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L’organisation temporelle des activités dans l’espace domestique. Interactions, matérialité, ...
par LA VALLE Natalia
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2011
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
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[Dédicaces]
Remerciements
Introduction
Partie I
Chapitre 1. Fondements théorico-méthodologiques et terrain d’enquête
1.1. L’ethnométhodologie : une sociologie pragmatique de la communication et de l’action
1.1.1. Trois notions fondamentales
1.1.2. Ethnométhodologie, langage, Analyse Conversationnelle
1.1.3. Ethnométhodologie, travail, culture
1.2. L’analyse vidéo dans les approches praxéologiques
1.2.1. Le développement des techniques visuelles au service d’une approche située de l’action
1.2.2. Les composantes du corpus
1.2.2.1 Les données primaires (images-sons enregistrés)
1.2.2.2 Les données secondaires (transcriptions)
1.3. Constitution du terrain et du corpus : un processus composite Nous sommes extrêmement reconnaissante auprès de Moustafa Zouinar et de Marc Relieu qui ont accepté que nous reprenions en partie l’article commun sur le travail de terrain (La Valle, Zouinar et Relieu, à paraître) pour nourrir cette section du chapitre 2.
1.3.1. La conception du dispositif : un bricolage technique répondant à de multiples contraintes
1.3.2. Une réduction sociologique, géographique et temporelle à visée exploratoire
1.3.2.1 La semaine et la journée
1.3.3. Une entrée progressive dans le terrain
1.3.4. La phase d'enregistrement
1.3.4.1 Le protocole Le protocole d’observation se réfère à la procédure mise en œuvre pour produire des données relatives aux objets auxquels s’intéresse le chercheur. d’observation
1.3.4.2 L’installation et les emplacements
1.3.4.3 La relation de réflexivité entre parole-en-interaction et segmentation de l’espace : l’exemple du couloir
1.3.4.4 Le déroulement des enregistrements
1.3.4.5 Les données produites
1.4. Ressources et contraintes du protocole et du dispositif
1.4.1. Au-delà de la technique : déléguer à des acteurs non-humains la production d’images
1.4.2. La question du « biais » : que faire lorsque les participants s’orientent vers la caméra ?
1.4.2.1 Etre observés comme expérience partagée
1.4.2.2 Garantir l’observabilité : recommandations techniques, règles ad hoc et contrôle de l’espace
1.4.3. Note sur la question du « contre-don »
Conclusion
Chapitre 2. La temporalité : élément constitutif de l’interprétabilité de l’expérience
2.1. Traitements linguistiques de la dimension temporelle
2.1.1. Les transformations dans la langue
2.1.2. L’expression sémantique, syntaxique et lexicale du temps
2.1.3. La théorie de l’énonciation, une approche phénoménologique du temps dans et du temps du langage
2.2. Le temps : une représentation collective
2.2.1. Durkheim et le temps de la modernité
2.2.1.1 Modernité et notion de progrès
2.2.1.2 Le temps dans la théorie du savoir de N. Elias
2.2.1.3 E. Zerubavel : cadres de référence et normalité temporelle
2.2.1.4 B. Adam : dépasser la limitation épistémologique du temps standard
2.2.2. Sociologies du temps et dimension technologique
2.2.2.1 Pénurie temporelle et urgence
2.2.2.2 Temps, techniques et technologies
2.3. Courants phénoménologiques et pragmatistes
2.3.1. La conscience du temps chez Husserl et Heidegger
2.3.2. Les apports de la sociologie phénoménologique
2.3.2.1 Significations subjectives et intersubjectives de la temporalité dans la pensée de G.H. Mead
2.3.2.2 J. Dewey : l’enquête et la continuité entre activités et environnement
2.3.2.3 Un « élément constitutif de l’interprétabilité de l’expérience ». Le temps selon Schütz, Luckmann et la psychologie développementale
