6.2.3.2.2. Préservés

  • KR0279 : CQ ; surf. 2,9 ha ; ht. 2,5 m ; Bak. 0,8 ; Lap. 1,2 ; Ach. 0,8 (code A) ; Isl.1 P/UTM 39R : E 652583 m ; N 3305126 m

Le secteur se situe dans la zone marécageuse au nord de Lapui qui a été en grande partie drainée récemment. Le long d’un paléochenal naturel, en rive gauche et droite, se répartit sur 500 m de long, et sur une bande de 200 m de large, un ensemble de quatre tepes. La surface occupée est donc plus importante que les 2,9 ha indiqués dans le Gazetteer et se rapproche plutôt des 10 ha. Si le groupe de tepes est encore en place, le qaleh a quant à lui disparu. L’ensemble de ce secteur est aujourd’hui cultivé, les tepes sont en partie nivelés par les labours successifs. Par exemple, le tepe situé au nord-ouest de cet ensemble, le plus élevé des quatre, possédait une hauteur de 2,5m lorsque W. Sumner l’a prospecté. Aujourd’hui, il ne s’élève plus qu’à 1,5 m au-dessus de la plaine. En quarante ans, c’est donc probablement une épaisseur de 1 m de dépôts archéologiques qui a été érodée. D’après les annotations reportées sur la carte au 1:5000, ce serait ce tepe plus élevé qui présenterait des indices d’occupation achéménide. Les trois autres tepes présentent des concentrations de céramiques essentiellement Lapui et islamiques. Nous avons évalué les concentrations de céramiques à la surface du quatrième à environ 1 tesson/m². La catégorie Lapui représente l’essentiel de la céramique identifiable, viennent ensuite les tessons islamiques, puis la présence de quelques tessons Bakun très épars. De nombreux fragments, très érodés et présentant des formes peu caractéristiques, correspondent certainement à de la céramique postérieure à l’Age du Bronze, parmi eux aucun ne semble pouvoir être identifié de manière certaine à de la poterie achéménide/LPW.

J. Alden a effectué une reconnaissance sur le site mais il n’a pas donné de description détaillée. Dans le tableau synthétique des périodes reconnues sur l’ensemble des sites qu’il a prospectés, cet ensemble de tepe ne présentait pas pour lui de céramique achéménide/LPW1568.

  • KR0520-Tol-e Qaleh : T ; surf. 4,5 ha ; ht. 13 m ; Bak. 1,2 ; Lap. 1,2 ; Ban. 1,2 ; Kaf. 4,5 ; Qal. 1,2 ; S-T. 4,5 ; Ach. 1,2 (code B) ; Sas. P ; Isl. D/ UTM 39R : N 689480 m ; E 3317214 m

Les tessons à la surface du Tol-e Qaleh sont disséminés sur l’ensemble du tepe et peuvent atteindre une concentration égale au maximum à 1 tesson/m². Parmi les catégories reconnues par W. Sumner nous avons également déterminé que les plus présentes sont Kaftari et Shoga-Teimuran, nous avons également pu reconnaître quelques tessons Lapui. En ce qui concerne la catégorie Qaleh1569, mise en évidence sur ce site, nous devons à nouveau avouer notre incapacité à la repérer avec précision. Aucun tesson Bakun n’a pu être signalé. Enfin quelques tessons de céramique islamique ancienne, peut-être sassanide, ont été reconnus. Parmi cet ensemble, nous avons pu isoler plusieurs fragments de poteries achéménide/LPW. Alors que sur l’ensemble des sites prospectés, sur lesquels nous pensons avoir pu détecter cette catégorie de céramiques, les formes repérées étaient peu caractéristiques et laissaient planer quelques doutes sur leur datation, les tessons repérés à Tol-e Qaleh sont très clairement achéménide/LPW. Les bords les mieux conservés correspondent à des bols peu profonds, de forme carénée, à bord plat, pâte rouge claire à grise et dégraissant fin. W. Sumner a publié quelques formes diagnostiques provenant de Tol-e Qaleh1570. Nous avons également dessiné quelques profils retrouvés au cours de nos prospections (Fig. 6-8). Ces formes carénées sont souvent considérées comme un fossile directeur d’une occupation achéménide et se continuent aux cours des périodes post-achéménides1571. Tol-e Qaleh constitue le seul site, en-dehors de la zone d’occupation de Persépolis, où nous ayons retrouvé plusieurs exemples de ce type de bol caréné à pâte fine. Il nous a par contre été impossible de délimiter un secteur de concentration de céramique achéménide/LPW, les tessons paraissant disséminés sur l’ensemble de la surface. Par rapport aux catégories Shoga/Teimuran et Kaftari, elle est effectivement moins dense, comme l’a également observé W. Sumner en lui appliquant un code B.

