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La Lutine - Portrait sociostylistique d'un groupe de squatteurs à Lyon
par KLAEGER Sabine
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2003
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
Illustrations
Tableaux
Page de titre
Remerciements
Première partie : Méthodes et arrière-plan ethnographique
Chapitre I : Eléments théoriques et méthodologie
I.1. Introduction
I.2. L’ethnographie de la communication
I.3. L’ethnométhodologie
1.4. Les concepts de Goffman
I.5. L’analyse conversationnelle
I.6. Développement de l’analyse conversationnelle en France et en Allemagne
I.6.1. L’étude de pratiques (mécanismes, techniques) conversationnelles
I.6.2. Les genres communicatifs et les événements communicatifs
I.6.3. L’étude de la gestion de problèmes et de tâches interactives
I.6.4. La communication institutionnelle
I.6.5. Les portraits communicatifs de groupes et milieux sociaux
I.7 Le portrait sociostylistique de groupe et ses composants
I.7.1 L’ethnographie de la communication et le groupe
I.7.2 Le style communicatif social
I.7.2.1 Stylisation (« Stilisierung »)
I.7.2.2 La description du style communicatif
Chapitre II : Vivre le squatt : mode de vie et formes de communication
II.1 Introduction
II.1.1 La notion du « squatt »
II.1.2 Brève histoire d'un squatt lyonnais
II.1.3 La légalisation
II.2 Les Lutinistes
II.2.1 Les Lutinistes – en général
II.2.2 Les Lutinistes – en tant qu’individus
II.2.3 Les ami(e)s
II.3 Les bases politiques communes
II.3.1 Les bases politiques du groupe présentées par lui-même
II.3.2 L’inscription de la Lutine dans le milieu libertaire lyonnais
II.4 Les locaux
II.4.1 Plan
II.4.2 Description des locaux
II.5 Rôle des espaces et types d'interaction
II.5.1 La conversation intime/privée
II.5.2 La conversation semi-privée : La conversation de couloir
II.5.3 La conversation semi-collective : la conversation d’escalier
II.5.4 La conversation collective
II.5.4.1 Les conversations courantes
II.5.4.2 Les conversations à table Pour une analyse de la conversation à table, voir par exemple Keppler (1994), Knoblauch (1995).
II.5.4.3 Les discussions
II.5.4.4 Les réunions
II.5.4.5 Les deux tableaux blancs
II.5.5 La conversation publique (inter-groupe, avec l'extérieur)
II.5.5.1 La conversation festive
II.5.5.2 Le discours politique
II.5.5.3 Les échanges de service
II.5.5.4 Les débats politiques
II.6 La notion de « groupe »
II.6.1 La Lutine comme groupe primaire
II.6.1.1 Définition de groupe primaire
II.6.1.2 Application du concept aux Lutinistes
II.6.2 La Lutine comme « Community of Practice »
II.6.2.1 Définition de la « Community of Practice »
II.6.2.2 Les autres modèles
II.6.2.3 Application de la « Community of Practice » à la Lutine
II.7 En guise de conclusion
Chapitre III : Le Corpus
III.1 Introduction
III.2 Les réunions de la Lutine
III.3 La discussion et les trois conversations
III.4 Les interviews
III.5 La transcription
Conventions :
Structure séquentielle
Pauses et silences
Autres conventions segmentales
Rires
Intonations
Accentuation
Passages incompréhensibles/difficiles à comprendre
Autres conventions
Sigles
Les exemples dans le texte
Deuxième partie : Analyses
Chapitre IV : La réunion
IV.1 Introduction
IV.2 Travaux sur la réunion
IV.3 La réunion – caractéristiques
IV.3.1 Quelques réflexions sémantiques
IV.3.2 Caractéristiques externes
IV.3.2.1 Le cadre spatio-temporel
IV.3.2.2 Les buts
IV.3.2.3 Les participants (nombre, statut, relation)
IV.3.3 Caractéristiques internes
IV.3.3.1 Le degré de formalité A situer au même niveau que le « degree of institutionalization » de Peskett (1987 : 47).
IV.3.3.2 La focalisation de l’attention
IV.3.3.3 Le déroulement/ la structure de la réunion
IV.3.3.4 L’organisation des tours de parole
IV.3.3.5 L’organisation thématique
IV.3.3.6 Les rôles participatifs
IV.3.3.7 Le mode/le style/la modalité – le « ton »
IV.4 Synthèse – définition de la réunion à la Lutine
Chapitre V : Auto-catégorisation, auto-représentation comme squatteurs
V.1 Introduction
V.1.1 Le concept de catégorisation en psychologie sociale
V.1.2 L’analyse conversationnelle et la catégorisation
V.2 Auto-catégorisation des squatteurs
V.2.1 Militant, alternatif ?
V.2.2 je suis pas une vraie squatteuse
V.2.3 Catégorisation par l’apparence
V.2.4 Le squatteur méchant et la peur des gens
V.2.5 « Normal »
V.2.6 Le tribunal comme lieu de convivialité
V.2.7 Problèmes d'intégration
V.2.8 La délimitation vis-à-vis d’autres squatteurs
V.2.9 personne avertit personne
V.2.10 Préparation de la réunion avec la Courly
V.2.10.1 quinze personnes comme ça dans le vague
V.2.10.2 Le groupe entier = le groupe chaotique ?
V.2.10.3 on n'est pas juste des…
V.2.11 hasta la victoria / tout dépend de ton attitude
V.2.12 Le bruit
V.2.13 Les voisins normaux
V.2.14 Calomnies médiatiques
V.4 Conclusion
Chapitre VI : Le politiquement correct au féminin
VI.1 Introduction
VI.2 La sensibilisation aux questions féministes
VI.2.1 pardon
VI.2.2 je préférerais quelqu’une
VI.2.3 une histoire de domination claire
VI.2.4 à ce moment-là faut vraiment te proposer
VI.3 La féminisation grammaticale
VI.3 En guise de conclusion
Chapitre VII : La mise en scène des actions imaginaires
VII.1 Introduction
VII.2 Formes et fonctions des actions imaginaires
VII.3 Analyses
VII.3.1 Auto-exaltation ou : Jouer son rôle de révolutionnaire
VII.3.1.1 les mains tachées
VII.3.1.2 légumes pourris
VII.3.2 Auto-stylisation ou : Nous sommes les squatteurs méchants
VII.3.2.1 on ira chez vous
VII.3.2.2 madame Debazeille
VII.3.2.3 la grève des poubelles
VII.3.3 Appropriation et ridiculisation des normes de la société
VII.3.3.1 inspection du travail
VII.3.3.2 balayer
VII.3.3.3 des petites cartes
VII.3.4 Des actions imaginaires ou... ?
VII.3.4.1 et elle ne s’épila plus
VII.3.4.2 la poupée qui pète
VII.4 Résumé
VIII Conclusion
IX Bibliographie
Revues militantes
Dictionnaires
Brochures/tracts
Emission radiophonique
Annexes
Annexe 1 : Glossaire
Annexe 2 : Corpus transcrit et tracts militants (sur CD-ROM)
Annexe 3 : Ehrenwörtliche Erklärung