Au total, ce sont 71 sites (implantations, vestiges d’infrastructures ou carrières) qui ont été relevés sur la carte de synthèse. Parmi ceux-ci, 9 sont situé dans la zone d’occupation de Persépolis, les 62 autres sont répartis sur l’ensemble de la plaine de Persépolis.
Parmi eux, les tepes et les vestiges de bâtiments en pierre, au nombre de 50. Ils sont considérés comme des implantations. 151508 d’entre eux ne présentent que des indices peu sûrs d’une occupation achéménide. Ils sont donc indiqués à titre informatif mais n’ont pas été pris en compte dans le cadre de la synthèse finale de l’article de W. Sumner sur la caractérisation de l’occupation achéménide.
Les 12 restants correspondent aux vestiges d’infrastructures hydrauliques ou de carrières.
Ce bilan correspond à une synthèse brute des données archéologiques publiées par W. Sumner, à partir de laquelle il est nécessaire de développer une lecture critique des données publiées.
Sumner 1986a : 11 publie le chiffre de 18 sites « doubtful », or après des calculs réitérés seuls 15 ont bien été reportés sur la carte (Pl. 42). Il est possible que deux points qu’il avait en note n’aient pas été mis sur la carte : nous avons retrouvé l’un d’eux dans le Gazetteer.