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La vielle à roue dans la musique baroque française : instrument de musique, objet mythique, objet ...
par FUSTIER Paul
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2006
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
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Tableaux
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INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE. ARCADIE MYTHIQUE ET MUSIQUE BAROQUE
CHAPITRE 1. : LE CHAMPETRE ET L’ARCADIEN
1.1. Le mythe de l'Arcadie
1.2. Le pastoral et le champêtre sous le règne de Louis XV.
1.3 Les sens du mythe
1.4. Le mythe et l'utopie.
1.5. L'interprétation des mythes par la psychanalyse.
1.6. Esquisse d'interprétation psychanalytique du mythe de l'Arcadie
1.7. L'identification en clin d'œil
1.7.1. Une posture existentielle.
1.7.2. Le retour « vacancier » en zone rurale.
1.7.3. Le Bourgeois Gentilhomme.
CHAPITRE 2 : MUSIQUE ARCADIENNE, MUSIQUE EMANCIPEE
2.1. Les interprètes.
2.2. L'Arcadien (le champêtre galant) versus l'émancipation
2.2.1. Le répertoire arcadien
2.2.1.1. Les danses
2.2.1.2. Les airs tendres ou lents.
2.2.2. Le répertoire émancipé
2.3. La musique arcadienne.
2.3.1. Du simple et du naturel
2.3.2. De la sensibilité et du génie
2.3.3. De la tendresse
2.4. Critiques ou polémiques : contre le « rustique ».
2.4.1. Du côté des auteurs et du répertoire
2.4.2. Du coté des instruments
2.4.3. Du côté des interprètes
2.4.4. Du côté de l'auditeur
2.5 Critiques ou polémiques : contre l'excès.
2.5.1. Contre le laborieux et la dictature des règles
2.5.2. Contre les bizarreries
2.5.3. L'excès et ses raisons.
2.5.3.1. « L'Economie » musicale.
2.5.3.2. Les arguments de nature sociologique ou psychologique.
2.6. L'Arcadienne et l'Emancipée : deux esthétiques confrontées.
2.6.1. L'instrument, l'interprète et le répertoire.
2.6.2. Le goût et la musique arcadienne;
2.6.2.1. La musique arcadienne et le goût (sens spécifique).
2.6.2.2. Le goût et l'affect.
2.6.3. La musique émancipée et les règles
2.6.3.1. Un travail de la Raison.
2.6.3.2. Les règles du métier
2.6.3.3. La virtuosité.
2.6.4. La synthèse de Rameau
2.6.5. Musique française, musique italienne.
2.6.6. J.J. Rousseau et les musiques française et italienne.
2.6.6.1. Lettre sur l'Opéra Italien et Français.
2.6.6.2. Le traumatisme de 1745.
2.6.6.3. Les écrits postérieurs.
2.6.6.4. Que comprendre ?
2.6.7. Les retournements de l'histoire.
2.7. Une illustration : « L'avertissement » de Jacques Aubert.
2.8. Conclusion.
CHAPITRE 3 : DEUX MUSIQUES QUE RASSEMBLE LE GOUT
3.1. Le Rans des vaches
3.2. Un modèle bipolaire pour différencier musiques arcadienne et émancipée
3.2.1. Les items de la musique arcadienne.
3.2.2. Les items de la musique émancipée.
3.3. La Baroquisation
3.3.1. Une première technique de baroquisation : l'agrémentation.
3.3.1.1. Tradition orale, tradition écrite
3.3.1.2. : « Ornés de leurs agréments par l’auteur ».
