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De l’exclusion à l’inclusion bancaire des particuliers en France
par GLOUKOVIEZOFF Georges
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2008
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
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Tableaux
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Contrat de diffusion
Remerciements
[Epigraphe]
Introduction Générale
Section 1. Objectifs de la thèse
Section 2. Problématique et hypothèses
Section 3. Les choix de la socio-économie : une approche normative, institutionnaliste et comparative
§1. Dépasser le positivisme néo-classique…à la faveur d’une approche en termes de capabilités
A. La remise en cause du positivisme néo-classique
B. L’approche normative des capabilités
§2. Le point de vue institutionnaliste : Des liens de clientèle aux relations de service
§3. Une approche compréhensive et comparative
Section 4. Les méthodes de collecte et d’analyse des données
§1. Une approche qualitative à micro-échelle
§2. Les récits de pratiques en situation
A. Un type particulier d’entretiens
B. Un outil exploratoire et analytique : passer du particulier au général
C. Statut des hypothèses et taille de l’échantillon
§3. Les outils complémentaires d’analyse
A. L’utilité de l’observation
B. Les apports de la quantification
Section 5. La mise en œuvre de la méthodologie
§1. Des enquêtes menées dans le cadre de commandes sociales
§2. Les trois phases de la recherche
A. Les difficultés bancaires du point de vue des particuliers (fin 2001 – milieu 2003)
B. Le cadre de la prestation de services bancaires, ses limites et ses alternatives (milieu 2003 – fin 2005)
1. La relation bancaire en agence
2. La relation au sein des dispositifs dédiés
3. Un recours ponctuel à la quantification
C. Mise à l’épreuve, amélioration et mise en perspective de notre grille de lecture (fin 2005 –milieu 2008)
1. Un approfondissement de la mise en perspective internationale
2. Une application de notre grille de lecture et une mise à l’épreuve de nos hypothèses « globales »
Section 6. Les temps de la thèse
4.1. La financiarisation au cœur des conséquences de l’exclusion bancaire
4.2. Les caractéristiques de la prestation de services bancaires comme résultat de l’incertitude et des contraintes de rentabilité
4.3. L’inadéquation des objectifs des établissements bancaires et des besoins des clients au cœur des difficultés bancaires
Partie I. L’exclusion bancaire des particuliers : un phénomène social
Introduction de la partie I
Chapitre 1. Vers une définition de l’exclusion bancaire des particuliers
Introduction du chapitre 1
Section 1. Hégémonie de la définition britannique et nécessité de son dépassement
§1. Une approche « in or out »
A. Un corpus homogène d’analyse
B. Une absence de débat scientifique autour de la définition du phénomène
§2. Une grille d’analyse incomplète
A. Une définition insuffisamment explicite
B. Une focalisation sur les difficultés d’accès
C. Une insuffisante articulation avec la problématique d’exclusion sociale
§3. Vers un renouvellement de la définition de l’exclusion bancaire
A. Une intégration parallèle et progressive des difficultés d’usage
B. De l’exclusion à l’inclusion bancaire
Section 2. Pour une définition complète et rénovée de l’exclusion bancaire
§1. Les spécificités des prises en compte françaises
A. Un champ d’étude très hétérogène
B. Une approche originale fruit d’un travail collectif
C. Pour une définition de l’exclusion bancaire
§.2. Les capabilités comme lien entre les difficultés bancaires et leurs conséquences
