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Précarité au masculin et au féminin : Le travail, une construction sociale problématique
par Revel, Dominique
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2000
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Table des matières
Tableaux
Page de titre
1. INTRODUCTION
2. UNE HISTOIRE DE FEMMES, DE TRAVAIL, DE CHOMEURS
2.1. DE LA SCIENTIFICITÉ DU CHERCHEUR
2.2 DES ÉTUDES FÉMINISTES AUX ÉTUDES SUR LES FEMMES
2.2.1. DU TRAVAIL DES FEMMES
2.2.1.1. DE L’HISTOIRE A L’ANALYSE DE L’HISTOIRE
2.2.1.2. TRAVAIL FÉMININ ET CAPITALISME
2.2.1.3. ANALYSES DU TRAVAIL DES FEMMES
2.2.2. LA DIVERSIFICATION, OU LE COMBAT POUR L'ÉGALITÉ
2.3. DU TRAVAIL À L'EMPLOI
2.3.1. TRAVAILLER : FAIRE DE NÉCESSITÉ VERTU
2.3.1.1. DU TRAVAIL DES DIEUX...
2.3.1.2. ...AU TRAVAIL POUR DIEU
2.3.1.3. DU TRAVAIL ALIÉNANT AU TRAVAIL LIBÉRÉ
2.3.2. CHÔMER, CHÔMAGE, CHÔMEUR
2.3.2.1. PROCESSUS DE CATÉGORISATION
2.3.2.2. PROCESSUS DE NORMALISATION
2.3.3. DE LA PARTICULARITÉ À LA PRÉCARITÉ
2.3.3.1. DE L'EMPLOI ...
2.3.3.2. ...AU CHÔMAGE
2.4. INSERTION MODE D'EMPLOI
2.4.1. CONSTRUCTION DU CHAMP POLITICO-ADMINISTRATIF
2.4.1.1. ENTRE EXPERIENCES ET INNOVATIONS
2.4.1.2. LES MISSIONS LOCALES
2.4.1.3. LE CRÉDIT FORMATION INDIVIDUALISÉ
2.4.2. INSERTION, DE QUOI PARLE-T-ON ?
2.4.2.1. DE LA "TRANSITION" À LA "STABILISATION"
2.4.2.2. LES JEUNES FEMMES ET L'ACTIVITÉ
2.4.3. INSERTION, DE QUI PARLE-T-ON ?
2.4.4. LA SOCIALISATION "POSTSCOLAIRE"
2.4.5. INSÉRER AU FÉMININ
2.4.5.1. LES PARCOURS DE LA DIFFÉRENCE
2.4.5.2. LE SEXE DE L'INSERTION
3. UNE HISTOIRE DE MÉTHODE
3.1. PROFESSION : "CONSEILLÈRE"
3.2. POSTULATS
3.3. OPTIONS THÉORIQUES ET MÉTHODOLOGIQUES
3.3.1. UNE SOCIOLOGIE COMPRÉHENSIVE
3.3.2. UNE PERSPECTIVE CONSTRUCTIVISTE
3.3.3. LA LOGIQUE DE LA PRATIQUE
3.3.4. LES RÉCITS DE VIE
3.4. LE CHOIX DU TERRAIN
3.4.1. TERRAIN D’ENQUÊTE
3.4.2. MODALITÉS DE RÉALISATION DE « L’ENQUÊTE »
3.5. CONDITIONS DE PRODUCTION DU DISCOURS
3.5.1. LES COMPETENCES LINGUISTIQUES EN QUESTION
3.5.2. LA CONSIGNE
3.6. PROCÉDURES D’ANALYSES