Figure 6‑8 : KR0520-Tol-e Qaleh, exemples de profils de céramique achéménide/LPW
Figure 6‑8 : KR0520-Tol-e Qaleh, exemples de profils de céramique achéménide/LPW

L. Vanden Berghe a effectué deux sondages sur le site1572. Ils lui ont permis de trouver de la céramique de la fin de l’Age du Bronze, de la catégorie Qaleh, dans un contexte funéraire, qui sera par la suite retrouvée en grand nombre sur le site de Malyan. A partir de ses notes de terrains, une publication récente précise les découvertes de l’archéologue belge1573. L’étude de la stratigraphie n’est pas très détaillée, il n’y est pas fait mention de couches d’occupation postérieure à la fin de l’Age du Bronze. Dans les deux sondages, des tessons Shoga/Teimuran ont été retrouvés dès les couches superficielles1574. Par la suite, T.C. Young, le fouilleur de Godin Tepe, a également effectué un sondage sur le site, dont les résultats sont restés inédits. On sait juste qu’il ne lui a pas permis de préciser la stratigraphie, perturbée par les réaménagements sassanides1575. L. Jacobs a effectué des prospections sur le site en procédant à des ramassages systématiques sur 8 carrés de 10x10 m répartis de manière aléatoire. La plupart des carrés présentent des tessons de céramique achéménide/LPW, un carré situé au sud-ouest du tepe en contient plus de 50% du total ramassé avec 36 tessons, un autre au sommet contient 25% de céramique achéménide/LPW représentant 20% du total1576. Donc, si, comme nous l’avons constaté, la céramique achéménide paraît disséminée sur l’ensemble du site, la face ouest et le sommet du tepe pourrait correspondre aux zones d’occupation achéménide. Si l’on détermine une zone englobant les deux carrés, et donc correspondant au tiers sud-ouest du site, sa surface approche les 2 ha. Ces fortes concentrations, calculées par L. Jacobs, nous obligent également à nous questionner sur le fait de n’avoir retrouvé que si peu de céramiques. Comme nous venons de le voir, le site a fait l’objet de nombreuses prospections1577 où, à chaque fois, étaient effectués des ramassages de tessons. Mis à part le fait que nous ne procédions qu’à des reconnaissances non systématiques, il est possible que les concentrations de tessons aient diminué et que les zones éventuellement homogènes aient été perturbées par les ramassages effectués lors des différentes prospections anciennes.

  • KR0641 – Malyan : T ; surf. 130 ha ; ht. 7 m ; Jar ? 0,8 ; Shm. 0,8 ; Bak. 1,2 ; Lap. 1,2 ; Ban. 40 ; Kaf. 130 ; Qal. 40 ; S-T. S ; Ach. 0,8 (Code A) ; Sas. P ; Isl.3 P/UTM 39R : E 635527 m ; N 3321008 m

