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La presse multimédia
par REBILLARD Franck
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1999
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Université Lumière Lyon 2
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Table des matières
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Remerciements
Introduction : La presse multimédia.
Cadre théorique : Actualité de la spécialisation de l’information
1. Approches du rapport entre l’information spécialisée et le domaine auquel elle est consacrée
1.1. Une interdépendance croissante entre les acteurs impliqués dans la médiatisation.
1.1.1. Une médiation journalistique à deux faces.
1.1.2. Des acteurs médiatiques de plus en plus proches des acteurs du domaine décrit.
1.2. Un rapport d’interdépendance surdéterminé par une logique économique concomitante de la fragmentation sociale.
1.2.1. La structuration commerciale de l’espace communicationnel par le marketing.
1.2.2. Un rapport influencé par la publicité comme mode de financement privilégié de la presse spécialisée.
2. Perspectives de la presse spécialisée au regard de sa nouvelle diversification électronique.
2.1. Enseignements des précédentes diversifications électroniques concernant l’information spécialisée.
2.1.1. Les leçons de la diversification sur Minitel pour la presse spécialisée.
2.1.2. Réajustements du cadre théorique prenant en compte l’extension sur des supports électroniques.
2.2. La diversification sur les nouveaux supports, CD-Rom et Internet.
2.2.1. Perspectives de la presse spécialisée sur les nouveaux supports en fonction de leurs spécificités.
2.2.2. Nouveau cadre théorique pour appréhender la configuration actuelle de la presse spécialisée.
Construction de l’objet: La presse multimédia comme illustration de ces possibles mutations de l’information spécialisée
1. Spécifictés de la presse multimédia par rapport à l’évolution générale de la presse spécialisée
1.1. Une médiation reposant sur un rapport d’interdépendance de type économique très prononcé.
1.1.1. L’héritage de la médiation de la presse informatique.
1.1.2. Le multimédia comme domaine caractérisé par une implication directe des acteurs et de leurs intérêts économiques dans la médiatisation.
1.2. La presse multimédia fortement présente sur Internet et sur CD-Rom, avec des conséquences encore incertaines.
1.2.1. Une interdépendance potentiellement renforcée mais à confirmer.
1.2.2. La presse multimédia présente des dispositions facilitant sa migration vers un support multimédia mais pas forcément marchand.
2. Construction d’un modèle d’analyse approprié
2.1. Directions de recherche.
2.1.1. Problématique.
2.1.2. Hypothèses de recherche.
2.2. Méthodes et techniques d’analyse.
2.2.1. Techniques d’analyse
2.2.2. Méthode transversale comparative.
Première partie : La période des expérimentations d’inspiration cybernétique. La naissance de la presse multimédia.
Introduction première partie
Première section : La représentation, d’inspiration cybernétique, d’une transformation de la société par les N.T.I.C.
Introduction première section
1. Une attitude commune, empreinte de cyberculture.
1.1. Un même fond idéologique.
1.1.1. Le multimédia comme base de la société du futur.
1.1.2. Le multimédia comme nouveauté technique aux applications révolutionnaires pour la société.
1.1.3. De l’idéologie libertaire à l’idéologie libérale.
1.2. Un fond qui rejaillit dans la forme.
1.2.1. Le mimétisme entre l’édition imprimée et l’objet qu’elle décrit.
1.2.2. Les extensions électroniques de la presse multimédia comme expérimentations technologiques.
2. Le partage progressif de la presse multimédia en deux courants
2.1. Le courant avant-gardiste : Entre le mouvement underground et l’esthétisme branché.
2.1.1. Une représentation du multimédia très fortement imprégnée de l’idéologie-utopie de la communication.
2.1.2. Des contenants traduisant au maximum de leur possibilité cette idéologie d’inspiration cybernètique.
2.2. Le courant “ multimédia et société ” : atténuation de l’idéologie de la communication et anticipation de la presse multimédia à venir.
2.2.1. Une représentation de type journalistique des aspects concrets du multimédia.
2.2.2. Un contenant en adéquation avec cette représentation atténuée du multimédia : vers une apparence plus traditionnelle de la presse multimédia.
