. Nous confondons dans ces remerciements Mme Diallo ancienne directrice de la coopération de l’UCAD et monsieur Diallo, le gestionnaire de la bourse.
Nous avons mené ce travail sous la direction de R. Bouchard et H. N. Sall. La disponibilité jamais démentie de l’un, la sollicitude de l’autre ; le regard bienveillant mais toujours critique du premier, les encouragements du second ont été nos meilleurs soutiens. Que vous puissiez lire à travers ces mots l’expression de notre grande reconnaissance.