3.3.1.3. Prescription ou incitation
3.3.2. Autres techniques de baroquisation
3.3.2.1. L'enflement.
3.3.2.2. L'inégalisation.
3.3.2.3. Le jeu louré.
3.3.2.4. Les fusées.
3.3.2.5. Les batteries.
3.3.2.6. L’effet bourdon.
3.3.2.7. Les doubles et les triples.
3.3.2.8. Tierces et canons.
3.3.3. Musique arcadienne et baroquisation
3.3.3.1. La fonction imaginaire de la musique arcadienne.
3.3.3.2. Techniques utilisées.
3.3.4. Musique émancipée et baroquisation
3.3.4.1. Une musique démythifiée.
3.3.4.2. L'exemple de Rameau.
3.3.5. La question de l'inégalisation des notes brèves.
3.4. L'œcuménisme en musique.
3.4.1. Le Goût (au sens générique) : pour une réconciliation.
3.4.2 Tout est dans le goût
3.4.3. Le paradoxe du goût.
3.4.4. Une connivence sociale
DEUXIEME PARTIE : L’ENTREE DE LA VIELLE DANS LE PAYSAGE MUSICAL
CHAPITRE 4 : LA VIELLE PAYSANNE A L’OREE DU BAROQUE ET L’ENTREE EN ARCADIE
4.1. Présentation de la vielle
4.2. La vielle villageoise
4.2.1. La vielle avant le temps du baroque
4.2.2. L'apport de l'iconographie
4.2.3. Persistance de la vielle villageoise à l'époque baroque
4.2.4 Relativiser l'importance de la tradition villageoise
4.3. L'engouement pour la vielle.
4.3.1. Partitions et inventaires
4.3.2. L’effet d’une mode ?
4.3.3. L’hypothèse de Leppert.
4.4. La musette et la vielle dans la fête champêtre aristocratique On lira des analyses proches de celles que nous proposons, mais qui utilisent la musette comme objet d’études, dans JAM, Jean-Louis, « Marsyas poli par la Cour », Studies on Volotaire and the eighteenth century, 329, p.149/159, p.156.
4.5. Participation à la construction du mythe Arcadien
4.5.1. Une cantatille de Le Menu de Saint Philibert
4.5.2. La dissertation historique de Terrasson
4.5.3. La lettre de Monsieur l'abbé Carbasus
4.6. Conclusion
CHAPITRE 5 : L'INSTRUMENT TRUAND
5.1. Le mythe du mendiant aveugle et vielleux.
5.1.1. Le personnage du mendiant
5.1.2. L'aveugle
5.1.3. Qui est aveugle ?
5.1.4. L'omniprésence de l'aveugle
5.2 La lira mendicorum
5.2.1. L'iconographie
5.2.2. Les écrits
5.3. Conclusion.
CHAPITRE 6 : L’INFILTRATION IMAGINAIRE
6.1. Un instrument mystérieux pour qui le regarde ou l'écoute
6.1.1. Vertus médicinales
6.1.2. Le protocole expérimental de Pierre Trichet
6.1.3. La rencontre entre Freud et Gustav Mahler
6.1.4. Une chanson folklorique : La vielle d'argent
6.2. La subjectivité du vielleux
6.2.1. Un Lien Amoureux ?
6.2.2 Soins Maternels
6.2.3. Indifférenciation Moi/Non Moi
6.2.4. Un monstre destructeur.
6.3. Conclusion
CHAPITRE 7 : LES PETITS SAVOYARDS OU LA RECONCILIATION
7.1. Présence savoyarde
7.1.1. Le savoyard enfant
7.1.2. Le Savoyard adulte
7.2. Valeurs morales attribuées et émotions suscitées
7.2.1. La tradition
7.2.2. La vielle, instrument pour les « pauvres de Dieu » ?
7.2.3. Des musiciens de rue
7.3. Après la période baroque
7.4. Fanchon la vielleuse
7.5. Conclusion
CHAPITRE 8 : LES MUSICIENS DE PROFESSION
8.1. La ménestrandise
8.1.1. La ménestrandise avant les siècles baroques
8.1.2 La ménestrandise à la période baroque
8.2. Les musiciens baroques
8.2.1. Les musiciens de l'époque de Mazarin à l'époque de Louis XV.
8.2.2. Le musicien, la cour et le gueux
8.2.3. Violon et la vielle à roue
8.3. François Couperin et l'axe généalogique
8.3.1. La famille Couperin
8.3.2. L'événement fondateur
8.3.3. Conflit de loyauté entre deux filiations
8.3.4. Le conflit juridique
8.3.5. Les fastes de la grande et ancienne Mxnxstrxndxsx
8.3.6. Coda
8.4. Conclusion
CHAPITRE 9 : LES JOUEURS DE VIELLE
9.1. Situation sociale
9.1.1. Trois groupes sociaux.
9.1.2. La vielle en province
9.1.3. La vielle est majoritairement jouée par des femmes.
9.1.4. Une confrontation avec l'iconographie.
9.2. La Reine et la Cour
9.3. La posture de l'aristocrate.
9.3.1. La main de l'aristocrate.
9.3.2. La vielle eut d'abord une clientèle d'aristocrates débutants.
9.3.3. L'apport du courant philosophique représenté par Rousseau.
9.4. Les virtuoses
9.4.1. La Roze et Janot
9.4.2. Les virtuoses sous le règne de Louis XV
9.5. Conclusion
CHAPITRE 10 : UNE DYNAMIQUE DE TRANSFORMATION.
