Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons « Paternité – pas d’utilisation commerciale - pas de modification » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d’en mentionner le nom de l’auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l’adapter ni l’utiliser à des fins commerciales.
Boudjedra Rachid :
La prise de Gibraltar, Paris, Éditions Denoël, 1987.
Les 1001 années de la nostalgie, Paris, Éditions Denoël, 1979
L’insolation, Paris, Éditions Denoël, 1972.
Tansi Sony Labou :
Le commencement des douleurs, Paris, Éditions du Seuil, 1995.
Les yeux du volcan, Paris, Éditions du Seuil, 1988.
Les sept solitudes de Lorsa Lopez, Paris, Éditions du Seuil, 1985.
J'exprime, ici, ma gratitude et ma reconnaissance, à tous ceux qui, de près ou de loin, ont rendu possible ce travail de recherche.
Je les adresse, en particulier, à Charles Bonn, pour la qualité de son encadrement, de ses conseils et de ses encouragements. Avoir suivi vos enseignements et avoir été dirigé par vous, tout au long de mes travaux de recherche en années de Maîtrise, DEA et Doctorat, a influencé, nourri et fécondé positivement mon rapport théorique, esthétique et éthique à la littérature.
À Octavie, pour ta « folle » gaité, ta douce présence, ton management adroit et persifleur (rires) et, surtout ton dévouement sans faille.
À la « Grande-Royale » ou « M. Tchatcher » comme nous l'appelons si affectueusement : Oumou Lam.
À mes frères et sœurs : N'dèye, Alpha (paix à son âme), Dite, Youssou, Yaya, Malick, Amadou, Moustapha, Cheikh, Penda, Seydou, Ramata, Madani, Macky et Arouna.
À ma famille au sens large (grand-parents, oncles, tantes, cousins et neveux), ma belle-famille, mes amis et mes collègues pour leur soutien indéfectible.
Je dédie ce travail à mon père (paix à son âme) dont le souvenir m'accompagne partout et toujours.