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Les horizons de la grande vitesse : le TGV, une innovation lue à travers les mutations de son époq...
par Klein, Olivier
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2001
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
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Tableaux
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Introduction générale
1. Transport, économie et société : évolution des représentations
L’offre de transport comme dispensatrice de richesse
L’offre de transport à valoriser par les acteurs
L’offre de transport partie prenante de la société
2. Proposition pour une approche non-déterministe de la relation transport-société
Un cadre d’analyse transversal
Un aller-retour entre le projet localisé et la technique générique ?
Première partie :Prendre la mesurede la grande vitesse
Chapitre 1 : Plus vite ...
1.1 L’accélération des hommes
Après le calme, la tempête
Continuité dans le changement : moins de temps
Continuité dans le changement : moins d’argent
Une histoire de seuils
1.2 L’accélération de la terre
L’espace se rétracte
Les mailles se dilatent
Superposition d’espaces
Plus vite... : sans limite ?
Chapitre 2 : Plus haut
2.1 La vitesse différencie les réseaux
Équipement des grands axes en priorité
Massification des flux
2.2 Vitesse et hiérarchisation spatiale
Hiérarchies urbaines
Des évolutions démographiques différenciées
Des fonctions différenciées
2.3 D’autres concordances de hiérarchies
Hiérarchie sociale et performances des déplacements
Une lente stratification
Vitesse et mobilité généralisées, une valeur dominante de la “Révolution industrielle”
De nos jours encore, la vitesse accaparée par les classes dominantes
Hiérarchie des activités économiques et performances du système de transport
Le commerce au loin au croisement du pouvoir et de la richesse
La performance au service des activités dominantes : de la “Révolution industrielle”...
... à nos jours
Des valeurs de société se diffusent
Conclusion de la première partie
Deuxième Partie : Les mutations de l’époquede la grande vitesse
Chapitre 3 : L’épuisement du fordisme
3.1 Les limites du développement fordiste
Quatre points d’entrée
Division spatiale du travail et mondialisation de l’économie
Intensification de la concurrence et limites de l’organisation fordiste de la production
Un relatif épuisement des moteurs de la croissance
Contradictions sociales de l’organisation fordiste
La flexibilité au coeur des enjeux
Tourner la page du fordisme ?
Le recours à l’histoire
Un processus inachevé
3.2 L’épuisement du fordisme, c’est aussi la naissance du TGV
La pression concurentielle, pour la SNCF aussi
Une démarche globale d’ouverture
Des limites encore perceptibles
Le TGV, produit d’une société en évolution
Quelle est donc cette innovation ?
chapitre 4 : Vers une société de l’information ?
4.1 L’information au coeur du système productif
Définir l’information ?
De la montée des activités « informationnelles »...
... à l’utopie de « la société d’information »
Le paradoxe de la productivité : une première limite à la société de l’information
4.2 La société de communication : quels fondements ?
Un triple fondement
Nécessité idéologique
Nécessité politique
Nécessité économique
Montée de l’information et extension de la sphère marchande
L’information : une tension inéluctable
Un salut hors du marché ?
Marchandisation de l’information
Critique de la communication
4.3 Le TGV : un média de l’information
La grande vitesse, un service moins « industriel » et plus « informationnel » ?
L’économie de l’information prend le train
Chapitre 5 : Vers une société Globale ?
5.1 Une cohérence globale
De la mondialisation à la globalisation
Une stratégie d’intégration de l’activité des firmes
Une réponse à l’accentuation de la concurrence
5.2 Des dynamiques globales
L’élargissement de la sphère marchande
Marché global, identité globale ?
Information et globalisation inégalitaires
5.3 La grande vitesse : une vitesse globale ?
Usage socialement sélectif
Un standard des « villes d’affaires »
Un vecteur d’élargissement à l’espace de la sphère marchande
Troisième partie : De l’organisation productive à l’usage de la grande vitesse
Faire tout d’abord abstraction de la géographie
Chapitre 6 : Les organisations productives en mutation :entre intégration/autonomie et taylorisme flexible
6.1 Des dynamiques organisationnelles multiples
Flexibilité et économie d’échelle ou de variété
Unité et diversité des mondes possibles
Des tendances à la « désintégration verticale » et à la « spécialisation flexible », mais...
... les oligopoles se portent bien, merci !
Gouvernance
6.2 Un double mouvement d’intégration et d’autonomie
Une réponse organisationnelle à l’épuisement du modèle taylorien
Intégration organisationnelle et autonomie des structures
Une lecture que l’on peut conduire à différents niveaux du système productif
6.3 Intégration organisationnelle et autonomie des structures ne sont pas seules au monde
Le « taylorisme flexible »
Dualité du système productif
Maîtrise des coût et différenciation : deux évolutions parallèles
Chapitre 7 : Grande vitesse et temps sociaux
7.1 Le temps industriel
Le temps du capitalisme industriel
Le temps industriel demeure d’actualité
7.2 Au-delà du temps industriel, d’autres rythmes contemporains
Les nouvelles temporalités du système productif
Le temps fragmenté de l’autonomie/intégration
7.3 Temps sociaux et mobilité
La logique industrielle de « la vitesse comme opportunité »
Le temps fragmenté de la vitesse comme nécessité
Quatrième partie : Métropolisation de l’espace productif : concentration et diffusion
Chapitre 8 : Les dynamiques multiples de l’espace productif
Des dynamiques spatiales multiples
8.1 Concentration et diffusion
Les modèles de Paul Krugman et Brian Arthur : le poids de l’histoire et du marché
La théorie de la polarisation ou les relations asymétriques
Spécialisation
8.2 Les analyses territoriales : l’espace au-delà des jeux de marché
Les Systèmes Productifs Locaux : territoire cherche société
Proximités : la métaphore spatiale
S’affranchir de l’espace pour mieux le saisir
Chapitre 9 : métropolisation et grande vitesse
9.1 La ville globale
Différenciation sociale renforcée
Un réseau hiérarchisé de métropoles
Concentration et diffusion des activités métropolitaines
Les métropoles ne sont pas seules au monde
9.2 La grande vitesse, métropolitaine ?
Une répartition spatiale hiérarchisée de l’offre de transport
Représenter l’offre de transport à grande vitesse à partir des fréquences
Quelques aspects méthodologiques concernant la construction des cartes
La hiérarchie de l’offre de transport à grande vitesse
Demande de déplacements à grande vitesse, espace métropolitain et espace banal
Trafic métropolitain entre métropoles ?
Des trafics révélateurs des hiérarchies de l’espace productif
Le TGV comme élément symbolique de l’espace métropolitain
La gare TGV : plutôt noeud de réseaux que monument
Quartier de la gare, quartier d’affaires ?
Conclusion générale
Des tendances macro-sociales au TGV, une meilleure compréhension de la grande vitesse ferroviaire est-elle possible ?
Au-delà d’un bilan strictement utilitaire
Des niveaux d’analyse différents
Articuler analyses globales et opérationnelles
Des enseignements à tirer d’un point de vue fonctionnel
La prégnance des tendances lourdes
L’intérêt de la variable de travail métropolitain
Bibliographie
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