10.1. La décontamination.
10.2. L’objet de la mutation
10.2.1. Le brillant
10.2.2. La délicatesse, la tendresse et le goût.
10.3. Ni gueuse ni paysanne est la lyre d’Apollon
10.4. Conclusion
TROISIEME PARTIE : ANATOMIE PHYSIOLOGIE DE LA VIELLE A ROUE
CHAPITRE 11 : LA LUTHERIE
11.1. Les corps de vielle baroque
11.1.1. Une vielle trapézoïdale
11.1.2. Luths et guitares
11.1.3. Lutherie comparée et effets sonores.
11.1.4. L'apport de l'iconographie
11.2. Le perfectionnement dans les détails.
11.2.1. L'esthétique.
11.2.2. Les gains en productivité instrumentale : la petite lutherie
11.2.2.1. L'ambitus.
11.2.2.2. Les sautereaux Rappelons que ce terme de sautereau, couramment utilisé quant on parle de vielle, est impropre en ce qui concerne cet instrument. Le sautereau n'est ici qu'une pièce de bois fixée sur la touche. Lorsque l'interprète appuie sur la touche pour la mettre en mouvement, le sautereau vient en contact de la corde et diminue sa longueur vibrante comme le réalise le doigt sur une corde de guitare. .
11.2.2.3. Les cordes sympathiques.
11.2.2.4. Le capodastre.
11.3. Conclusion
CHAPITRE 12 : LE GOUT, LA REGLE ET LA ROUE
12.1. La roue/archet
12.1.1. L'importance de la roue
12.1.2. Le brillant et la roue
12.1.3. La tendresse et la roue
12.2 Les méthodes pour vielle
12.2.1. La méthode de Dupuits DUPUITS, Baptiste, principes pour toucher de la vielle avec six sonates pour cet instrument, Paris, 1741.
12.2.1.1. Premières indications.
12.2.1.2. Considérations techniques.
12.2.1.3. Les commentaires sur le goût.
12.2.1.4. « Observations sur le goût ».
12.2.1.5. « Remarques sur les coups de poignet qu'il faut donner pour exécuter les pièces de ce livre selon le goût ».
12.2.2. Un texte anonyme : « Airs pour la viele avec les principes généraux » Le manuscrit anonyme appelé Airs pour la vielle avec les principes généraux, est répertorié à la BNF, Cons. Rés. 1177. Il n’est pas paginé.
12.2.2.1. Le goût dans les airs tendres
12.2.2.2. Le goût et les règles
12.2.3. La méthode de Boüin BOÜIN, François, La vielleuse habile ou nouvelle méthode courte, très facile et très sure pour apprendre à jouer de la vielle, Paris, 1761.
12.2.3.1. Les airs vifs
12.2.3.2. Les airs tendres
12.2.4. La méthode de Corrette CORRETTE, Michel, La belle vielleuse, Méthode pour appendre facilement à jouer de la vielle, Paris, 1783.