2.4. La temporalité en ethnométhodologie et en Analyse Conversationnelle
2.4.1. Temps situé et méthode documentaire d’interprétation
2.4.2. Routine et régularité dans la perspective ethnométhodologique
2.4.3. La mesure profane du temps
2.4.4. Temporalité en AC et en linguistique interactionnelle
2.5. Les nouvelles temporalités de la famille
2.5.1. Les problématiques du temps familial
2.5.1.1. Family time : une denrée rare …et désirée ?
2.5.1.2 Cycles de vie et rythmes familiaux
2.5.2. Questions ouvertes par les nouveaux modèles temporels
2.5.2.1 La notion de « temps parental »
2.5.2.2 Un temps genré
2.5.2.3 Le paradigme de la conciliation famille/travail
Conclusion
Chapitre 3. Le foyer : arène des pratiques domestiques et familiales
3.1. La phénoménologie de l’habiter
3.1.1. Le foyer comme organisation de l’espace dans le temps
3.1.1.1 Un espace sous contrôle
3.1.1.2 Ressources, régularité et mémoire
3.1.1.3 Contrôle, synchronisation et participation
3.1.1.4 La « tyrannie » de la maison
3.2. Espace domestique et pratiques familiales
3.2.1. Les pratiques familiales selon les approches interactionnistes
3.2.1.1 Analyse catégorielle d’appartenance
3.2.1.2 Articulation de l’Analyse de Discours et de l’Analyse Conversationnelle
3.2.1.3 Interactions, socialisation, rôles
3.2.1.4 Le projet SLOAN-CELF (Center for Everyday Life in Families)
3.2.2 La fin de la spatialité ?
3.2.2.1. Le couplage interaction sociale / espace-temps
3.2.3. Apports de la sociologie du care Le terme anglo-saxon de care désigne, selon la définition de J. Lewis « les activités qui visent à satisfaire les besoins physiques et émotionnels des enfants et des personnes adultes dépendante s» et les « cadres normatifs, institutionnels et sociaux » desdites activités. En France, P. Paperman et S. Laugier (2006) ont traduit le terme care par souci des autres. Elles se sont intéressées à l’éthique du care, domaine émergeant de la pensée politique américaine, analysant des activités humaines généralement négligées, et (ré)intègrant les questions triviales posées par le care (qui s’occupe de quoi, comment ?) aux activités considérées comme significatives par la théorie sociale et morale. : action, genre, éthique
3.2.3.1 Temporalité et care
3.2.3.2 Compétences et ressources du travail de care
Conclusion
Chapitre 4. La place des technologies dans l’organisation des activités quotidiennes
4.1. Sciences sociales et technologie
4.1.1 L’ethnométhodologie et le paradigme Science, Technologie, Société (STS)
4.1.1.1 Analyse Conversationnelle d’interactions technologiquement médiées
4.1.2. Le succès des WorkPlace Studies
4.1.3. Sciences sociales, consommation et technologie domestiques : les approches classiques
4.1.4. Sciences sociales, usages et technologie domestiques : les approches situées
4.1.4.1 De la relation entre temporalité(s) et technologie
4.1.4.2 Le temps domestique comme temps collectif : dynamique des activités, co-présence et matérialité
4.2. De la maison du futur aux analyses d’activités ordinaires
4.2.1. Le paradigme de l’Informatique Ubiquitaire et ses problèmes Pour ce panorama sur l’Informatique Ubiquitaire (Ambiante, Sensible, etc.), nous nous sommes basée sur un état de la question (document interne à FTR&D) réalisé par M. Relieu et M. Zouinar en 2004 dans le cadre de la préparation du projet auquel nous avons pris part par la suite. Je tiens à en remercier vivement les auteurs.
4.2.1.1 Informatique « contextuelle », « tangible » et pervasive
4.2.1.2. L’Intelligence Ambiante
4.2.1.3 La question du contexte
4.2.2. Intelligibilité, invisibilité et contrôle
4.2.3. UbiComp et Smart Homes : de l’hyper-technologie à l’étude de l’ordinaire
4.2.3.1 Temporalité et travail ménager : deux dimensions oubliées de l’UbiComp
4.2.3.2 Complexité, inégalités : l’UbiComp « qui est déjà là »
Conclusion
Partie II
Chapitre 5. Les entretiens comme source informationnelle
5.1. Les entretiens : un « discours sur » les activités quotidiennes
5.2. Famille PR
5.2.1. Caractéristiques générales de la famille, du foyer et des usages TICs
5.2.1.1 Membres de la famille
5.2.1.2 Responsabilités des membres vis-à-vis des principales tâches domestiques et familiales
5.2.1.3 Architecture et principaux aspects fonctionnels dans le foyer PR Les plans des appartements des deux familles sont présentés au chapitre premier.
