Université Lumière Lyon 2
École doctorale : Lettres, Langues, Linguistique, Arts
Faculté des Lettres, Arts et Sciences du Langage
Département des Lettres
Équipe de recherche : Passages XX-XXI
Modernité et postmodernité francophones dans les écritures de violence. Le cas de Rachid Boudjedra et Sony Labou Tansi.
Thèse de doctorat en Lettres et Arts
Sous la direction de Charles BONN
Présentée et soutenue publiquement le 22 novembre 2010
Membres du jury :
Charles BONN, Professeur émérite, Université Lyon 2
Bruno GELAS, Professeur émérite, Université Lyon 2
Martine JOB, Professeur des universités, Université Bordeaux 3
Dominique RANAIVOSON-HECHT, Maître de conférences HDR, Université de Metz

Contrat de diffusion

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Corpus

Boudjedra Rachid :

La prise de Gibraltar, Paris, Éditions Denoël, 1987.

Les 1001 années de la nostalgie, Paris, Éditions Denoël, 1979

L’insolation, Paris, Éditions Denoël, 1972.

Tansi Sony Labou :

Le commencement des douleurs, Paris, Éditions du Seuil, 1995.

Les yeux du volcan, Paris, Éditions du Seuil, 1988.

Les sept solitudes de Lorsa Lopez, Paris, Éditions du Seuil, 1985.

Remerciements

J'exprime, ici, ma gratitude et ma reconnaissance, à tous ceux qui, de près ou de loin, ont rendu possible ce travail de recherche.

Je les adresse, en particulier, à Charles Bonn, pour la qualité de son encadrement, de ses conseils et de ses encouragements. Avoir suivi vos enseignements et avoir été dirigé par vous, tout au long de mes travaux de recherche en années de Maîtrise, DEA et Doctorat, a influencé, nourri et fécondé positivement mon rapport théorique, esthétique et éthique à la littérature.

À Octavie, pour ta « folle » gaité, ta douce présence, ton management adroit et persifleur (rires) et, surtout ton dévouement sans faille.

À la « Grande-Royale » ou « M. Tchatcher » comme nous l'appelons si affectueusement : Oumou Lam.

À mes frères et sœurs : N'dèye, Alpha (paix à son âme), Dite, Youssou, Yaya, Malick, Amadou, Moustapha, Cheikh, Penda, Seydou, Ramata, Madani, Macky et Arouna.

À ma famille au sens large (grand-parents, oncles, tantes, cousins et neveux), ma belle-famille, mes amis et mes collègues pour leur soutien indéfectible.

Je dédie ce travail à mon père (paix à son âme) dont le souvenir m'accompagne partout et toujours.