12.3. Deux conceptions du goût
12.3.1. Le goût comme système gestionnaire des pièces lentes.
12.3.2. Le goût comme système gestionnaire global
12.4. Conclusion
12.5. Reprise du thème
CHAPITRE 13 : CONTREMUSIQUE ET SON SALI
13.1. Quelques définitions
13.1.1. Le son, le bruit et le bruitage.
13.1.2. Musique harmonieuse et contremusique.
13.1.3. Le son sali
13.2. Instruments de contremusique et instruments au son sali.
13.2.1. Instruments de la contremusique.
13.2.2. Instruments à son sali
13.2.2.1. Les harpes.
13.2.2.2. Les guitares et luths.
13.2.2.3. La trompette marine.
13.2.3. Salir le son en France à l'époque baroque.
CHAPITRE 14 : LA TROMPETTE DE LA VIELLE ET L’ARTICULATION DU POIGNET
14.1. A partir de l'évolution historique de l'instrument
14.1.1. Apparition de la trompette.
14.1.2. Avant la trompette.
14.1.3. L'intégration de la trompette
14.2. L'instrument paysan
14.3. Le jeu baroque avec trompette.
14.3.1. La position extrémiste de Charles Bâton.
14.3.2. Repenser la fonction et la place du jeu de la trompette.
14.3.3. L'ambiguïté des méthodes
14.3.3.1. Les descriptifs du système chevalet mobile/corde trompette.
14.3.3.2. Le coup de poignet : détaché du poignet et coup de trompette.
14.3.4. Un cas particulier : l’exception imitative.
14.4. Conclusion
14.4.1 Un système d'articulation
14.4.2. Trois techniques d'articulation
CHAPITRE 15 : LE JEU DU CLAVIER ET LES AGREMENTS
15.1. La question du doigté
15.1.1. Vielle et clavecin
15.1.2. Le « doigtage » à la vielle à roue Dans notre ouvrage (FUSTIER, Paul, Pratique de la vielle à roue. Epoque baroque, Béziers, S.M.L, 2002. 2ème édition : Bron, Vielle baroque, 2006), on trouvera (p.13/17) une présentation des principales prescriptions que les auteurs baroques de traités pour vielle recommandent, concernant l'exécution des doigtés.
15.1.3. Mise en perspective
15.2. La question des agréments
15.2.1. Des remarques de Marin Mersenne.
15.2.2. Les agréments dans les méthodes pour vielle.
15.2.3. Une évolution dans la notation des agréments
15.3. Conclusions
CHAPITRE 16 : CHANTERELLES ET BOURDONS
16.1. Les chanterelles
16.1.1. Nombre de chanterelles et accord
16.1.2. La question de la sonorité
16.1.3. Le tempérament
16.2. Les bourdons
16.2.1. Contre les bourdons
16.2.1.1. La polémique.
16.2.1.2. Les changements de tonalité et les dissonances.
16.2.2. Les solutions proposées
16.2.2.1. L'expérimentation.
16.2.2.2. La suppression.
16.2.2.3. L'adoucissement.
16.2.2.4. La réglementation des changements de tonalité.
16.2.2.5. Les dissonances expressives.
16.3. Repenser les relations entre chanterelles et bourdons.
CHAPITRE 17 : LES JEUX DE LA VIELLE
17.1. La vielle des gueux Voir les chapitres 10, 13 et 14. .
17.2. La Vielle paysanne.
17.3. Le jeu baroque.
17.3.1. Les constituants de la vielle baroque
17.3.2. L'avertissement de Dupuits.
QUATRIÈME PARTIE : LE RÉPERTOIRE POUR VIELLE
CHAPITRE 18 : ANALYSE QUANTITATIVE DU REPERTOIRE
18.1. Exposé des motifs.
18.2. Les compositeurs et les œuvres.
18.2.1. Le travail d’Anik Devries
18.2.2. La thèse de Jean Christophe Maillard
18.2.3. L'ouvrage de Robert Green
18.3. Les formations qui « conviennent » à la vielle.
18.4. L'instrumentation.
18.5. L'appellation des recueils d'œuvres
CHAPITRE 19 : LA MUSIQUE ATTACHEE AUX METHODES
19.1. La méthode anonyme éditée par Ballard.
19.1.1. Présentation de l'ouvrage
19.1.2. Quelle musique pour vielle chez Ballard ?
19.1.3. : Menuets, Sarabande et Air de mouvement.
19.1.3.1. Exemple 1. Deux menuets (Ballard).
19.1.3.2. Exemple 2. Sarabande (Ballard).
19.1.3.3. Exemple 3. Air de Mouvement (Ballard).
19.2. La méthode de Dupuits.
19.2.1. Présentation de l'ouvrage
19.2.2. Six sonates pour vielle et basse continue.
19.2.2.1. Exemple 4. Sonate VI : première page (Dupuits).
19.2.2.2. Exemple 5. Sonate V : dernière page (Dupuits).
19.2.2.3. Les indicateurs de baroquisation :
19.2.2.4. Appel aux deux styles italien et français.
19.2.2.5. L'influence du clavecin.
19.2.2.6. La vielle émancipée.
19.3. La vielleuse habile de Boüin
19.3.1. Présentation de l'ouvrage.
19.3.2. Le répertoire joint.
19.3.3. Exemples de pièces proposées Les chiffres que l'on peut lire au dessus (parfois au dessous) de la portée correspondent au doigté proposé par Boüin pour la vielle.