A. Exclusion sociale, pauvreté et capabilités
B. Pauvreté absolue, relative et problématique des inégalités
C. Une pauvreté relative à une personne donnée au sein d’une société donnée
Section 3. Délimiter et mesurer l’exclusion bancaire
§1. Exclusion bancaire et chiffrage
A. La nécessité d’une démarche pragmatique
B. Quel panier de produits bancaires prendre en compte ?
C. Comment dénombrer les difficultés d’usage ?
§2. Exclusion bancaire et surendettement
A. le surendettement : de quoi parle-t-on ?
B. Le surendettement à l’épreuve des difficultés bancaires
C. Aux frontières de notre définition : le surendettement en l’absence de crédit
Conclusion du chapitre 1
Chapitre 2. La financiarisation
Introduction du chapitre 2
Section 1. La monnaie comme institution sociale
§1. Limites et remise en cause d’une approche purement instrumentale de la monnaie
A. La monnaie comme instrument économique
B. Une remise en cause théorique et empirique
§2. La monnaie au cœur du lien social
A. Une dimension fonctionnelle dépassant le seul cadre économique
B. La permanence de la dimension hiérarchique de la monnaie
C. La monnaie comme institution sociale
Section 2. La financiarisation des rapports sociaux
§1. La dénonciation d’une marchandisation et d’une destruction des liens sociaux
§2. Construction de notre grille de lecture
A. Redéfinition du périmètre des différentes formes de la financiarisation
B. Distinction des supports et des logiques
§3. Les formes de la financiarisation
A. La monétarisation des dépenses
B. L’intermédiation croissante des usages monétaires
C. La financiarisation des besoins de promotion et de protection
D. La montée des spéculations
Section 3. Les étapes de la financiarisation en France
§1. Du milieu du XIXe siècle à 1950 : les fondations
A. Les balbutiements du crédit de trésorerie
B. L’épargne populaire comme outil de « conversion philosophique » des classes populaires
C. La mise en place des bases du système bancaire
§2. 1950-1980 : l’accélération de la financiarisation sous le contrôle de l’État
A. Société de consommation et monétarisation
B. Une financiarisation des besoins de promotion et de protection encadrée par l’État
C. Bancariser la population pour financer la croissance
§3. De 1980 à aujourd’hui : vers une nouvelle « transformation » polanyienne ?
A. Une monétarisation toujours plus poussée
B. Les établissements de crédit au cœur de la vie des particuliers
C. La mise en retrait de l’État
Conclusion du chapitre 2
Chapitre 3. Les conséquences des difficultés bancaires d’accès ou d’usage
Introduction du chapitre 3
Section 1. Les conséquences des difficultés bancaires comme privation de capabilités
§1. Les conséquences macroéconomiques des difficultés bancaires
A. Accès bancaire et niveau de pauvreté monétaire et d’inégalités de revenus
B. Du développement de l’accès à la lutte contre l’exclusion : problématiques Sud-Nord
§2. Les capabilités : de l’individuel au collectif
A. Exclusion sociale et liens de dettes/créances
B. La mise en cause de l’estime de soi
C. Processus d’exclusion sociale et bancaire et articulation des différents liens sociaux
Section 2. Remise en cause des liens sociétaires et communautaires
§1. Les liens sociétaires
A. Établir et entretenir les liens sociétaires : question de confiance
B. Les surcoûts des difficultés bancaires
§2. Les liens communautaires
A. Les relations amicales et familiales
B. Couple et difficultés bancaires
Section 3. Le lien à soi pivot de l’appartenance sociale
§1. Pratiques monétaires et bancaires : l’appropriation
A. De l’appropriation monétaire à l’appropriation bancaire
B. Le lien à soi au cœur du processus d’appropriation
§2. Les conséquences des difficultés bancaires sur le lien à soi
A. Stigmatisation et distinction sociale
B. Une « déchéance » personnelle
C. Articulation des différents types de lien
§3. Diversité des vécus des difficultés bancaires
A. Le rôle des émotions
B. Une mise à l’épreuve du lien à soi aux conséquences diverses
Section 4. L’exclusion bancaire : nouvelle forme de pauvreté par la financiarisation ?
§1. Au carrefour de la financiarisation et de l’individualisme marchand
§2. Une mise en cause de la dimension verticale du lien social
A. Un facteur de contrôle social ?
B. La mise en péril de la cohésion sociale par l’aggravation des inégalités sociales
§3. Un constat trop négatif ?
