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Des utopies urbaines au gouvernement d’agglomération, les mutations de la notion de cohérence en...
par ARSAC Guillaume
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2007
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
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Introduction générale
Présentation du sujet
Problématique
Plan démonstratif
Chapitre 1. La cohérence urbanisme – déplacements, ou la transcription d’une notion théorique dans les politiques publiques
1.1. Les racines fonctionnalistes de la notion de cohérence
1.1.1. Introduction : la « cohérence fonctionnelle », élément de structuration des représentations des acteurs
1.1.2. L’urbanisme progressiste de Tony Garnier
1.1.3. La ville automobile du Corbusier
1.1.4. La ville cellulaire promue par le rapport Buchanan
1.1.5. Le « nouvel urbanisme », ou la cohérence « post-fonctionnaliste »
1.1.6. Conclusion : La « ville passante », une tentative de dépassement du fonctionnalisme ?
1.2. Les PDU « LOTI », exercices de cohérence fonctionnaliste
1.2.1. Introduction : une transcription fonctionnaliste dans la planification urbaine française
1.2.2. La crise précoce de la planification urbaine fonctionnaliste
1.2.3. La relance sectorielle de 1982 (LOTI) : le réseau de transport urbain comme vecteur de cohérence urbanisme – transports
1.3. Les PDU « LAURE », une approche environnementaliste des deplacements urbains
1.4. La cohérence selon la loi SRU : un dépassement du fonctionnalisme
1.4.1. La Loi SRU : nouvel « âge d’or » de la cohérence urbanisme – déplacements ?
1.4.2. Conclusion : du fonctionnalisme aux politiques publiques contemporaines, les mutations de la notion de cohérence
Chapitre 2. De la décision positiviste à l’action organisée, un changement de paradigme
2.1. La cohérence, une technique de gouvernement à finalité d’action
2.1.1. Une politique sectorielle appelée à répondre à des objectifs politiques globaux
2.1.2. Planification des déplacements : quelle efficience sur l’urbanisme ?
2.1.3. Rôle de la planification des déplacements dans la production de réseaux de transport
2.2. La cohérence, une technique de gouvernement à finalité d’organisation
2.2.1. Décentralisation et fragmentation des pouvoirs : le nouveau cadre institutionnel de la recherche de cohérence
2.2.2. La cohérence entre urbanisme et déplacements est subordonnée à la relation entre planification et mise en œuvre opérationnelle
2.3. Conclusion : une grille de lecture contemporaine de la cohérence entre urbanisme et déplacements
Chapitre 3. L’agglomération stéphanoise, ou l’émergence d’un projet de territoire à partir de la question des déplacements urbains
3.1. Une réponse locale sectorielle, « cheval de Troie » d’un projet de territoire ?
3.1.1. Les déplacements urbains dans la région stéphanoise : permanences et évolutions dans l’agenda politique local (1970 – 1995)
3.1.2. Le lancement du PDU stéphanois : une problématisation large
3.1.3. Une scénarisation de projets emboîtés dans l’espace et dans le temps
3.1.4. Le choix du projet « BB’ » : un resserrement sectoriel
3.1.5. La révision de 2004 : un approfondissement sectoriel de l’organisation de l’action
3.2. Saint-Etienne : une ancienne agglomération « cohérente » à la poursuite d’une (ré)organisation de l’action publique
3.2.1. Un site contraint, une situation de « charnière » géographique
3.2.2. Une cité industrielle « champignon » (1790 – 1940)
3.2.3. Saint-Etienne, ville de la révolution industrielle : un modèle urbain cohérent et durable ?
3.2.4. « Saint-Etienne n’est plus dans Saint-Etienne » : conséquences spatiales des mutations socio-économiques du bassin stéphanois