19.3.3.1. Exemple 6 La Montauban (Boüin) Page 35 de la méthode de Boüin .
19.3.3.2. Exemple 7. Une musette (Boüin) Page 34 de la méthode de Boüin .
19.3.3.3. Exemple 8. Une pièce indiquée « Gracieusement » (Boüin) Page 41 de la méthode de Boüin. .
19.3.3.4. Exemple 9. Menuet de l'auteur (Bouin) Page 40 de la méthode de Boüin. .
19.3.3.5. Exemple 10. La Jasseau Pièce de l’auteur Gayment (Boüin) Page 40 de la méthode de Boüin .
19.4. « Airs pour la vielle avec les principes généraux », Manuscrit anonyme, Bibliothèque de France, (Cons. Rés. 1177).
19.4.1. Présentation de l'ouvrage.
19.4.1.1. La datation
19.4.1.2. Le texte du manuscrit.
19.4.2. Le répertoire joint.
19.4.3. Exemples de pièces proposées.
19.4.3.1. Exemple 11. Bourrée (RS 1177) Page 156 du manuscrit anonyme RS 1177. .
19.4.3.2. Exemple 12. Pastorale (RS 1177) Ibid p.142. .
19.4.3.3. Exemple 13. Les Petits doigts (RS 1177) Ibid p. 142
19.5. La belle vielleuse de Michel Corrette L’édition originale n’est pas datée. J ;F. Fétis est le premier auteur à considérer que la méthode de Corrette date de 1783, ce qui n’a pas été discuté depuis (voir FETIS, François-Joseph, Biographie universelle des musiciens, Paris, Librairie de Firmin-Didot et Cie, 1860-1875, tome II, p.365). Remarquons aussi qu’Yves Jaffres repère, en consultant les « Annonces, affiches et avis divers », qu’il est fait état de cette méthode en 1785 (Voir JAFFRES Yves, Michel Corrette, sa vie, son œuvre, Thèse de doctorat, Université Lumière-Lyon II, 1989, tome III, p.131). On trouvera des informations complémentaires sur la méthode De Corrette en consultant notre chapitre 14, section 14.3.2 : Repenser la fonction et la place du jeu de la trompette. .
19.5.1. Présentation de l'ouvrage.
19.5.2. Le répertoire joint
19.5.3. Exemples de pièces proposées.
19.5.3.1. Exemple 14. Allemande (Corrette). Page 25 de La belle vielleuse de Corrette.
19.5.3.2. Exemple 15. Cotillon (Corrette) Page 11 de La belle vielleuse de Corrette. .
19.5.3. 3. Exemple 16. La Furstemberg (Corrette) Page 44 de La belle vielleuse de Corrette. .
19.5.3. 4. Exemple 17. Chaconne (Corrette) Page 34 de La belle vielleuse de Corrette. .
19.6. Méthode Raisonnée par Mr Bordet.
19.6.1. Présentation de l'ouvrage.
19.6.2. Le répertoire joint.
19.7. Méthode de flûte traversière par Michel Corrette.
19.7.1. Présentation du répertoire.
19.7.2. Les pièces communes aux deux méthodes Pour effectuer commodément le croisement entre les deux méthodes, nous avons utilisé les descriptifs utilisés par Yves JAFFRES dans son ouvrage, Michel Corrette, sa vie, son œuvre, Thèse de doctorat, Université Lumière-Lyon II, 1989, p.519. .
19.8. Conclusion
CHAPITRE 20 : DANS LE GOUT DE VIELLE : LA PARTITION MALLEABLE.
20.1. Pièces « dans le goût de vielle » dans le répertoire pour vielle.
20.1.1. : Un extrait atypique du « Dom Quichote » de Courbois .
20.1.2. La vielle des gueux.
20.1.3. La vielle pesante.
20.1.3.1. « Vielle » de Bodin de Boismortier, XVII e Œuvre.
20.1.3.2. « Le Vielleux » d’Esprit Philippe Chédeville, Deuxième recueil.
20.1.3.3. « Air du vielleux » dans le manuscrit Ms 2547.
20.1.4. La vielle nonchalante
20.1.4.1. « Le vielleur », de Boüin, La Vielleuse habile.