Conclusion du chapitre 3
Conclusion de la partie I
Partie II. Prestation de services bancaires et incertitudes
Introduction de la partie II
Chapitre 4. Le crédit : des relations de long terme pour réduire les incertitudes
Introduction du chapitre 4
Section 1. Les bases de la réflexion : le modèle de Stiglitz et Weiss de 1981
§1. La mise en échec du taux d’intérêt comme outil de régulation du marché du crédit
A. L’asymétrie d’informationex ante et sélection adverse
B. L’asymétrie d’informationex post et l’aléa moral
§2. La compréhension d’enjeux inégalement exploités
A. Caractéristiques de l’offre et sélection adverse
B. Caractéristiques de l’offre et aléa moral
C. Caractéristiques de l’offre et qualité du produit : la question de l’adéquation
Section 2. L’économie bancaire et la voie unique de la calculabilité
§1. Sélection et incitations dans des modèles unipériodiques
A. Sélectionner les clients en neutralisant l’asymétrie d’informationex ante
B. Inciter les emprunteurs pour dépasser le risque d’aléa moral
§2. Sélection et incitation dans les modèles de long terme
A. La théorie du compte chèque
B. Les contrats incitatifs
§3. L’introduction de principes extérieurs à l’échange : la réputation et la hiérarchie
A. Les contrats implicites et l’introduction de la réputation
B. L’analyse de Williamson : actif spécifique et hiérarchie
C. Une analyse économique qui s’éloigne de ses fondamentaux
Section 3. Relation de crédit de long terme et « marché jugement »
§1. L’apport d’une lecture sociologique de la relation de crédit de long terme L’analyse des théories sociologiques présentées ici a été menée en collaboration avec Lazarus dans le cadre d’une revue de la littérature réalisée pour la Mission de la Recherche de La Poste en 2005 (Gloukoviezoff & Lazarus, 2005).
§2. L’économie de la qualité : un essai de synthèse et de dépassement ?
A. « Marché jugement » et « marché prix »
B. Modalités de coordination et nature de l’incertitude
Conclusion du chapitre 4
Chapitre 5. De l’incertitude de la relation de crédit à l’incertitude de la prestation de services bancaires
Introduction du chapitre 5
Section 1. Pour un dépassement d’une approche centrée sur le crédit
§1. Économie bancaire et focalisation sur l’activité de crédit
A. La banque comme intermédiaire financier
B. Une prise en compte fragmentée et hiérarchisée
§2. Une remise en cause légitimée empiriquement
A. Les enseignements du droit : diversité des produits et question du conseil
B. L’intermédiation n’est plus au cœur de la rentabilité des banques
Section 2. La prestation de services bancaires : la construction sociale du produit
§1. Qu’est-ce qu’une prestation de services ?
§2. Prestation de services bancaires et nature du produit
A. L’objet de la prestation : réalité S et capacités techniques et humaines
B. La transformation ou output
C. Les effets utiles de la prestation ou outcome
§3. La définition de la prestation de services bancaires
Section 3. Prestation de services bancaires et incertitude
§1. Incertitude sur la qualité de la prestation de services bancaires et limites des outils de l’économie bancaire
A. L’incertitude sur la qualité de l’output : le comportement de l’emprunteur
B. L’incertitude sur la qualité de l’outcome… n’existe pas
§2. Des caractéristiques de la prestation favorables à l’incertitude
A. La sélection
B. L’irréversibilité
C. La singularité de la réalité S
D. L’évaluation de la qualité de la prestation
§3. Une incertitude partagée et complexe
A. Incertitude sur la qualité de l’output
B. L’incertitude sur la qualité de l’outcome
C. Des foyers d’incertitude interdépendants
Conclusion du chapitre 5
Chapitre 6. Relation de service et réduction de l’incertitude sur la qualité du résultat