3.2.5. Morcellement institutionnel et absence de projet de territoire : un management territorial faiblement structuré
3.2.6. Une « congruence » favorable à une organisation de l’action publique par l’entremise des déplacements urbains
3.3. Conclusion : la cohérence par la planification des déplacements urbains ?
Chapitre 4. Le PDU, un projet sectoriel porté par une coalition d’intérêt
4.1. Un réencadrement progressif des relations partenariales
4.1.1. « Prés carrés » et coopérations ponctuelles : la gestion des déplacements urbains avant la démarche PDU (situation 1995)
4.1.2. Création d’une coalition d’intérêt, renforcement des coopérations techniques, logique de projet sectoriel : l’ère du PDU SIOTAS (situation 2000)
4.1.3. Réorganisation d’une coalition d’intérêt menée par un nouveau leader : la révision SRU du PDU par Saint-Etienne Métropole (situation 2005)
4.2. Des acteurs aux rationalités différentes, mais partageant des intérêts communs
4.2.1. Les AOTU : des maitres d’ouvrage en quête de légitimité
4.2.2. Les partenaires « ressources » (Epures, STAS) : les racines technicistes locales au service d’un nouveau projet politique
4.2.3. L’Etat « local » : pédagogie et accompagnement, au cœur de la « bulle PDU »
4.2.4. Région et Département : des acteurs périphériques au positionnement fluctuant
4.2.5. Ville de Saint-Etienne : une « acculturation » lente au PDU
4.2.6. La plaine du Forez : une scène de négociation trop précoce ?
4.3. Conclusion : une coalition d’acteurs, deux périodes, trois niveaux d’implication
Chapitre 5. Le PDU stéphanois, ou la cohérence comme convention d’organisation
5.1. La démarche PDU à l’échelle individuelle : une lecture « tactique stratégique »
5.1.1. Une scène de négociation pour trois postures
5.1.2. Le PDU stéphanois, un cadre d’action publique flexible
5.1.3. Motivations individuelles : l’influence des imaginaires urbanistes
5.2. La démarche PDU à l’échelle collective : la quête de cohérence territoriale
5.2.1. La coopération : les acteurs locaux au risque de l’interdépendance et de la co-élaboration
5.2.2. La coordination : les procédures au gré des jeux d’acteurs
5.3. Conclusion : la production d’une convention d’organisation, en réponse à l’injonction de cohérence
Chapitre 6. La planification des déplacements, une démarche « portail » vers un projet global ?
6.1. Le PDU, un document « cadre » pour une démarche « portail »
6.1.1. Les PDS : un PDU déclinable et pédagogique, un apprentissage de l’intercommunalité
6.1.2. Les déplacements urbains dans les PLU : une transcription opératoire de la cohérence urbanisme – déplacements ?
6.1.3. PLH / PDU : un cas de juxtaposition de démarches sectorielles ?
6.1.4. Conclusion : le PDU, un « portail » plutôt qu’un « cheval de Troie » ?
6.2. Une scène et un projet trop faibles pour se positionner à des échelles plus larges ?
6.2.1. Les relations entre Saint-Etienne Métropole et le Conseil général, un révélateur des tensions organisationnelles entre acteurs
6.2.2. Région / Agglomération, des « valses – hésitations » qui ralentissent la mise en œuvre du projet
6.2.3. PDU et projet A45 : une disjonction de scènes nuisible à la cohérence de l’action publique
6.3. DTA, SCOT, INTERSCOT : les volets « urbanisme » du PDU stéphanois ?
6.3.1. Le SCOT Sud Loire : ultime tentative de création d’un projet de territoire pour la région stéphanoise ?
6.3.2. INTERSCOT et DTA : la scène stéphanoise au risque de l’aire métropolitaine lyonnaise
6.4. Conclusion : la convention d’organisation produite par la scène PDU est-elle durablement efficiente ?
Conclusion générale
Bibliographie
Ouvrages
Articles et participations à des ouvrages collectifs
Etudes, rapports, documents
Annexes
Annexe 1. Urbanisme, déplacements : 15 ans d’action politique dans la région stéphanoise (frise chronologique)
Annexe 2. Les compétences des EPCI du Sud Loire, situation 2005 (tableau de synthèse)
Annexe 3. Compilation des entretiens réalisés
Entretien avec Michel Thiollière (8 août 2006)
1. Le PDU du SIOTAS
2.Le PDU de SEM
3.Du PDU au projet de territoire
4.La cohérence urbanisme – déplacements
Compilation synthétique des entretiens (hors M. Thiollière) (juillet 2006)
1. Le PDU stéphanois
2. Acteurs dans la scène de négociation PDU
3. Du PDU au projet de territoire
4. Conséquences sur la conduite de projet
5. La cohérence urbanisme – déplacements