Le site de Malyan a été fouillé durant cinq saisons entre 1971 et 1978 par une mission américaine dirigée par W. Sumner1578. Sur les bases de données textuelles, Malyan a été identifiée comme les vestiges de la capitale élamite de Anshan1579. Outre des études de surface1580, une dizaine de sondages ont été ouverts. Certains ont été publiés de manière détaillée dans une série, Malyan excavation reports, dont trois monographies sont parues 1581 . Les différentes études se sont surtout concentrées sur les niveaux d’occupation élamite (successivement Banesh, Kaftari et Qale s’étendant de 3400 av.J.-C. à 900 av.J.-C.). Toutefois la partie occidentale du site a été réoccupée aux périodes sassanide et islamique. Certains secteurs fouillés ont également fourni des niveaux d’occupation superficiels présentant des structures1582, des fours1583 ou encore des sépultures sassanides de pleine terre1584. La question se pose donc de la continuité possible de l’occupation entre les périodes élamite et sassanide/islamique alors qu’apparemment aucun des sondages n’a révélé de niveaux intermédiaires d’occupation1585.

W. Sumner indique que l’occupation achéménide est supposée à partir de la présence de quelques céramiques achéménide/LPW retrouvées en surface1586. En outre aucun tesson achéménide/LPW n’a été récolté au cours des ramassages systématiques de surface1587, ce qui signifie que l’éventuelle occupation achéménide n’a pas pu être localisée avec précision. Des fouilles récentes ont toutefois permis d’apporter des preuves supplémentaires concernant l’existence d’une occupation achéménide à Malyan. K. Abdi, en 1999, a ouvert un sondage au sud du tepe, le long d’un canal, traversant l’ancien cimetière du village moderne de Malyan et au bord duquel des pierres tombales d’époque Qajar ont été repérées1588. Ces fouilles ont permis de mettre au jour une base de colonne de calcaire noir, sans trace de gradine, probablement achéménide. D’après l’inventeur, et renseignements pris auprès des villageois, il y avait quatre colonnes de ce type dans l’ancienne mosquée du village. Cette base de colonne correspond donc très probablement à un élément remployé dont la provenance est sujette à caution. Un fragment d’une seconde base de colonne, remployée dans la maçonnerie des anciens bains publics, a été repéré mais n’a pas pu être prélevée. Sa présence prouve en tout cas que plusieurs de ces éléments avait été rapportés dans l’ancien village de Malyan. Ils doivent provenir d’un bâtiment aristocratique construit sur ou à proximité du tepe1589 mais dont la localisation précise n’est pas connue. S’il s’agissait d’un édifice existant à l’emplacement du village moderne, cela signifierait qu’il a donc aujourd’hui disparu. Enfin le toponyme d’Anshan est cité dans les tablettes des fortifications de Persépolis1590, mais moins fréquemment que d’autres lieux. Ces données textuelles, et les quelques indices archéologiques décrits, forment un faisceau d’éléments tendant démontrer l’existence d’une occupation achéménide à Malyan, occupation encore très mal caractérisée.

Dans le cadre de nos réévaluations des données sur l’occupation achéménide dans la plaine de Persépolis, nous n’avons effectué qu’une visite rapide à Malyan au cours du printemps 2005. Les champs, qui prédominent sur le site, étaient recouverts de blé et il était de ce fait impossible de le parcourir. L’étude d’un site aussi vaste, lorsque les données sur l’occupation achéménide restent très sporadiques et mal localisées, ne faisait toutefois pas partie des objectifs de nos recherches : une telle étude aurait en effet demandé un investissement en temps important sur un site par ailleurs déjà bien connu et pour un espoir minime de résultat, concernant l’occupation achéménide. En outre, K. Abdi lors de sa mission de 1999 a dressé un état des lieux de l’état de préservation du site qui, comme la majorité des tepes de la plaine, présentent des stigmates de terrassements récents destinés à récupérer de la terre pour les constructions ou pour amender les champs et les jardins1591. Ces destructions restent apparemment limitées, rapportées à l’ensemble de la surface du site.

