La mise en œuvre de nos recherches dans la plaine de Persépolis se basait sur deux postulats de départ, émis à partir des études historiques : l’existence d’une ville à Persépolis et, autour de celle-ci, d’un vaste terroir fertile exploité grâce à un réseau d’installations agricoles gérées par des centres administratifs locaux. Ces questions ont été largement abordées par W. Sumner au cours de son étude fondatrice sur l’étude de l’occupation de la région à l’époque achéménide. A partir des données collectées durant ses prospections et celles des membres de son équipe pendant près de vingt ans, il a tenté de retranscrire une réalité uniquement connue d’après les textes mais dont la traduction archéologique restait jusqu’à alors insaisissable. Ainsi, en conclusion de son article, dans une partie intitulée « yeki bud, yeki nabud » 1887 , il essaie de dépeindre le paysage de la plaine de Persépolis tel qu’il pouvait exister à l’époque achéménide. Comme le suggère l’expression persane choisie par W. Sumner, sa synthèse ne propose aucunement une restitution définitive de l’occupation achéménide de la plaine de Persépolis, mais une mise en perspective de l’ensemble des données, archéologiques et historiques, rassemblées à cette occasion1888. Au fil de sa conclusion, il propose une série d’hypothèses et de questions, auxquelles cette thèse tente de répondre sur le terrain de l’archéologie. Les données issues de nos recherches permettent de modifier quelques aspects de l’occupation achéménide de la plaine de Persépolis telle qu’elle a été restituée par W. Sumner et, dans un même esprit d’ouverture, de proposer des pistes de réflexions et de recherches pour le futur.
Nos recherches ont d’abord eu pour objectif de mieux définir le schéma d’occupation de Persépolis qui ne peut pas se limiter à l’analyse des seules constructions ostentatoires de la terrasse. Celles-ci constituent les vestiges les plus visibles d’un plan d’aménagement beaucoup plus vaste, probablement conçu sur plusieurs kilomètres carrés. En effet, la nécropole royale de Naqsh-e Rustam est située à 6 km au nord de la terrasse ce qui donne la mesure de l’échelle à laquelle Darius a imaginé l’implantation de son nouveau haut-lieu dynastique. Persépolis constitue également la capitale administrative et économique de la Perse, comme en témoignent les tablettes exhumées au cours des fouilles des Fortifications de la terrasse. Le site assure donc de multiples fonctions et abrite une population d’ouvriers, d’artisans, de commerçants, de fonctionnaires, de soldats ou encore de nobles assurant leurs tâches respectives et vivant à proximité de la terrasse royale. Pour tenter de mieux cerner l’organisation de Persépolis, nous avons de ce fait décidé de définir une zone d’étude de 20 km², la zone d’occupation de Persépolis, intégrant la terrasse et la nécropole (Pl. 15). A cette échelle, nous pouvons montrer que l’ensemble de l’espace défini présente de nombreux indices d’occupation probablement étroitement associée aux activités de la ville Persépolis. L’aménagement de cette zone se structure suivant plusieurs blocs d’occupation différenciés mais certainement interdépendants.
Nous avons défini deux catégories de blocs : les blocs d’occupation commune et les blocs d’occupation aristocratique et/ou royale1889 (Pl. 41). Les premiers ont pu constituer des secteurs d’habitats populaires associés à des ateliers de production, des entrepôts, des commerces, des bâtiments administratifs, le tout assurant l’activité économique quotidienne de Persépolis. Les seconds seraient réservés à l’usage du Roi ou à sa cour, plus largement à l’élite. D’un point de vue archéologique, la distinction se fait surtout d’après la nature de vestiges connus en surface : de vastes zones de tepes et de concentrations de céramiques achéménide/LPW déterminent à nos yeux l’existence des blocs d’occupation commune ; des vestiges de constructions luxueuses utilisant des éléments d’architecture en pierre soigneusement taillés définissent les blocs d’occupation aristocratique et/ou royale. Cette différentiation entre des secteurs de statut distinct était déjà suggérée par W. Sumner concernant les vestiges qu’il identifie à Matezzish, la ville située à proximité de Persépolis. Nous proposons donc d’étendre ce schéma d’organisation à l’ensemble de la zone de d’occupation de Persépolis, sans chercher à distinguer Matezzish de Persépolis, l’ensemble devant former une seule et même agglomération. Le toponyme de Matezzish, connu d’après les archives, pourrait toutefois s’appliquer seulement à l’un ou l’autre bloc défini, mais il est pour le moment impossible d’en apporter la preuve.