Concluion première section
Deuxième section : Une période d’expérimentations sur les différents types de supports
Introduction deuxième section
1. Des extensions multimédia aux dimensions différentes du magazine papier d’origine
1.1. Des dimensions du support papier accélérées par leur transposition sur le support multimédia.
1.1.1. Les revues du courant “ multimédia et société ” marquées par des transformations déjà entrevues lors de la diversification télématique.
1.1.2. Une transformation inédite de l’activité médiatique par l’exploitation des spécificités du nouveau support dans les publications du courant avant-gardiste.
1.1.3. L’utilisation commune de l’hypertextualité comme accélérateur des dimensions déjà existantes sur le support papier.
1.2. De nouvelles dimensions sur le support multimédia, éloignées de celles de la presse papier.
1.2.1. Le site Web de presse comme univers virtuel : l’expérience de Clone, magazine underground.
1.2.2. Le CD-Rom comme espace d’expression artistique pour les magazines branchés.
2. Des supports d’information uniquement électroniques, aux dimensions spécifiques et complémentaires de la presse papier.
2.1. Un premier type de publications électroniques se démarquant peu des tentatives de diversification de la presse papier.
2.1.1. Des dimensions de l’activité médiatique assez semblables à celles des extensions électroniques des magazines papier.
2.1.2. Une nouvelle dimension constante de ces revues électroniques : l’internationalisation.
2.2. Des supports électroniques d’information à vocation autant pratique que journalistique.
2.2.1. Les “ trucs et astuces ” des sites amateurs, ou les conseils pratiques pour profiter à plein d’un nouveau loisir.
2.2.2. Des sites Web d’initiation technique aux nouvelles applications, ou la formation par l’information.
2.2.3. Des sites Web destinés à des informations professionnelles spécialisées, ou la veille technologique sur le secteur du multimédia.
Conclusion deuxième section
Troisième section : L’ajout des spécificités de la presse multimédia aux facteurs habituels de la naissance des spécialités médiatiques
Introduction troisième section
1. Une interdépendance souvent forte lors de la naissance d’une spécialité médiatique, exacerbée pour la presse multimédia
1.1. Une proximité entre lecteur et rédacteur accrue dans le cas de la presse multimédia.
1.1.1. Les facteurs habituels de proximité entre rédacteurs et lecteurs, aisément repérables dans la presse multimédia.
1.1.2. Un rapprochement entre acteurs médiatiques et acteurs du domaine renforcé jusqu’à la confusion sur les extensions multimédias.
1.2. Une collaboration des différents acteurs pour faire coexister nouveau domaine et spécialité médiatique correspondante, renouvelée par la presse multimédia.
1.2.1. Une description enthousiaste tenant aux classiques intérêts communs des acteurs, accrue par l’implication de la presse dans le domaine du multimédia.
1.2.2. Une collaboration entre les différents acteurs facilitée par la forte diversification électronique de la presse multimédia.
2. Une nouvelle spécialité médiatique très faiblement influencée par les critères économiques
2.1. Des choix rédactionnels parfois très éloignés des préoccupations d’ordre économique.
2.1.1. Le poids limité des intérêts économiques sur la médiatisation d’un domaine pourtant sujet aux visées stratégiques de ses acteurs.
2.1.2. Une diversification électronique altérée par la tradition de gratuité de l’information sur l’Internet.
2.2. La non-rentabilité de l’activité médiatique lors de l’apparition d’une nouvelle spécialité dans la presse écrite, encore plus marquée pour la presse multimédia.
2.2.1. Une rentabilité à long terme et visant plutôt l’activité dans le secteur multimédia que l’activité médiatique elle-même.
2.2.2. Une rentabilité de l’activité médiatique encore moins recherchée sur les nombreuses extensions électroniques de la presse multimédia.