4. DES HISTOIRES D’INSERTION MARQUÉES PAR LE GENRE
4.1. LA « PRÉCARITÉ » AU FÉMININ
4.1.1. LATIFA, OU L'APPRENTISSAGE DE LA VIE ADULTE
4.1.1.1. LE CONTRAT D'APPRENTISSAGE
4.1.1.1.1. CONTRAT DE REORIENTATION
4.1.1.1.2. CONTRAT DE "FORMATION"
4.1.1.1.3. CONTRAT « SOCIAL »
4.1.1.2. UNE HISTOIRE DE FEMMES
4.1.1.2.1. UNE FAMILLE "RESPECTABLE"
4.1.1.2.2.UN DIPLÔME DE FAMILLE
4.1.1.3. UNE TÊTE D'"ARABE"
4.1.1.3.1. PROCESSUS DE CATÉGORISATION
4.1.1.3.2. LE « MÉNAGE » : TRAVAIL DE LA FEMME « ARABE »
4.1.1.4. L'ATTENTE
4.1.1.4.1. LE PATRONAGE
4.1.1.4.2. LE « HASARD » COMME ISSUE A L’ATTENTE
4.1.1.4.3. PERTE DE TEMPS
4.1.1.5. LES PROFESSIONNELS DE L'INSERTION
4.1.1.6. LOGIQUE DE PARCOURS
4.1.1.6.1. UN DIPLÔME
4.1.1.6.2. ....POUR ETRE MERE AU FOYER
4.1.1.7. PROCESSUS DE MISE A DISTANCE
4.1.1.7.1. L’ISOLEMENT
4.1.1.7.2. LA « PERSONNALITE » EN QUESTION
4.1.1.8. PORTRAIT D’UNE « INACTIVE »
4.1.2. CHRISTINE, OU LE REVENU MINIMUM D'EXCLUSION
4.1.2.1. INDÉFINISSABLE TRAVAIL
4.1.2.1.1. LE MILIEU HOSPITALIER
4.1.2.1.2. L’IMPOSSIBLE RELATION FORMATION-EMPLOI
4.1.2.1.3. DES EMPLOIS AUX METIERS
4.1.2.2. LA MISSION LOCALE
4.1.2.2.1. STRUCTURE DE CONTRÔLE SOCIAL
4.1.2.2.2. PÉDAGOGIE DE LA "DÉPOSSESSION"
4.1.2.3. LES ORGANISMES DE FORMATION
4.1.2.3.1. L’INACCESSIBLE PROFESSIONNALISATION
4.1.2.3.2. L'INTROUVABLE EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
4.1.2.3.3. L’INCONTOURNABLE « MOTIVATION »
4.1.2.4. LE PARCOURS D’INSERTION
4.1.2.4.1. PARCOURS DE REORIENTATIONS
4.1.2.4.2. METIERS AU MASCULIN-FEMININ
4.1.2.4.3. NIVEAU INSUFFISANT
4.1.2.5. LE TRAVAIL
4.1.2.5.1. LA « PRECARITE » PROFESSIONNELLE
4.1.2.5.2. DE L’UTILITE A LA NECESSITE
4.1.2.5.3. LES EMPLOIS DE PROXIMITE
4.1.2.6. L’EXCLUSION
4.1.2.6.1. IDENTIFICATION IMPOSSIBLE
4.1.2.6.2. RESSOURCES INSUFFISANTES
4.1.2.6.3. TEMPORALITE PROBLEMATIQUE
4.1.2.6.4. LES "BOULOTS" INCLASSABLES
4.1.2.6.5. LA "PERSONNE" EN QUESTION
4.1.2.6.6. REVENU MINIMUM D’EXCLUSION
4.1.2.6.7. MERE DE FAMILLE
4.1.2.7. LES STRUCTURES D'INSERTION-EXCLUSION
4.1.2.7.1. IMPUISSANCE