  • KR0684 – Tol-e Kamin A  : T ; surf. 9,6 ha ; ht. 7 m ; Bak. 1,2 ; Lap. 1,2 ; Ban. 1,2 ; Kaf. 1,2 ; Qal. 1,2 ; S-T. 9,6 ; Ach. 1,2 (code B) ; Isl P/UTM 39R : E 675149 m ; N 3322078 m

Nos prospections sur Tol-e Kamin nous ont permis de reconnaître des concentrations allant jusqu’à 10 tessons/m² de céramique essentiellement pré-achéménide, nous avons reconnu les mêmes périodes d’occupation que celles enregistrées dans le Gazetteer. Nous avons noté trois bords très érodés de céramique achéménide/LPW, disséminés à la surface du tepe, qui pourraient éventuellement correspondre. Nous n’avons pas pu délimiter de concentrations bien localisées. Le site présente plusieurs fosses de pillage, son versant sud est en partie détruit du fait de la mise en place d’une pompe diesel et de son réseau d’irrigation associé. La pompe construite au sommet du tepe et signalée par L. Jacobs1592 a aujourd’hui disparu.

Les études sur ce site sont restées limitées car les indices d’occupation achéménide sont faibles comme le prouve des travaux anciens. L. Vanden Berghe a effectué sur le tepe deux sondages en 19521593 et un troisième en 19551594. Ils ont permis de mettre au jour quatre sépultures dans lesquelles étaient déposées de la céramique Shoga/Teimuran. La présence de tessons Bakun dans un des sondages a également été notée1595. L. Vanden Berghe ne précise pas avoir retrouvé de céramiques qui pourraient être achéménide/LPW et les résultats des sondages, bien qu’imparfaitement connus à travers ses archives, ne montrent pas l’existence de niveaux d’occupation achéménide. Il faut toutefois souligner que Vanden Berghe s’intéressait surtout à dresser une typo-chronologie pré-achéménide des céramiques. Les fouilles de Persépolis avaient, dès cette époque, fournies des exemples de céramique achéménide et il est probable que Vanden Berghe aurait pu la reconnaître si il en avait mis au jour.

L. Jacobs a étudié la céramique de surface en effectuant des ramassages systématiques sur 8 carrés de 10x10 m concentrés essentiellement au sommet du site, l’un d’eux a été installé au pied du versant nord-ouest du site1596. Dans les tableaux synthétiques de répartition des types de céramiques par carré, aucun des lots n’a apparemment fourni de céramique achéménide/LPW1597. Ces résultats sont donc différents de ce qu’avait enregistré W. Sumner lors de sa visite sur le site. Pour l’achéménide, il indique de plus une surface de 1,2 ha (code B) ce qui signifie que la céramique achéménide/LPW était présente de manière significative. A priori, L. Jacobs a effectué des prospections plus fines avec des ramassages systématiques alors que W. Sumner a effectué de simples visites. Les résultats obtenus par L. Jacobs sont donc normalement plus précis que ceux de W. Sumner. Plusieurs explications sont possibles, L. Jacobs a effectué des ramassages en dehors des zones de concentration de céramique achéménide/LPW ; L. Jacobs ou W. Sumner ont fait des erreurs lors de la reconnaissance des types de céramique ; les concentrations de céramiques achéménide/LPW ont été surestimées par W. Sumner et son identification se base sur quelques tessons épars. Quelle que soit la raison de cette différence entre les deux prospections, ces constatations illustrent d’une part la difficulté qu’il y a à reconnaître la céramique achéménide/LPW, surtout sur un site présentant plusieurs périodes d’occupation où elle est mélangée à d’autres tessons. D’autre part, l’occupation achéménide de Tol-e Kamin paraît moins assurée que ce qu’indique W. Sumner ; nos reconnaissances n’ont pas permis de la retrouver et les sondages ou les ramassages passés ne l’attestent pas non plus.

N.B.: KR0823-Tol-e Gap et KR0263-Dawlatabad font partie des sites multipériodes préservés dont la dernière période d’occupation détectée est islamique. Sur ces deux sites, nous avons décidé d’effectuer des tests de prospection magnétique et ils seront donc étudiés plus précisément plus loin 1598 .