Nous avons identifié deux blocs d’occupation commune, l’un au sud de Firuzi et l’autre dans le secteur de Persépolis Nord-Ouest. Les informations les plus précises ont été obtenues sur le secteur de Persépolis Nord-Ouest grâce aux prospections entreprises sur de vastes surfaces1890. Des espaces construits alternent avec des espaces apparemment vides s’insérant dans un vaste parcellaire orthogonal sur l’ensemble des 70 ha de Persépolis Nord-Ouest (Pl. 24). Ici, la ville populaire telle que la définit W. Sumner, devait donc s’étendre bien au-delà de la seule concentration de tepes de Persepolis West. Si elle apparaît peu bâtie, elle pourrait être densément occupée : les espaces non bâtis pourraient correspondre à des parcs, des jardins ou encore des constructions légères qui n’ont laissé que peu de traces. L’existence d’un bloc d’occupation commune à Firuzi Sud (Pl. 27) n’est qu’une hypothèse émise à partir des descriptions fournies par W. Sumner, car l’importance des remembrements modernes dans ce secteur ne nous a pas permis de recueillir d’informations plus précises1891. Il y a encore quarante ans s’élevaient à cet endroit de nombreux tepes se répartissant sur une surface de plus de 75 ha où de la céramique achéménide/LPW était présente en surface. La nature des indices d’occupation achéménide étant très proches de ceux que nous avons pu observer à Persépolis Nord-Ouest, nous avons décidé de localiser à cet endroit un second bloc d’occupation, où la caractérisation de l’occupation devra être précisée dans le futur. Au total, ce sont au moins 145 ha qui ont été susceptibles d’abriter une ville populaire.
Sur les 20 km² de la zone d’occupation de Persépolis se répartissent cinq blocs d’occupation royale et/ou aristocratique (Pl. 41). Ce sont les plus évidents à localiser car ils présentent les vestiges les plus caractéristiques et les mieux étudiés de l’aménagement de Persépolis. La terrasse royale constitue l’illustration la plus emblématique de cette occupation de prestige. Elle ne doit toutefois pas être réduite à la seule plateforme, car les fortifications à l’est et les bâtiments du Barzan-e Jonoubi au sud définissent un ensemble de constructions monumentales sur plus de 50 ha dont nous avons fait un quartier royal 1892 (Pl. 17). A 3 km à l’ouest, le secteur de Bagh-e Firuzi (Pl. 28) rassemble des tepes de superficie et de hauteur limitées qui ont livré de nombreux éléments d’architecture en pierre1893. Grâce à la prospection magnétique, nous avons pu démontrer qu’un des ces édifices, Tol-e Ajori, est construit en brique cuite1894. A notre connaissance, ce sont donc au moins une dizaine de constructions luxueuses qui se répartissent sur une surface d’une centaine d’hectares. Les prospections géophysiques entreprises sur et entre les sites n’ont pas révélé l’existence d’un schéma d’organisation commun ou de déterminer le plan de la plupart de ces bâtiments. Ici, l’intensification de l’agriculture a peut-être provoqué une disparition des indices archéologiques. En l’état, il est permis de penser, comme W. Sumner avant nous, que les différentes constructions de Bagh-e Firuzi s’insèrent dans un ensemble de parcs et de jardins et constituent en quelque sorte un (ou plusieurs) paradis situé(s) à proximité du quartier royal. Les trois autres blocs aristocratiques et/ou royaux présentent des superficies beaucoup plus réduites. Au nord de la terrasse, Naqsh-e Rustam1895 (Pl. 39) et Dasht-e Gohar1896 (Pl. 30) constituent deux blocs distincts de fonction funéraire. L’espace autour de ces tombes est aménagé et des constructions annexes pourraient avoir abrité des cérémonies en l’honneur des défunts. Enfin, au sud du quartier royal, à l’emplacement du village moderne de Shamsabad, des éléments d’architecture isolés sont connus et un pavillon a été mis au jour1897 (Pl. 20). Ces différents vestiges ont aujourd’hui disparu mais pourraient constituer, si ce n’est une extension du quartier royal vers le sud, au moins un bloc d’occupation aristocratique et/ou royal à part que nous avons appelé Persépolis Sud. Les données sur ce secteur sont très parcellaires et il faut probablement se résoudre à penser que les constructions modernes ont définitivement détruit les vestiges archéologiques. La définition de ce bloc reste donc très hypothétique.
