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La réhabilitation des logements sociaux à travers les processus d'appropriation de l'espace par le...
par Mesnard Isabelle
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2003
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
Page de titre
REMERCIEMENTS
RESUME :
TITLE :
SUMMARY :
MOTS CLEFS
INTRODUCTION
Les réhabilitations : des opérations techniques aux effets sociaux.
Les habitants : un acteur privilégié.
Une relation d'appropriation entre les habitants et leur espace.
Méthodologie
Deux échelles territoriales pertinentes.
PARTIE I. Sites d'étude et cadre d'analyse
I. Chapitre 1. Les réhabilitations étudiées.
I.1.Garches et Gennevilliers : deux villes contrastees.
I.1.1.Des caractéristiques qui s'opposent.
I.1.1.1.Deux villes des Hauts-de-Seine.
I.1.1.2. Structures urbaines.
I.1.1.3..Le parc de logements.
I.1.1.4.La population logée.
I.1.2.Deux histoires qui divergent au xxe siècle.
I.1.2.1.Deux petites bourgades rurales.
I.1.2.2.Des essors différents au début du XXe siècle.
I.1.2.3.La fin du XXe siècle : les contrastes s'accentuent.
I.1.3Des municipalités aux discours différents.
I.1.3.1.Gennevilliers et la citoyenneté.
I.1.3.2.Garches et le charme d'un cadre de vie agréable.
I.2.Deux opérations banales de réhabilitation.
I.2.1.Contexte des deux réhabilitations.
I.2.1.1.L'office municipal de Gennevilliers et l'immeuble Paul Eluard.
I.2.1.2.Le groupe 3F et la résidence des Châtaigniers.
I.2.2.Déroulement des opérations.
1.2.2.1.Chronologies.
1.2.2.2.Les travaux réalisés.
II. Chapitre 2. Territorialisation et appropriation.
II.1.La territorialisation : aménagement et appropriation.
II.1.1.Une approche de la territorialisation par la géographie sociale.
II.1.1.1.La relation entre les hommes et l'espace au cœur de la problématique.
II.1.1.2.Une géographie des rapports sociaux, au-delà de l'individu.
II.1.1.3.Micro-géographie et territoires du quotidien.
II.1.2.Caractéristiques du territoire.
II.1.2.1Le territoire : espace matériel délimité d'un groupe social.
II.1.2.2.Le territoire : un espace représenté.
II.1.2.3.Le territoire : un espace patrimonial.
II.1.3.La territorialisation comme un double processus d'aménagement et d'appropriation.
II.1.3.1.Le territoire : un concept issu d'approches politique et éthologique.
II.1.3.2.Aménagement : la facette organisationnelle du territoire.
II.1.3.3.Appropriation et appartenance : la facette existentielle du territoire.
II.2.L'appropriation de l'espace.
II.2.1.La notion d'appropriation.
II.2.1.1.L'appropriation : une notion très employée, peu définie.
II.2.1.2.L'appropriation comme concurrence de territorialisations.
II.2.1.3.Appropriation et dynamique socio-spatiale.
II.2.1.4.Appropriation et différenciations sociales.
II.2.2.Appropriation et identité collective.
II.2.2.1.La construction des identités collectives.
II.2.2.2.La construction d'une identité socio-spatiale.
II.2.3.Trois types de comportements d'appropriation.
II.2.3.1.Transformer l'espace matériel.
II.2.3.2.Faire de l'espace matériel le support de normes sociales.
II.2.3.3.Charger de sens l'espace matériel.
II.3.Relations entre acteurs.
II.3.1.Acteur et stratégie.
II.3.2.Une relation déséquilibrée.
II.3.3.La participation des habitants.
PARTIE II. L'appartement et l'immeuble : deux territoires
III. Chapitre 3. Une appropriation de l'espace domestique.
III.1.Inscrire son identité dans la matérialité de l'espace.
III.1.1Nettoyer : instaurer de l'ordre.
III.1.1.1«L'essentiel, c'est que ce soit propre».
III.1.1.2.Au-delà de la propreté : la notion d'ordre.
III.1.2.Réaliser de menus travaux : ajuster l'espace.
III.1.2.1.Le bricolage comme un besoin.
III.1.2.2.Le bricolage comme une liberté.
III.1.3.Dégrader : montrer son refus des normes.
III.1.3.1Un bricolage anormal.
III.1.3.2.Salissures et dégradation.
III.2.Construire une image valorisée du logement.
III.2.1.Un emménagement valorisé.
