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L’extension de la science économique hors de ses frontières traditionnelles : le cas américain ...
par FLEURY Jean-baptiste
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2009
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Table des matières
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Remerciements
Introduction générale
Définir l’« impérialisme de l’économie »
Les limites de la littérature existante
Une approche contextuelle des théories économiques du social et du politique
Les théories économiques du social et du politique dans le temps et l’espace
Problématique et plan
Partie I. : L’analyse économique du politique 1948-1965
Introduction de la Partie I
Chapitre I. Le travail aux frontières suscité par les évolutions de la théorie du bien-être
I.1. Le changement de place de l’État dans la société et sa représentation en science politique et science économique
I.1.1. Les faits
I.1.2. La science économique et la place nouvelle de l’État
I.1.3. La science politique et la nouvelle place de l’État dans la société
I.1.4. L’État comme obstacle aux libertés individuelles et à la démocratie
I.2. Le travail aux frontières de la science économique et de la science politique : la mise en relation du vote et du marché
I.2.1. Incursions aux frontières de la science économique
I.2.2. La réaffirmation de l’efficacité du marché dans la détermination des choix collectifs
I.2.3. Vers une théorie économique des constitutions : The Calculus of Consent
Conclusion du Chapitre I
Chapitre II. La défaillance de l’action collective dans la satisfaction des préférences individuelles
II.1. L’inefficience des décisions collectives
II.1.1. La satisfaction d’intérêts particuliers
II.1.2. Concurrence politique et allocation de ressources
II.1.3. Règle majoritaire et inefficience de l’action collective
II.2. La défaillance de l’action collective : abstentionnisme et free riding
II.2.1. Downs et l’abstentionnisme
II.2.2. The Logic of Collective Action et la justification de la coercition
II.2.3. La professionnalisation d’une discipline
Conclusion du Chapitre II
Conclusion de la Partie I
Partie II. : Les analyses économiques du social (1955-1973)
Introduction de la Partie II
Chapitre III. Le modèle de l’agent rationnel appliqué au « social » : une remise en cause des liens traditionnels entre économie et sociologie (1955-1964)
III.1. Les économistes, les sociologues et la discrimination
III.1.1. L’influence de Gunnar Myrdal dans la société d’après guerre
III.1.2. Les économistes et la discrimination dans les années 1950
III.1.3. Une nouvelle approche de la discrimination : l’analyse de Becker en 1957
III.2. Les difficultés pour développer l’approche économique des phénomènes sociaux
III.2.1. La réception de The Economics of Discrimination
III.2.2. Les critiques de la théorie de la fécondité
III.2.3. Consolider la démarche
Conclusion du Chapitre III
Chapitre IV. La préoccupation pour la notion de pauvreté stimula le développement des analyses économiques du social
IV.1. La Guerre contre la pauvreté et la définition du « social »
IV.1.1. Les origines du regain d’intérêt pour la pauvreté
IV.1.2. Un exemple de rationalisation : le Social Report de 1969 et la définition du « social »
IV.1.3. Le Social Report et la division des tâches entre l’économie et les autres sciences sociales
IV.2. Le développement des théories économiques du « social » et la crise des années 1960
IV.2.1. Le développement du capital humain : un cheval de Troie dans l’analyse économique du social
IV.2.2. Le développement de l’analyse économique de la santé
IV.2.3. Crime, pauvreté et allocation des ressources rares
IV.2.4. Les économistes et l’ordre public
IV.2.5. La résurgence des analyses économiques de la discrimination
Conclusion du Chapitre IV
Conclusion de la Partie II
Partie III. : L’extension illimitée du marché ? 1969-1988
Introduction de la Partie III
Chapitre V. L’importance des forces économiques dans la détermination du comportement familial
V.1. Calcul économique et choix familiaux
V.1.1. La réapparition de la famille dans le « social »
V.1.2. L’émergence d’une théorie économique de la famille
V.1.3. La théorie des interactions sociales
V.2. L’étude de la famille est-elle réductible à l’étude des forces économiques ?
V.2.1. Les liens ambigus de la pression sociale et du choix économique
V.2.2. La critique du « tout économique » de la théorie de la famille
V.2.3. La concurrence des « impérialismes »
V.2.4. Le marché à l’origine des sociétés
Conclusion du Chapitre V
Chapitre VI. les développements d’une science impériale
VI.1. L’émergence de l’« approche économique » des comportements humains
VI.1.1. La nouvelle théorie du consommateur
VI.1.2. L’approche économique des comportements humains
VI.1.3. L’institutionnalisation de la démarche chez les économistes
VI.1.4. La vulgarisation de l’« approche économique »
VI.2. L’influence de l’« approche économique » sur les frontières disciplinaires
VI.2.1. La réaction des chercheurs face à l’ambiguïté du programme de Becker
VI.2.2. L’émergence d’une nouvelle réflexion sur la place de la science économique par rapport aux disciplines avoisinantes
VI.2.3. Au-delà du politique, du social et du comportement humain
Conclusion du Chapitre VI
Conclusion de la Partie III
Conclusion générale
Bibliographie
Archives
Publications
Anonymes