Introduction du chapitre 6
Section 1. Singularité du résultat et nécessaire collaboration
§1. Effets utiles des relations de service
A. Une coopération réductrice d’incertitude quant à la qualité du résultat
B. La confiance au cœur de la relation
§2. Les relations de service : des relations de pouvoir
A. Les modalités de participation du client
B. Une relation sociale et une relation de pouvoir
Section 2. Des relations de service porteuses de leurs propres incertitudes
§1. Le délicat exercice du jugement
A. Knight, le jugement et l’opportunisme
B. Les compétences des acteurs : techniques et relationnelles
§2. Des relations dissymétriques
A. La relation bancaire est une relation marchande…
B. … mais elle est plus que cela.
§3. Modalités de réduction de l’incertitude et exclusion bancaire
A. Arbitrage entre jugement et consolidation
B. Cercles vicieux et vertueux de la réduction de l’incertitude et rentabilité des clients
Conclusion du chapitre 6
Chapitre 7. La modernisation ambivalente de la banque de détail
Introduction chapitre 7
Section 1. De la banque traditionnelle à sa remise en cause
§1. Une banque encastrée localement et socialement
A. L’activité bancaire perçue comme un service public par la population
B. Une relation bancaire de proximité
§2. Évolution du contexte et remise en question de l’efficacité de l’organisation bancaire
A. Une exposition au risque non maîtrisée
B. La remise en cause de leur cœur de métier : l’intermédiation
C. La fin de la course au guichet
§3. Une transformation du paradigme bancaire
A. Les multiples mobiles des réponses choisies aux nouvelles contraintes
B. Le discours marketing comme nouveau dogme
C. La « révolution quantitative »
Section 2. Une « modernisation bancaire » sous contrainte de rentabilité
§1. Du « marché concret » au « marché segment »
A. La mise en accusation de la relation de service
B. Les modifications des modes de coproduction
C. Un copilotage encadré
§2. Une transformation du métier de banquier et du rapport de pouvoir « salarial »
A. Le banquier : du conseiller au commercial
B. Un recentrage du pouvoir au sein de l’organisation
§3. Est-ce que la rationalisation engagée est compatible avec la nature de la prestation de services bancaires ?
A. Diversité des rationalisations
B. L’industrialisation de la prestation de services bancaires
C. Les limites de l’industrialisation : output et outcome
Conclusion du chapitre 7
Conclusion de la partie II
Partie III. Prestation de services bancaires inappropriée et difficultés bancaires
Introduction partie III
Chapitre 8. Le copilotage à l’épreuve des besoins spécifiques des clients en difficulté
Introduction chapitre 8
Section 1. Une prestation de services bancaires inadaptée aux contraintes socioéconomiques
§1. Réalité des contraintes socioéconomiques
A. Le niveau de revenu
B. La catégorie socioprofessionnelle
C. La situation familiale
§2. Des évolutions sociales sources de difficultés bancaires
A. Des causes conjoncturelles et structurelles
B. Difficultés bancaires d’usage et contraintes sociétales : la place des inégalités
Section 2. Les décisions des clients : un élément aggravant ?
§1. Les difficultés bancaires : une explication comportementale
A. Un comportement source de difficultés : une caractéristique des « pauvres » ?
B. Des choix sous influence
§2. Des compétences et savoir-faire pas toujours adéquats
A. Une explication par des compétences techniques pertinente mais insuffisante
B. Les effets pervers de l’appropriation monétaire et bancaire
Section 3. L’impossible copilotage ?
§1. Une inadéquation structurelle
A. Une structuration inadaptée au besoin de conseil
B. Une dépersonnalisation qui favorise les préjugés
C. Les effets pervers d’un rapport hiérarchique
§2. Diversité des relations bancaires et des formes de copilotage
A. Un vécu différencié de la relation
B. Diversité des relations selon les types d’établissements
Conclusion chapitre 8
Chapitre 9. Caractéristiques techniques de la prestation et difficultés bancaires d’accès et d’usage
Introduction chapitre 9
Section 1. La rentabilisation des difficultés d’usage
§1. Une clientèle non rentable ?
A. Un profil de consommation apparemment peu profitable…
B. … mais pas si inintéressant que cela
§2. Des caractéristiques des produits adaptées… aux objectifs des établissements de crédit
A. Des besoins ignorés ou mal satisfaits
B. Des conditions tarifaires différenciées et ciblées
§3. Des difficultés d’usage sources de profits ?
