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Je veux d’abord dire toute ma gratitude à Bernard Lamizet, mon directeur de thèse, pour l’amitié, l’enthousiasme et la disponibilité sans faille qu’il a montrés à mon égard durant tout le temps de cette recherche. Je n’oublierai pas les agréables moments de conversation et le plaisir des courriers échangés qui ont contribué à animer mon désir de chercheur.
J’adresse mes sincères et respectueux remerciements à Monsieur Jean-Marc Elchardus pour m’avoir accueilli dans son service et pour m’avoir fait confiance en me permettant d’avoir accès à un terrain si précieux dans des conditions très confortables. C’est un honneur qu’il fasse partie du jury de cette thèse. Merci aussi aux autres membres de mon jury, Anne-Marie Houdebine et Bernard Delforce, pour leur lecture patiente de ce travail.
Mes remerciements vont aussi à tous les membres de l’équipe de psychiatrie du pavillon N. Je tiens particulièrement à dire ma reconnaissance à Caroll de Weck, Juliette Grison-Curinier, Yannis Gansel, Mohamed Meniri et Dominique Reydellet pour leur accueil, pour leur patience et pour l’intérêt qu’ils ont porté à ma recherche.
Je remercie ma famille, en particulier mes parents et ma sœur, pour leur soutien et leur curiosité sérieuse et amusée vis-à-vis de mes travaux. Sans qu’ils le sachent vraiment et chacun à leur manière, sans doute ont-ils eux aussi contribué à forger et à attiser mon désir de chercheur. Je pense aussi à ma grand-mère qui oublie petit à petit, mais qui doit être bien fière.
Je dois beaucoup à mes amis pour les moments de travail partagé dans l’austérité des bibliothèques, mais aussi pour avoir su accueillir mes confidences inquiètes, indissociables du travail de thèse. Je tiens ainsi à exprimer mon immense gratitude à Vincent, pour le miracle de ses formules, à Jeanne, Katia et Nellie, pour la gaieté et l’enthousiasme qu’elles me communiquent toujours, à Zohra, si convaincante et si drôle dans les moments de vacillement, à Amandine et Toni, pour leur amitié joyeuse et bienveillante.
J’adresse aussi mes remerciements à mes collègues et amis jeunes chercheurs, compagnons de route sur le dur chemin de la thèse, Eva, Audrey, David, Valentyna et les autres.
Je pense aux patients des urgences, à leur détresse, banale et extraordinaire.