5.2.1.4 TIC et communication
5.2.2. Organisation globale de la semaine
5.2.2.1 Lundi
5.2.2.2 Mardi
5.2.2.3 Mercredi
5.2.2.4 Jeudi
5.2.2.5 Vendredi
5.2.2.6 Week-end et jours fériés
5.2.2.7 Courses
5.2.2.8 Sorties
5.2.2.9 Petites vacances
5.2.3. L’organisation quotidienne
5.2.3.1 Réveil et premières activités (hygiène et petit-déjeuner)
5.2.3.2 Le départ du foyer
5.2.3.3 La coordination pour « poser les enfants » (école-crèche)
5.2.3.4 Le retour au domicile et la coordination pour aller chercher les enfants (école et crèche)
5.2.3.5 Quatre étapes pour la phase clé du soir : bain-dîner-devoirs-coucher
5.3. Famille RAF
5.3.1. Caractéristiques générales de la famille, du foyer et des usages TICs
5.3.1.1 Membres de la famille
5.3.1.2 Description des responsabilités des membres vis-à-vis des principales « tâches » domestiques et familiales
5.3.1.3 Architecture et principaux aspects fonctionnels dans le foyer RAF
5.3.1.4 TIC et communication
5.3.2. Organisation globale de la semaine
5.3.2.1 Lundi
5.3.2.2 Week-end et jours fériés
5.3.2.3 Courses
5.3.2.4 Petites vacances
5.3.3. L’organisation quotidienne
5.3.3.1 Réveil et premières activités (hygiène et petit-déjeuner)
5.3.3.2 Le départ du foyer
5.3.3.3 Poser Maguelone à l’école et rejoindre le lieu de travail
5.3.3.4 Les activités matinales d’Albert avant le départ
5.3.3.5 Le retour au domicile et la coordination pour chercher Maguelone (école)
5.3.3.6 Quatre étapes pour la phase clé du soir : devoirs-bain-dîner-coucher
5.3.3.7 Après le coucher des enfants
5.4. Similarités et variations entre les deux foyers
5.4.1. Similarités et variations sur la semaine
5.4.1.1 Routines, espace et matérialité
5.4.1.2 Similarités et variations dans les usages des TICs
5.4.2. Similarités et variations sur la journée : les cinq phases d’activité
Phase 1 : le matin
Phase 2 : mobilité foyer vers lieux de travail/école-garde
Phase 3 : travail/école-garde
Phase 3’ : mobilité « insérée » (midi)
Phase 4 : mobilité du lieu d’étude-garde/travail vers le foyer
Phase 5 : le soir
Conclusion
Chapitre 6. Les entretiens comme activité descriptive typifiante
6.1. Le pattern comme modèle de comportement et comme schéma d’expérience
6.1.2. La description de journées typiques : une compétence parentale
6.2. Caractéristiques générales des entretiens
6.2.1. Le démarrage topical des entretiens
6.2.2. Le souci chronologique
6.2.2.1. Le souci chronologique comme enjeu interactionnel
6.2.2.2 Le souci chronologique comme contrainte thématique
6.2.3. Cinq registres de description de l’action
6.2.3.1 L’activité canonique
6.2.3.2 L’activité-expérience
6.2.3.3 Les scénarios
6.2.3.4 L’exemple indexical
6.2.3.5 L’événement passé (les mini-récits)
6.2.4. Spécificités grammaticales
6.2.4.1 Spécialisation des temps verbaux (et autres expressions temporelles)
6.2.4.2 Le champ lexical
6.2.5. Dire le temps de l’action, dire le nom de l’action : catégorisation des activités domestiques et familiales
6.2.5.1 Dire le temps de l’action
6.2.5.2 Dire l’action/dire le nom de l’action
6.2.5.3 Exemples de réajustements descriptifs en interaction
6.3. Quelques retours réflexifs sur la situation d’enquête
6.3.1. Conditions de production des représentations et des typifications d’activités
6.3.2. Description et réalité : la vériconditionnalité en question
6.4. De la routine comme norme éducative et comme dispositif temporel : une première approche
6.4.1. Tenir les horaires, optimiser le temps
6.4.2. Le collectif est prioritaire sur l’individuel
6.4.3. Organiser l’espace domestique (multi-activité et engagement temporel)
6.4.4. Organiser la vie sociale
6.4.5. Les règles « propres » aux cycles de vie
6.4.6. L’activité dans l’espace-temps du foyer : normativité, routinité, agentivité
6.4.7. Les trois temps de l’activité et de l’engagement situés
6.4.7.1 Les savoir-faire organisationnels et la rationalité des routines
Conclusion
Partie III
Chapitre 7. Impulsion de l’action et enchaînements actionnels immédiats. Le rôle des verbalisations d’action, des particules discursives et des annonces