20.1.4.2. « La vièle », dans le Livre de M me de Vibraye.
20.1.5. La vielle sautillante.
20.1.5.1. « Les vielleux » de Anet, Second Œuvre de Musettes.
20.1.5.2. Ire Vielle, 2e Vielle d'Aubert, Concert de symphonies.
20.1.5.3. « Le vielleux » de Le Clerc, Premier recueil de contredanses.
20.1.6. La vielle brillante :« La Vielle », Cantatille avec symphonie par Le Menu de Saint Philibert (p.1/10).
20.2. Pièces « dans le goût de vielle » dans le répertoire écrit pour d'autres instruments
20.2.1. Lully, « 2e Air pour les aveugles jouant de la vielle », Le ballet royal de l'impatience.
20.2.2. Couperin, « Les Viéleux et les Gueux », Les fastes de la grande et ancienne Mxnxstrxndxsx .
20.2.2.1. Le paradoxe des deux airs pour vielle.
20.2.2.2. Comment se crée l'écart.
20.2.3. « Feste de vilage » de Mouret, Le philosophe trompé par la nature.
20.2.4. Rameau : « Menuets dans le goût de vièle », Platée.
20.2.5. Dufour : « La vielle », Pièces pour clavecin
20.3. Conclusion
CHAPITRE 21 : UN REPERTOIRE POUR VIRTUOSES ?
21.1. L'illustre Danguy
21.1.1. Les œuvres non publiées de Danguy
21.1.2. Les œuvres dédiées à Danguy
21.2. Ravet
21.3. Charles Bâton
21.4. Conclusion
CONCLUSION GENERALE
22.1. Le villageois, le mendiant et l’aristocrate.
22.1.1. La figure idéalisée du villageois
22.1.2. Un instrument de gueux.
22.1.3. Le mendiant et l’imaginaire.
22.2. Faire advenir la lyre d’Apollon.
22.2.1. Une décontamination
22.2.2. Une mutation.
22.2.3. Le souci arcadien.
22.3. Le vulgaire et l’angélique.
22.4. Pour un nouvel idiome sonore, Comment a-t-on transformé l’instrument et son jeu ?
22.4.1. La lutherie
22.4.2. Chanterelles et bourdons
22.4.3. L'importance du doigté
22.4.4. La roue
22.4.5. La corde trompette et le chevalet mobile
22.5. Qui sont les joueurs de vielle ?
22.6. Les différents répertoires.
22.6.1. Le répertoire populaire citadin
22.6.2. Le répertoire champêtre ou arcadien.
22.6.3. Le répertoire émancipé.
22.7. La tentative de promotion de l’instrument
22.8. Goût français, goût italien.
22.9. Oppositions binaires en musique.
22.10. Le réel et l’idéal
22.11. Faut-il jouer de la vielle et ne jamais l’écouter ?
ANNEXES
Annexe A. L'iconographie
La lutherie (variable B)
Sexe et génération (variable C)
Fonction de la vielle (variable D).
L'environnement géographique (variable E).
Contexte instrumental (variable F)
Partitions représentées (variable G).
Conclusion
Annexe B. Dissertation historique sur la vielle.
Annexe C. Lettre de Monsieur l'abbé Carbasus
Annexe D. Dissonances et bourdons
Exemple 1 : Rondeau : Le Quincy. In : Duos galants pour deux musettes, vielles et autres instruments, IVe Duo, 1733/1734, Hortus Musicus, n°199. Esprit Philippe Chédeville
Exemple 2 : Le Coucher. In : La noce champêtre : « L'hymen pastoral ». Jacques ou Jean Hotteterre.
Exemple 3 : La Désolée. In : Pièces de caractère pour la vielle, Œuvre V. Jean-Baptiste Dupuits des Bricettes.
Annexe E. Chaconne : in La Belle Vielleuse de Michel Corrette.
Annexe F. Deux pièces indiquées Vielle : Concert de Symphonies (Jacques Aubert)
Annexe G. Discographie de la vielle à roue baroque
Anthologies de la vielle à roue baroque.
Œuvres avec interventions de vielle
TEXTES MUSICAUX CONSULTES OU ANALYSES
Bibliographie
SOURCES BIBLIOGRAPHIQUES AVANT 1800
OUVRAGES ET ETUDES A PARTIR DE 1800
Index des principaux noms cités