III.2.1.1Un appartement attribué mais conquis.
III.2.1.2.Un appartement apprécié.
III.2.2.Un éventuel départ raisonné.
III.2.2.1.Un attachement à l'appartement.
III.2.2.2.«Ne pas échanger un cheval borgne contre un aveugle».
III.2.2.3.Des départs qui paraissent s'imposer.
III.2.3.Comparer avec d'autres lieux.
III.2.3.1Gennevilliers : le quartier du Luth, un quartier-repoussoir proche.
III.2.3.2.Garches : des villes repoussoirs lointaines.
III.3.Les obstacles à l'appropriation.
III.3.1.Le statut de locataire.
III.3.1.1.Le risque de perdre un investissement.
III.3.1.2.Un règlement à respecter.
III.3.1.3.Valoriser le respect des normes plus que la distinction.
III.3.2.La représentation sociale des HLM.
III.3.2.1.Les HLM : une représentation sociale dévalorisante.
III.3.2.2.Se défendre ou revendiquer «d'être en HLM».
IV Chapitre 4 . Une appropriation de l'espace collectif.
IV.1.Identification d'un espace collectif.
IV.1.1.Perception d'un espace matériel collectif.
IV.1.1.1.Caractéristiques architecturales.
IV.1.1.2.Un espace matériel dont l'usage est commun.
IV.1.2.Représentations d'un espace collectif.
IV.1.2.1.Un repère géographique souvent employé.
IV.1.2.2.Des noms peu utilisés.
IV.1.2.3.Des termes qui désignent à la fois l'espace matériel et les habitants.
IV.2.Un usage organisé de l'espace commun.
IV.2.1.Un usage commun régi par des règles.
IV.2.1.1.Veiller à la sécurité.
IV.2.1.2.Respecter l'usage personnel.
IV.2.1.3.Préserver une représentation valorisée de l'espace collectif.
IV.2.2.Des règles édictées par l'organisme, des normes instituées par les habitants.
IV.2.2.1.Le bailleur responsable du règlement.
IV.2.2.2.Gardien d'immeuble ou gardien de l'espace collectif.
IV.3.Institution de normes relationnelles spatialisées.
IV.3.1.La norme du «bonjour-bonsoir».
IV.3.1.1.Une évolution des relations.
IV.3.1.2.Une norme relationnelle dominante.
IV.3.1.3.Les justifications avancées.
IV.3.2.Equilibre entre solidarité et intimité.
IV.3.2.1.Défendre son intimité.
IV.3.2.2.Faire preuve de solidarité.
IV.3.2.3.Un contrôle des relations.
PARTIE III. Réhabilitation et appropriation des espaces domestiques et collectifs
V Chapitre 5. Les réhabilitations menées par les organismes HLM
V.1 Les réhabilitations : des opérations normalisées
V.1.1.Une politique nationale qui norme les opérations
V.1.1.1.Un cadre réglementaire contraignant
V.1.1.2.Une intervention opérationnelle de l'Etat
V.1.2.Le confort comme une norme majeure
V.1.2.1.Une remise à niveau technique des logements
V.1.2.2.Un choix stratégique des travaux
V.1.3.Les organismes HLM : des savoir-faire acquis
V.1.3.1.L'élaboration du projet
V.1.3.2.L'organisation du chantier
V.2.Office de Gennevilliers : une réhabilitation – solidarité
V.2.1.L'office de Gennevilliers et la concertation
V.2.1.1.Un discours proche de celui de la municipalité
V.2.1.2.Une prise de conscience de l'importance de la concertation
V.2.1.3.Une nouvelle organisation peu efficace
V.2.2.La réhabilitation : répondre au locataire en place
V.2.2.1.A l'écoute des locataires
V.2.2.2.Des travaux «à la carte»
V.2.3.Réhabiliter pour améliorer le confort.
V.3.Groupe 3F : une réhabilitation – service
V.3.1.Le groupe 3F et le professionnalisme
V.3.1.1.Du locataire au client
V.3.1.2.Procédures de gestion et informatique
V.3.1.3.Le nouveau rôle des gardiens
V.3.2.La réhabilitation : satisfaire un client
V.3.2.1.Un projet équilibré
V.3.2.2.Ecouter et convaincre
V.3.3.Réhabiliter pour améliorer l'image.
VI. Chapitre 6. La réhabilitation comme un risque dans l'appropriation de l'espace domestique
VI.1.Réactions à l'annonce des travaux.
VI.1.1.Des travaux dus et attendus.