Notes
1568.

Alden 1979 : 180-Table 19, site 10G8

1569.

Cf. § 4.1.2.1

1570.

Sumner 1986a : 5-Ill.1 (C et D), 6-Ill.2 (M) (Pl. 13 et 14) correspondent également à trois formes achéménide/LPW retrouvés par W. Sumner au cours de ses prospections sur Tol-e Qaleh.

1571.

Cf. § 4.2.3

1572.

Vanden Berghe 1954 : 395-396

1573.

Haerinck & Overlaet 2003

1574.

Jacobs 1980 : 142 ; Haerinck & Overlaet 2003 : 195 et 198

1575.

Jacobs 1980 : 143

1576.

Jacobs 1980 : 214-lot 135 et 215-lot n137 pour les proportions de céramiques des deux carrés mentionnés, p. 300-fig.43 pour la localisation des carrés.

1577.

Plus récemment Alizadeh a également prospecté le site en 1999, Alizadeh 2003 : 94-DK 129

1578.

Sumner 1988b : 307

1579.

Hansman 1972 ; Sumner 1986a : 11 ; Sumner 1988b : 306

1580.

Elles incluent des ramassages de surface systématique cf. Alden 1978 : 194-195 ; ou encore des prospections magnétiques au sud du tepe évoquées par Alden 1978 : 79 et Sumner 1988b : 308 dont les résultats n’ont pas été publiés. Toutefois on comprend d’après ce qu’indique Alden 1978 que les résultats des prospections géophysiques ont permis de révéler certes de nombreuses anomalies de nature archéologique mais également de vastes secteurs très perturbés par la présence de niveaux d’incendie, Sumner 1988b détaille les découvertes effectuées grâce à la prospection magnétique : il s’agit de 6 fours, d’un bâtiment incendié et d’un amas de briques cuites.

1581.

Nicholas 1990 ; Carter 1996 ; Sumner 2003

1582.

Nicholas 1990 : 13

1583.

Alden 1978 : 79-86

1584.

Balcer 1978 : 86-92 ; Nicholas 1990 : 13 (Stratum 1) ; Carter 1996 : 48 (Building Level I)

1585.

Les sondages entrepris plus récemment n’ont apparemment pas permis de combler ce hiatus cf. Abdi 2001 et Alden et al. 2005

1586.

Sumner 1986a : 11 ; Sumner 1988b : 314 donne plus de précision dans le tableau synthétique chronologique de l’occupation à Malyan, 7 tessons ont été retrouvés en surface.

1587.

Sumner 1986a : 11

1588.

Abdi 2001 : 91-93

1589.

Boucharlat 2005a : 231

1590.

Sumner 1986a : 11

1591.

Abdi 2001 : 78-80, par la suite p. 80-81 il détaille les mesures prises en partenariat avec l’administration du patrimoine (ICHO) pour s’assurer de la préservation du site : mise en place de panneaux d’information et surveillance du site par un gardien.

1592.

Voir également Jacobs 1980 : 133 qui effectue un état des lieux de l’état de préservation du site lors de ses visites durant l’hiver 1976-1977.

1593.

Evoqués par Vanden Berghe 1954 : 396

1594.

Overlaet 2007 publie un article détaillé concernant ces trois sondages et exploitant les archives de fouille de L. Vanden Berghe.

1595.

ibid. : 67

1596.

Localisation des carrés de ramassage ibid. : 298-fig.41 repris par Overlaet 2007 : 64-fig.2 ; la méthodologie des prospections de L. Jacobs est détaillée dans Jacobs 1980 : 128-131

1597.

Jacobs 1980 : 214-Appendix D, lots 122 à 131, un bilan des résultats de L. Jacobs est également effectué par Overlaet 2007 : 65 ; Alden 1979 : 187-site 8J4 ne reconnait pas de céramique LPW à Tol-e Kamin.

1598.

Cf. § 6.2.6