4.1.2.7.2. FAUX CHOMEURS OU VRAIS DEMANDEURS D’EMPLOI
4.1.2.7.3. LE "PISTON"
4.1.2.7.4. ETRE « ACTIF »
4.1.2.7.5. LA SORTIE
4.1.2.8. PORTRAIT D’UNE "EXCLUE"
4.1.3. NADINE, OU LA FONCTION PUBLIQUE
4.1.3.1. RÉORIENTATION PROFESSIONELLE
4.1.3.1.1. LE SECTEUR PRIVE
4.1.3.1.2. LE SECTEUR PUBLIC
4.1.3.1.3. LA MISSION LOCALE
4.1.3.2. DE L’ ÉCOLE À L’UNIVERSITÉ
4.1.3.2.1. "L’ÉQUIVALENT-TRAVAIL"
4.1.3.2.2. LE BACCALAURÉAT COMME NIVEAU MINIMUM
4.1.3.2.3. SAVOIRS PRATIQUES CONTRE SAVOIRS THEORIQUE
4.1.3.3. FONCTIONNAIRE
4.1.3.3.1. SERVICE COMMUNICATION
4.1.3.3.2. LE TEMPS PROFESSIONNEL
4.1.3.3.3. EN QUETE DE PROFESSIONNALISME
4.1.3.4. DE LA PASSION AU TRAVAIL
4.1.3.4.1. PLAISIR CONTRE TRAVAIL
4.1.3.4.2. LE TEMPS DU TRAVAIL
4.1.3.4.3. TEMPS PRIVE, TEMPS PUBLIC
4.1.3.4.4. UN RYTHME PROBLEMATIQUE
4.1.3.5. ETRE "JEUNE"
4.1.3.5.1. EFFET GENERATIONNEL
4.1.3.5.2. PLAISIR COMME ROUTINE
4.1.3.5.3. UNE FEMME ACTIVE
4.1.3.6. DE LA SOCIALISATION SCOLAIRE A LA SOCIALISATION PROFESSIONNELLE
4.1.3.6.1. RAPPORTS DE POUVOIR
4.1.3.6.2. PASSIFS CONTRE ACTIFS
4.1.3.6.3. EN RETARD
4.1.3.6.4. L'IDEOLOGIE DU MERITE
4.1.3.7. PORTRAIT D'UNE "ARTISTE"
4.1.4 POUR CONCLURE
4.2. LA "PRECARITE" AU MASCULIN
4.2.1. MAKRAM, OU LE REFUS DE L'ASSISTANCE
4.2.1.1. LES STRUCTURES D'INSERTION
4.2.1.1.1. L'ORIENTATION
4.2.1.1.2. HISTOIRE D’UN « CHOIX »
4.2.1.1.3. L'ATTENTE
4.2.1.2. DU BOULOT AU MÉTIER
4.2.1.2.1. TEMPS SOCIAL
4.2.1.2.2. L'EMBAUCHE
4.2.1.2.3. L'INSTABILITE COMME CONDITION DU "PLAISIR"
4.2.1.2.4. PROFESSIONNALISATION CONTRE "GALERE"
4.2.1.2.5. ETRE RESPONSABLE
4.2.1.3. LE TRAVAIL DE LA NÉCESSITÉ
4.2.1.3.1. SOCIALISATION FAMILIALE
4.2.1.3.2. LES PAIRS
4.2.1.4. L'USINE
4.2.1.4.1. LA FUITE
4.2.1.4.2. LES LIEUX DE POUVOIR
4.2.1.4.3. LES "PETITS CHEFS"
4.2.1.4.4. DISPOSITIF DE CONTROLE SOCIAL
4.2.1.4.5. ETRE UN « HOMME »
4.2.1.4.6. LE "PISTON"
4.2.1.5. PORTRAIT D'UN "PROFESSIONNEL"
4.2.2. SYLVAIN, ENTRE DIPLÔME ET CARRIÈRE
4.2.2.1. LE CONTRAT DE TRAVAIL
4.2.2.1.1. UN CONTRAT A DUREE INDETERMINEE
4.2.2.1.2. LE CONTRAT DE QUALIFICATION
4.2.2.2. UN DIPLÔME À N'IMPORTE QUEL PRIX