A. Du soutien…
B. … en passant par la sanction…
C. … jusqu’à la mise à distance
§4. Des caractéristiques à l’influence négative sur les pratiques des clients
A. Des clients qui se mettent en retrait
B. Un transfert de la charge de l’incertitude vers les clients
Section 2. La diversité des difficultés d’accès comme modalités de gestion du risque
§1. Des exigences de solvabilité de la prestation de services bancaires débouchant sur des difficultés d’accès
A. Un accès pour le moins différencié
B. Des difficultés d’accès liées aux probables difficultés d’usage ?
C. Diversité des stratégies selon les réseaux bancaires
§2. Manifestation des difficultés d’accès
A. Confronté au transfert de la charge du risque : l’auto-exclusion
B. Sélection directe
C. Sélection indirecte
Conclusion chapitre 9
Chapitre 10. Quelles réponses à l’exclusion bancaire ?
Introduction chapitre 10
Section 1. Les réponses du système bancaire français
§1. Limiter les conséquences de la mauvaise qualité de la prestation de services bancaires
A. Le droit au compte et le service bancaire de base
B. L’encadrement des frais en cas d’incident de paiement
C. Le traitement du surendettement
§2. Les lois qui tentent d’agir sur le déroulement de la prestation
A. L’obligation d’information du consommateur
B. L’information des prestataires : les fichiers négatifs
C. L’aide à la résolution des conflits : la médiation bancaire
Section 2. Améliorer le fonctionnement du marché
§1. Dépasser les imperfections de l’information
A. Améliorer les connaissances des consommateurs : l’éducation financière
B. Améliorer l’information disponible pour les prêteurs : le fichier positif
§2. Assurer la rentabilité de la relation : l’impasse d’une réponse purement technique
A. Réduire le coût du risque : la titrisation
B. Accroître le prix payé : la suppression du taux de l’usure
C. Quelques leçons anglo-saxonnes « de terrain » à retenir
Section 3. D’une prestation adéquate à un mode de régulation adéquat
§1. Expérimenter une prestation de services bancaires différente
A. Des expérimentations aux caractéristiques proches
B. Une efficacité réelle
§2. La question de la soutenabilité économique : la nécessaire régulation
A. L’indispensable subventionnement ?
B. Prendre en compte l’efficacité économique et sociétale d’un système bancaire plus inclusif
C. Les enjeux d’un modèle de régulation « solidaire »
Conclusion chapitre 10
Conclusion de la partie III
Conclusion générale
1. Définir le processus d’exclusion bancaire des particuliers
2. L’exclusion bancaire comme « pathologie » de la financiarisation
3. La qualité de la prestation de services bancaires au cœur du processus d’exclusion bancaire
3.1. Conceptualisation de l’incertitude liée à la prestation de services bancaires
3.2. Influence de la contrainte de rentabilité sur la contrainte technique de réduction de l’incertitude
4. Pertinence des réponses existantes et nécessité d’agir sur le mode de régulation du secteur bancaire
5. Perspectives ouvertes par la thèse
Bibliographie
Annexes
Annexe 1 : Guide d’entretien téléphonique de l’enquête pour la Caisse des dépôts (Gloukoviezoff & Guérin, 2002a)
Annexe 2 : Guides d’entretien de l’enquête pour l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion sociale et la Caisse des dépôts et consignations (Gloukoviezoff, 2004c)
Annexe 3 : Grille d’analyse des demandes exprimées au guichet (Gloukoviezoff, 2003)
Annexe 4 : Synthèse de l’étude pour le Secours Catholique (Gloukoviezoff & Lazarus, 2007 ; Gloukoviezoff & Palier, 2008)
Annexe 4 bis : Les besoins des emprunteurs et les caractéristiques des Crédits projet personnel
Annexe 4 ter : Les projets des emprunteurs et le champ de l’impact attendu
Annexe 4 quater : Les impacts directs et indirects des Crédits projet personnel
Annexe 4 penta : Les quatre types d’impact global
Annexe 5 : Guides d’entretien des enquêtes pour le Secours Catholique(Gloukoviezoff & Lazarus, 2007 ; Gloukoviezoff & Palier, 2008)
Annexe 6 : Synthèse et programme voyage d’étude aux États-Unis
Annexe 7 : Profils des clients Le Monde de l’Argent