7.1. Le dilemme des débuts et des fins d’activité
7.2. Repères, durées et projections dans la parole-en-interaction
7.3. Scander et rendre intelligible le flux de l’action
7.3.1. Pratiques de verbalisation de l’action
7.3.1.1 Evaluation de la situation et de sa propre conduite
7.3.1.2 Structuration de l’activité en cours
7.3.2. Les marqueurs discursifs et l’ordonnancement du flux des activités
7.3.3. La particule bon : une ressource pour clore l’activité et en projeter une nouvelle
7.3.3.1 Comment gérer l’état de parole ouvert ? Ressources pour impulser l’action, propre et autrui
7.3.3.2. Bon d’impulsion de l’action avec interlocuteur ratifié
7.3.3.3 Structuration séquentielle de l’action : la place des marqueurs discursifs
7.3.4. Trois cas emblématiques à l’origine de l’enquête sur le temps. Elargir la portée des séquences pour saisir des paires locales
7.3.4.1 Cas 1
7.3.4.2 Cas 2
7.3.4.3 Cas 3
7.4. Impulser l’action en parlant tout(e) seul(e) : un pavé dans la mare de l’attention mutuelle ?
7.4.1. La coordination comme apprentissage
7.4.2. Caractéristiques formelles de l’utilisation de la particule bon
7.4.2.1 L’importance de la dimension incrémentale
7.4.2.2 Les formulations d’actions : des pratiques exceptionnelles ?
7.4.2.3 Les marqueurs discursifs comme transitions démonstratives. Eléments de description
7.4.2.4 Une schématisation
7.4.2.5 Aspects sémantico-pragmatiques et formels de la particule bon
7.4.2.6 Les processus inter/actionnels et leurs bornes
Conclusion
Chapitre 8. Synchronisations, transitions, repères, durées. Les donneurs de temps conversationnels et écologiques
8.1. Les transitions. Un art parental de l’anticipation et de la progressivité
8.1.1. Inviter l’enfant à une nouvelle activité. Explorer le contexte, transformer le contexte
8.1.1.1 Le déjeuner comme une possibilité
8.1.1.2 Le déjeuner comme un fait
8.1.1.3 Le déjeuner comme activité imminente, habituelle, nécessaire
8.1.1.4 Face à la résistance de l’enfant, le front unique parental…et une nouvelle suspension de la séquence directive
8.1.2. Reprise et poursuite de la séquence directive. Négocier pour rester dans les temps
8.1.2.1 La mère : la publicité c’est la fin de « la télé »
8.1.2.2 L’enfant : la publicité c’est encore de « la télé »
8.1.2.3 La mère : il faut arrêter parce que d’autres activités suivront
8.1.3. Organiser une diversion. La fenêtre du salon comme écran de la météo, ou comment passer d’un média TIC à un média ad hoc
8.1.4. Contrôler l’action dans le temps : langage, corporéité, matérialité
8.1.4.1 Séquences étendues et continuité de la vie familiale
8.1.4.2 Aspects lexicaux des procédés organisationnels
8.1.4.3 Compétences techniques, apprentissage et contrôle
8.1.4.4 Dimensions normatives et accountability domestique
8.1.5. Responsabilité et agentivité
8.2. Mesurer le temps de l’action : repères standardisés et écologiques
8.2.1. Mesures chronométriques (standardisées)
8.2.1.1 Planifier la fin d’une activité avec une heure butoir : l’échéance de 19 heures
8.2.1.2 Rappeler un délai minuté, fabriquer un dépassement
8.2.2. Combiner mesures standard et relatives. Combiner repères standard et ad hoc
8.2.2.1. « quand ? » (1.5) « à la Saint-Glinglin ? » : injonctions, résistances et formulations dans la projection de l’activité à venir
8.2.2.2. « ça fait vraiment longtemps que tu regardes » : évaluations, injonctions et calculs temporels dans la définition de l’activité en cours
8.2.3. Compétences chronométriques et kaïrométriques
8.2.3.1 Lire l’heure et appréhender la durée…
8.2.3.2 …appréhender le temps et connaître les routines
8.2.4. Les mesures et les repères temporels écologiques : artefacts, objets, flux, corps
8.2.4.1 Repères-artefacts
8.2.4.2 Repères-corps
8.2.4.3 Repères-substances : l’exemple des aliments
8.3. Une temporalité distribuée
8.3.1. Une distribution dans l’environnement : les donneurs de temps écologiques