Si les données archéologiques permettent de proposer une hiérarchie entre les différents blocs, nous n’avons que bien peu de réponses à apporter quant à la caractérisation précise de la fonction des différentes zones bâties et non-bâties repérées1898. Toutefois, la totalité de l’espace aménagé permet d’abriter l’ensemble des activités attestées à Persépolis. Il n’apparaît pas non plus de schéma d’organisation commun dans lequel s’insérerait l’ensemble des blocs1899. Deux des blocs évoqués auparavant paraissent toutefois se structurer suivant un plan commun. Le parcellaire détecté à Persépolis Nord-Ouest s’étend quasiment jusqu’au pied de la terrasse. Les différents monuments du quartier royal présentent de plus une orientation parallèle à celles des fossés ou des chemins qui dessinent le plan de ce parcellaire. Les deux blocs s’insèrent donc probablement dans un même plan d’organisation. Pour l’instant, il est impossible de déterminer si cette organisation du territoire est apparue à la fondation du quartier royal ou si celui-ci s’est inséré dans un schéma existant. L’hypothèse selon laquelle Matezzish préexiste à Persépolis pourrait être un argument en faveur de la seconde hypothèse. Pour les autres blocs, l’orientation des structures connues est différente et aucune trace de l’existence d’un ancien parcellaire n’a été retrouvée. Si l’existence de ces blocs peut participer d’un projet d’aménagement commun, ils obéissent donc probablement à des plans d’organisation différents. A l’échelle des 20 km², les surfaces prospectées restent néanmoins très limitées et les preuves d’une telle organisation sont peut-être encore à découvrir.
L’étude des piedmonts de la zone d’occupation de Persépolis a permis de révéler de nombreuses carrières (Pl. 41). Le long du Kuh-e Hussein à l’est de Naqsh-e Rustam (Pl. 40), sur 3 km, et sur les versants du Kuh-e Rahmat (Pl. 37), entre Istakhr et le quartier royal, les indices d’extraction sont presque continus1900. C’est donc l’ensemble des versants montagneux, présentant des affleurements de calcaire massif, qui a été exploité. L’intense activité de construction développée dans le quartier royal ainsi que dans les différents blocs d’occupation destinés à l’élite a en effet demandé un énorme volume de matériaux de construction. L’utilisation de la pierre est une des caractéristiques de l’architecture monumentale achéménide et la plupart de ces carrières ont certainement été exploitées à cette époque. Elles présentent de plus l’avantage d’être situées à proximité des chantiers de construction. Cette activité d’extraction est un des éléments qui permet d’illustrer concrètement l’intense activité qui régnait dans la zone d’occupation de Persépolis, puisqu’elle est pratiquée sur l’ensemble de ses piedmonts.