4.2.2.2.1. PROCEDURE DE REORIENTATION
4.2.2.2.2. PROCESSUS DE CATEGORISATION
4.2.2.2.3. LOGIQUE DE CAPITALISATION
4.2.2.3. TRAVAILLER
4.2.2.3.1. L’EXPERIENCE PROFESSIONNELLE
4.2.2.3.2. LA FONCTION
4.2.2.3.3. L’AMBIANCE
4.2.2.3.4. LE TRAVAIL : NECESSITE DU PAUVRE
4.2.2.3.5. ETRE UTILE
4.2.2.4.SE PRÉMUNIR CONTRE LE CHÔMAGE
4.2.2.4.1. SE QUALIFIER
4.2.2.4.2. SE METTRE A SON COMPTE
4.2.2.4.3. UNE LUTTE COLLECTIVE
4.2.2.5. LOGIQUE DE PARCOURS
4.2.2.5.1. RECLASSEMENT
4.2.2.5.2. FAIRE CARRIERE
4.2.2.5.3. S’ADAPTER
4.2.2.6. RECHERCHE D'EMPLOI
4.2.2.7. LE TRAVAIL
4.2.2.7.1. LE RYTHME DE TRAVAIL
4.2.2.7.2. DU BOULOT AU METIER
4.2.2.7.3. LE PLAISIR
4.2.2.8. PORTRAIT D'UN "CARRIÉRISTE"
4.2.3. JOHAN, OU LE BOULOT
4.2.3.1. L'EMPLOI
4.2.3.1.1. LA RECHERCHE D'EMPLOI
4.2.3.1.2. LE TRAVAIL
4.2.3.1.3. METIER MASCULIN
4.2.3.1.4. LE STATUT
4.2.3.2. LES DISPOSITIFS D'INSERTION
4.2.3.2.1. LA MISSION LOCALE
4.2.3.3. LA "PRÉCARITÉ" REQUALIFIÉE
4.2.3.3.1. DEMARCHES DE RECHERCHE D’EMPLOI
4.2.3.3.2. TRAVAIL CONTRE FORMATION
4.2.3.3.3. LA FORMATION PERMANENTE
4.2.3.4. LE TEMPS DU TRAVAIL
4.2.3.4.1. UN RYTHME ATYPIQUE
4.2.3.4.2. TROP LENT
4.2.3.4.3. UN TEMPS SOCIAL PROBLEMATIQUE
4.2.3.4.4. DU TRAVAIL AU HORS-TRAVAIL
4.2.3.5. LE MONDE DU TRAVAIL, OU LA CONVIVIALITE PERDUE
4.2.3.5.1. POUVOIRS ILLEGITIMES
4.2.3.5.2. ANTIPATHIE CONTRE CORDIALITE
4.2.3.5.3. UN HOMME "RELATIONNEL"
4.2.3.5.4. L'ATELIER DE RECHERCHE "D'AMIS"
4.2.3.5.5. LA MISSION LOCALE, DE LA DEPENDANCE A LA DETTE
4.2.3.6. ÊTRE UN HOMME
4.2.3.7. ÊTRE ACTIF
4.2.3.8. PORTRAIT D'UN "RETRAITÉ"
4.2.4. POUR CONCLURE
5. CONCLUSION
5.1. LES DISPOSITIFS D'INSERTION
5.2. LE TRAVAIL : ENTRE CONTRAINTE ET EPANOUISSEMENT
5.3. DES METIERS AUX EMPLOIS
5.4. LA PRÉCARITÉ PROFESSIONNELLE
5.5. L’IDENTITÉ
5.6. LE TEMPS DE LA SOUFFRANCE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LA MISSION LOCALE ASSINTERCOM EN CHIFFRES
I. CARACTÉRISTIQUES DU PUBLIC EN 1995
II. UTILISATION DES MESURES ET CONTRATS DE TRAVAIL EN 1995
PROFIL ET PARCOURS DES JEUNES ENQUETES
I.FEMMES
II. HOMMES
TABLEAUX THEMATIQUES
