Université Lumière Lyon 2
École doctorale : Sciences de l’éducation, Psychologie, Information, Communication
Institut de la Communication
Équipe de recherche : Triangle
Dire(s) d’urgence
La psychiatrie d’urgence comme structure de médiation. Statut de la parole et de la communication à l’hôpital
Thèse de doctorat en Sciences de l’information et de la communication
Sous la direction de Bernard LAMIZET
Présentée et soutenue publiquement le 6 décembre 2010
Membres du jury :
Bernard LAMIZET, Professeur des universités, Institut d’Etudes Politiques de Lyon
Bernard DELFORCE, Professeur émérite, Université Lille 3
Anne-Marie HOUDEBINE, Professeur des universités, Université Paris 5
Jean-Marc ELCHARDUS, Professeur des Univ. – Praticien Hosp., Université Lyon 1

Contrat de diffusion

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Remerciements

Je veux d’abord dire toute ma gratitude à Bernard Lamizet, mon directeur de thèse, pour l’amitié, l’enthousiasme et la disponibilité sans faille qu’il a montrés à mon égard durant tout le temps de cette recherche. Je n’oublierai pas les agréables moments de conversation et le plaisir des courriers échangés qui ont contribué à animer mon désir de chercheur.

J’adresse mes sincères et respectueux remerciements à Monsieur Jean-Marc Elchardus pour m’avoir accueilli dans son service et pour m’avoir fait confiance en me permettant d’avoir accès à un terrain si précieux dans des conditions très confortables. C’est un honneur qu’il fasse partie du jury de cette thèse. Merci aussi aux autres membres de mon jury, Anne-Marie Houdebine et Bernard Delforce, pour leur lecture patiente de ce travail.

Mes remerciements vont aussi à tous les membres de l’équipe de psychiatrie du pavillon N. Je tiens particulièrement à dire ma reconnaissance à Caroll de Weck, Juliette Grison-Curinier, Yannis Gansel, Mohamed Meniri et Dominique Reydellet pour leur accueil, pour leur patience et pour l’intérêt qu’ils ont porté à ma recherche.

Je remercie ma famille, en particulier mes parents et ma sœur, pour leur soutien et leur curiosité sérieuse et amusée vis-à-vis de mes travaux. Sans qu’ils le sachent vraiment et chacun à leur manière, sans doute ont-ils eux aussi contribué à forger et à attiser mon désir de chercheur. Je pense aussi à ma grand-mère qui oublie petit à petit, mais qui doit être bien fière.

Je dois beaucoup à mes amis pour les moments de travail partagé dans l’austérité des bibliothèques, mais aussi pour avoir su accueillir mes confidences inquiètes, indissociables du travail de thèse. Je tiens ainsi à exprimer mon immense gratitude à Vincent, pour le miracle de ses formules, à Jeanne, Katia et Nellie, pour la gaieté et l’enthousiasme qu’elles me communiquent toujours, à Zohra, si convaincante et si drôle dans les moments de vacillement, à Amandine et Toni, pour leur amitié joyeuse et bienveillante.

J’adresse aussi mes remerciements à mes collègues et amis jeunes chercheurs, compagnons de route sur le dur chemin de la thèse, Eva, Audrey, David, Valentyna et les autres.

Je pense aux patients des urgences, à leur détresse, banale et extraordinaire.