L’existence de ces carrières illustre également l’accessibilité immédiate à des ressources naturelles dans la zone d’occupation de Persépolis. Pour expliquer la décision prise par Darius de construire la terrasse de Persépolis et l’ensemble du quartier royal au pied du Kuh-e Rahmat, on évoque souvent des raisons politiques. Darius a souhaité fonder, au centre de la Perse, un ensemble monumental à l’image de sa puissance et symbolisant un renouveau de l’Empire sous son règne. Ce choix a également pu prendre en compte la proximité de Matezzish et l’existence d’un terroir fertile et déjà exploité aux alentours. Les infrastructures, les moyens humains et les matériaux étaient donc disponibles pour mettre en œuvre un gigantesque chantier de construction. La prise en compte des données environnementales a de plus montré que les terres situées aux environs immédiats de la terrasse comptent parmi les plus fertiles de la plaine1901. La construction d’un canal le long du piedmont nord-ouest du Kuh-e Rahmat a permis d’irriguer les jardins ou les champs situés au pied et en amont de la terrasse et d’apporter de l’eau potable aux divers habitants de la zone d’occupation de Persépolis 1902. Plus au nord, le Pulvar a pu également fournir de l’eau de même qu’une source située à 2 km au nord de la terrasse. Persépolis est localisé au centre de la plaine au croisement des axes de circulation naturelle de la vallée du Pulvar et de celle du Kur. L’emplacement de Persépolis a donc été soigneusement choisi, en prenant en compte les facilités que pouvaient offrir ses environs immédiats. Le paysage de la zone d’occupation de Persépolis a donc été largement mis en valeur et exploité.
Revenons maintenant aux essais de restitution proposés par W. Sumner. La conclusion de son article débute par une restitution du paysage urbain de la plaine de Persépolis centrée essentiellement sur une reconstitution de Matezzish1903. Il estime alors que si la ville a pu connaître une croissance importante à partir du début du chantier de construction du quartier royal, elle n’a jamais eu une importance comparable à celle des grandes capitales de Babylone ou de Suse1904. Il paraît en effet difficile de restituer l’existence d’une vaste ville, densément construite à partir des seuls 25 ha que couvrent les tepes de Persepolis West auxquels s’ajoutent les quelques sites disséminés dans la région de Firuzi. Pour notre part, nous proposons de considérer Persépolis comme un projet plus vaste et non pas comme une ville comparable à d’autres grands centres urbains du Proche Orient ancien, mais comme une ville construite sur un schéma différent. L’ensemble des occupations connues formant un réseau de blocs différenciés mais interdépendants, inclus dans un paysage aménagé de jardins, de vergers, de parcs ou de champs. Pris dans son ensemble, la zone d’occupation de Persépolis est susceptible d’avoir abrité l’ensemble des activités d’une ville, activités soutenues par la mise en valeur et l’exploitation des ressources immédiatement disponibles. Cette reconstitution demeure tout à fait hypothétique mais elle permet de considérer positivement l’existence d’une ville à Persépolis, en tentant par la même occasion d’expliquer l’absence manifeste d’une vaste agglomération densément construite. Les données sur lesquelles se base cette restitution proviennent de l’étude de secteurs très limités ne représentant qu’une petite partie de la zone définie. L’espace restant est suffisamment vaste pour avoir éventuellement abrité d’autres secteurs d’occupation qui restent à découvrir et à caractériser.