8.3.2. Une distribution dans l’action : initiations, clôtures, transitions et « zones grises »
8.3.3. Calculer, temporaliser : des opérations « existentielles »
8.3.3.1 Quelques réflexions à partir de la notion de qualcul
Conclusion
Chapitre 9. Sollicitations et sollicitude : stratégies interactionnelles
9.1. L’imbrication du travail parental et du travail domestique
9.2. Se rendre indisponible face aux sollicitations des enfants. Un temps préservé
9.2.1. Préserver son cours d’action à travers une mise en indisponibilité
9.2.1.1 Bloquer la satisfaction de la demande
9.2.2. Activités dyadiques vs. activités collectives. Se préserver d’une sollicitation en invoquant un bien commun
9.2.2.1 Production explicite de priorités. L’exemple du scénario « à problème »
9.2.2.2 Clore un jeu à deux, réorienter le collectif vers le dîner
9.2.3. Préserver son cours d’action à travers une absence pratique : c'est comme si j’étais pas là
9.2.3.1 Jouer à la mère pour protéger le cadre
9.2.3.2 Chercher à interagir avec la « mère absente » … et échouer
9.2.3.3 Chercher à interagir avec la « mère absente » et réussir (laborieusement)
Conclusion
Chapitre 10. La coordination du soir : des appels téléphoniques comme événements-pour-l’organisation
10.1. Les appels téléphoniques et leur contexte en AC et dans les WorkPlace Studies
10.2. Les appels de coordination du soir entre parents
10.2.1. Interruption ou opportunité ? Négocier le statut d’insertion de l’appel
10.2.2. Appeler publiquement le père pour définir le timing de la soirée. Une recontextualisation radicale
10.2.3. Re-contextualisation graduelle de la soirée après l’appel téléphonique
10.3. Tensions et conflits parent-enfant autour du téléphone. Qui répond ? et surtout, quand ?
10.3.1. Tensions autour de la prise d’appel et problèmes pratiques d’organisation
10.3.1.1. Etre à proximité de l’appareil comme justification pour répondre. La perspective de l’enfant
10.3.1.2. Annoncer l’identité de l’appelant comme justification pour répondre. La perspective de l’adulte
10.3.1.3. Statuts de répondeur, d’appelé et d’interlocuteur potentiel
10.3.1.4. « j’en ai ras-le-bol » : un exemple paroxystique d’appels à contretemps
10.3.2. Le tiraillement transformé en jeu : l’exemple qui confirme la règle ?
Conclusion
Conclusion générale
L’organisation temporelle des routines comme trame interactionnelle
Des schémas d’expérience aux schémas performatifs d’interprétation
Des pratiques habitemps
Le langage comme organisateur principal de l’action et du monde social
Les procédés langagiers de structuration temporelle
Les donneurs de temps : ressources langagières, corporelles, cognitives et écologiques
Les repères temporels : une production dynamique, collective et indexicale
Au sein du collectif habitant, un collectif organisateur
Les transitions comme négociations, la négociation comme apprentissage
Des traits caractéristiques des activités familiales et du foyer
Des pistes de réflexion pour la conception et l’innovation
Supporter l’intelligence des activités et des acteurs
Bibliographie
Annexes
Annexe 1 - Conventions de transcription
Annexe 2 – Terrain
1) Exemple de notes laissées à l’attention des participants
2) Guide d’entretien AMICOM-AMIGO servant à l’exploration ethnographique
3) Schémas sur les enregistrements dans les foyers PR et RAF, et évolution du dispositif
Annexe 3 – Quotidienneté, care et technologie
1) Exemple de traitement du care dans les média : dossier sur les « services à la personne » (Le Point, 03/12/09)
2) Publicité pour un produit Microsoft (suite bureautique) dans le cadre d’une campagne adressée « aux parents »
3) Forum sur la journée type de « mamans entrepreneuses » : site Mompreneurs
4) Forum sur la journée type des « mamans » : site infobébés.com
5) Le temps, les activités routinières et la maison : exemples humoristiques et de littérature enfantine/éducative
Annexe 4 - Les études de type Budget-Temps
Annexe 5 – Les cadres d’absence pratique : un objet interactionnel
[Résumés]