VI.1.1.1.Pour les habitants : des travaux obligatoires.
VI.1.1.2.Pour les organismes HLM : des travaux attendus par les habitants.
VI.1.1.3.Des travaux considérés comme légitimes.
VI.1.2.Des travaux bienvenus mais redoutés.
VI.1.2.1.Des améliorations bien accueillies.
VI.1.2.2.L'appréhension d'une hausse de loyer.
VI.1.2.3.Les craintes du chantier.
VI.1.2.4.La peur de subir des dégâts.
VI.1.3.Une réhabilitation appréhendée à travers des comportements d'appropriation.
VI.2. Interventions des habitants dans la réalisation des travaux.
VI.2.1.Une situation potentiellement conflictuelle.
VI.2.1.1.Des intérêts divergents dont l'espace est l'enjeu.
VI.2.1.2.Un rapport de force déséquilibré en faveur de l'organisme HLM.
VI.2.2.Négociations en cours de chantier.
VI.2.2.1.Etre présent dans l'appartement au moment des travaux.
VI.2.2.2.De bonnes relations avec les ouvriers.
VI.2.2.3.Se montrer catégorique.
VI.2.3.Stratégies mises en œuvre.
VI.2.3.1.Détourner les règles.
VI.2.3.2.Accuser l'organisme d'intervenir avec iniquité.
VI.2.3.3.Rendre l'organisme HLM redevable.
VI.2.3.4.Ne compter que sur soi-même.
VI.3.Appropriation de l'espace domestique après réhabilitation.
VI.3.1.Effectuer de nouveaux travaux.
VI.3.1.1.Des travaux prévus avant la réhabilitation.
VI.3.1.2.Des travaux pour réparer des dégâts.
VI.3.1.3.Recommencer les travaux de réhabilitation.
VI.3.1.4.Des travaux de finition.
VI.3.2.Des bilans très personnels des opérations.
VI.3.2.1.Différentes sources de mécontentement.
VI.3.2.2.Une attitude indifférente.
VI.3.2.3.Des points de satisfaction très divers.
VII. Chapitre 7 . La réhabilitation sans grands effets sur l'appropriation de l'espace collectif
VII.1. Une faible participation à la transformation de l'espace matériel.
VII.1.1.Faiblesses des associations
VII.1.1.1.Une crise de confiance à Gennevilliers.
VII.1.1.2.Un leader désavoué à Garches.
VII.1.2.Une concertation peu reconnue par les habitants
VII.1.2.1.Une concertation-consultation pour les organismes HLM
VII.1.2.2.Une concertation-négociation pour quelques locataires
VII.1.2.3.Une concertation-information pour la majorité des locataires.
VII.1.3.Une mobilisation très faible
VII.1.3.1.De fortes contraintes
VII.1.3.2.Privilégier l'espace domestique
VII.1.3.3.Absence d'un consensus mobilisateur
VII.2.Des transformations de l'espace matériel peu significatives pour les habitants.
VII.2.1.Le portrait de Paul Eluard peu évocateur.
VII.2.1.1.Une inauguration symbolique pour la municipalité.
VII.2.1.2.Un portrait très rarement mentionné par les professionnels et les habitants.
VII.2.2Un embellissement de la résidence sans effet sur l'identité socio-spatiale
VII.2.2.1.Un embellissement reconnu et apprécié par les habitants
VII.2.2.2.Un embellissement auquel les habitants ne s'identifient pas.
VII.3.Une évolution éphémère des pratiques relationnelles à Gennevilliers.
VII.3.1.Le repas des habitants de l’immeuble Paul Eluard modifie les pratiques relationnelles
VII.3.1.1.Un repas comme une conséquence de la réhabilitation.
VII.3.1.2.Un repas organisé sur une base spatiale.
VII.3.1.3.Un repas qui crée du lien social
VII.3.2.Une évolution éphémère
VII.3.2.1.Un repas qui dépend de leaders
VII.3.2.2.De multiples formes de fuites
VII.3.3.Une réhabilitation sans effet durable sur la sociabilité.
VII.3.3.1.La réhabilitation comme une opportunité de contacts.
VII.3.3.2.Des normes relationnelles non modifiées.
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Récapitulatif des entretiens.
Grille d'entretien avec les habitants.
1. Avant la réhabilitation : conditions d’entrée dans le logement et évolution.
2. La réhabilitation : quelle stratégie.
3. L’après réhabilitation.
Illustrations.
Documents complémentaires
Règlement de l'immeuble Paul Eluard
Règlement de la résidence des Châtaigniers