S’assurer de l’approvisionnement en produits alimentaires destinés à l’élite ou nécessaires à alimenter le système de rétribution des groupes de travailleurs constitue la principale activité de l’administration de Persépolis. Ces productions peuvent provenir des environs immédiats, nous venons de voir qu’il est tout à fait envisageable de restituer des surfaces cultivées dans la zone d’occupation de Persépolis. L’approvisionnement s’appuie toutefois sur un territoire beaucoup plus vaste, s’étendant bien au-delà des seules limites de la plaine de Persépolis. Pour étudier ce territoire, nous nous sommes attachés à revisiter l’ensemble des sites achéménides publiés par W. Sumner dans la plaine de Persépolis1905 (Pl. 43). Celle-ci présente actuellement un paysage profondément transformé par l’intensification agricole qui a conduit à la destruction de la grande majorité des sites1906 (Pl. 44). Nous avons donc peu de données nouvelles à apporter concernant son occupation à l’époque achéménide et encore moins sur sa dynamique au cours du Ier millénaire. Les prospections de sites connus, lorsqu’ils étaient préservés ou en partie préservés, ont toutefois permis de mettre en doute la réalité de l’occupation achéménide sur certains (Pl. 44) et sur d’autres d’apporter des pistes de réflexions concernant la fonction de certaines de ces implantations1907. Ce travail a surtout été l’occasion de réévaluer la morphologie des implantations rurales achéménides. Dans l’ensemble, les fondations achéménides de la plaine de Persépolis couvrent de petites surfaces d’occupation et sont peu élevés. Les réoccupations de tepes plus anciens sont rares par rapport au nombre de tepes enregistrés par W. Sumner et elles restent très limitées. Menées à la fois dans des zones paraissant plus densément occupées à l’époque achéménide et dans des région inoccupées, nos prospections sur les piedmonts n’ont permis de découvrir que deux nouveaux sites. Les implantations achéménides sont donc plutôt à rechercher dans la plaine sédimentaire. Or les bouleversements récents du paysage ont peut-être effacé toute trace de ces sites particulièrement vulnérables. L’étude plus approfondie des anciens réseaux et infrastructures hydrauliques, mieux conservées, pourrait toutefois apporter des informations sur l’espace mis en valeur à l’époque achéménide1908. La carte de l’occupation achéménide de la plaine de Persépolis publiée par W. Sumner doit probablement être vue comme très incomplète car de nombreuses petites installations n’y figureraient pas.
W. Sumner estimait que les populations occupant la plaine à l’époque achéménide étaient largement impliquées dans une économie de type sédentaire1909. La concentration de petits sites autour de centre administratifs locaux, des petits centres urbains voire de grandes exploitations agricoles, permettent de démontrer une hiérarchisation des sites et une production agricole organisée. Faute de données nouvelles et à cause du pourcentage important de sites disparus, il nous est difficile de discuter ce schéma. Le fait que la carte de l’occupation achéménide soit probablement très incomplète permet juste de spéculer sur l’aspect qu’elle pourrait avoir si l’ensemble des petites implantations était connu. Peut-être des zones apparaissant vides se révèleraient-elles plus densément occupées ou de nouveaux regroupements de sites apparaitraient-ils. Un autre point qui reste totalement à documenter, est la pratique et l’importance du pastoralisme, pour lequel nous n’avons pour l’instant aucune donnée.
Mis à part dans la zone d’occupation de Persépolis, le paysage urbain de la plaine reste tout à fait énigmatique. Les deux petites villes retrouvées par W. Sumner ont aujourd’hui disparu et nous n’en avons pas trouvé d’autres au cours de nos prospections. Même si une grande partie de l’activité administrative et économique se concentre dans la zone d’occupation de Persépolis, des agglomérations satellites devaient nécessairement permettre d’en absorber une partie alors que le territoire exploité s’étend sur des centaines de kilomètres. Les tablettes de Persépolis prouvent l’existence de toute une chaîne de gestion des ressources naturelles ou agricoles dans la plaine, mais, de même que l’archéologie, elle reste muette sur la nature exacte de ses différents maillons.
Expression persane signifiant « Il était une fois »
Sumner 1986a : 28-n.124
Cf. § 5.7.1
Cf. § 5.3
Cf. § 5.4.5.1.1
Cf. § 5.2
Cf. § 5.4.3 et 5.4.4
Cf. § 5.4.3.3
Cf. § 5.6.1
Cf. § 5.5.1
Cf. § 5.2.2.2.4
Cf. § 5.7.3.2
Cf. § 5.7.3.3
Cf. § 5.5.4.2 et 5.6.4.2
Cf. § 2.5.2
Cf. § 5.5.4.1
Sumner 1986a : 28
Soulignons à nouveau qu’à Suse la localisation de la ville à l’époque achéménide n’est pas connue, cf. § 5.7.4.1
Cf. § 6.2
Cf. § 2.6.3 et 6.2.7.1
Cf. § 6.4
Cf. § 6.2.5.1
Sumner 1986a : 30