Conclusion troisième section
Conclusion première partie
Deuxième partie : Le recentrage autour d’une configuration journalistique plus traditionnelle. La maturation de la presse multimédia
Introduction deuxième partie
Première section : Une description centrée sur l’internet, à partir des approches classiques de la presse spécialisée
Introduction première section
1. Des approches journalistiques variées plaçant toutes l’internet au centre de leur représentation du multimédia
1.1. Une multiplication des approches pour aborder des sujets pourtant communs.
1.1.1. L’éclatement des approches journalistiques du domaine du multimédia.
1.1.2. Des sujets récurrents et pour la plupart similaires.
1.2. Une représentation resserrée du domaine du multimédia autour de l’Internet et précisément du Web.
1.2.1. Des nouvelles technologies en général à l’Internet en particulier.
1.2.2. De l’Internet au Web.
2. La maturation de la presse multimédia ou sa division en deux approches principales : loisir et professionnelle
2.1. Les deux voies de l’approche loisir du multimédia.
2.1.1. Le guide de l’Internet, comme mode d’entrée facilité dans la presse multimédia pour les nouveaux acteurs.
2.1.2. L’attrait pour une pratique ludique et culturelle du Web, hérité de la période précédente et annonciateur de la phase suivante.
2.2. Les deux voies de l’approche professionnelle du multimédia.
2.2.1. Des revues dans la droite ligne de la presse magazine professionnelle classique.
2.2.2. Des magazines professionnels sur le multimédia, aux mains d’acteurs encore largement imprégnés de la période cyber et précurseurs pour la période à venir.
Conclusion première section
Deuxième section : Une diversification conventionnelle, via une information-Connaissance à visée pratique sur les supports électroniques
Introduction deuxième section
1. Une diversification harmonieuse : une information-Connaissance à visée pratique sur l’électronique, complémentaire de l’imprimé
1.1. Le développement sur le support électronique d’une information-connaissance à visée pratique, affectant trois dimensions de la presse multimédia.
1.1.1. L’accès à une information plus pratique.
1.1.2. De la documentation à l’assistance pratique.
1.1.3. Le caractère utile de la connaissance du domaine.
1.2. L’intégration de l’information-connaissance à visée pratique dans une parfaite complémentarité entre des supports unifiés autour du modèle du magazine papier.
1.2.1. Une même apparence.
1.2.2. Un même fond(s).
2. Une diversification commune, mais de nature différente entre les approches « loisirs » et « professionnelle »
2.1. L’approche loisir ou l’orientation plus directe dans le domaine sur le support électronique, mais sans réelle volonté d’agencement par rapport au support papier.
2.1.1. L’orientation plus directe dans le domaine grâce aux extensions électroniques.
2.1.2. Une complémentarité sans surprise avec les magazines papier.
2.2. L’approche professionnelle ou la graduation ordonnée de l’information-connaissance à visée pratique pour l’entreprise en fonction de chacun des supports.
2.2.1. Un stade encore plus élevé de l’information-connaissance à visée pratique pour l’entreprise, sur les extensions électroniques.
2.2.2. Une articulation très élaborée entre chacun des supports.
Conclusion deuxième section
Troisième section : Le retour à un mode de fonctionnement médiatique plus classique
Introduction troisième section
1. Une interdépendance inégalement maitrisée selon l’approche : mieux dans les publications professionnelles que dans le loisir
1.1. Des acteurs médiatiques traditionnels attirés par les nouveaux lecteurs : l’approche professionnelle et son unification journalistique.
1.1.1. L’approche professionnelle ou une interdépendance entre les acteurs naturelle dans le cas de la presse spécialisée.
1.1.2. L’approche professionnelle ou l’unification journalistique dans la diversification électronique autour de l’information-connaissance à visée pratique.
1.2. Des acteurs médiatiques à la limite du domaine, attirés par les nouveaux lecteurs et les Internautes potentiels : l’approche loisir et son insistance sur le Web.
1.2.1. Le multimédia traité sous l’angle de sélection de sites Web car les acteurs médiatiques de l’approche loisir sont également engagés dans le domaine.
1.2.2. Une extension naturellement privilégiée sur le support Web, thème de ces publications et secteur dans lequel sont engagés leurs acteurs.
2. Une logique économique de la médiatisation redevenue dominante, voire davantage sur les extensions électroniques
2.1. Le retour d’un souci de rentabilité.
2.1.1. Des positionnements éditoriaux engendrés par des impératifs de rentabilité.
2.1.2. L’information-connaissance à visée pratique sur les extensions électroniques comme la plus rentable des dimensions pouvant y être développées.
2.2. Une participation grandissante des acteurs économique du domaine au niveau du contenu.
2.2.1. Les magazines servant directement les intérêts, dans le domaine du multimédia resserré à l’Internet, des acteurs auxquels ils appartiennent.
2.2.2. Le recours aux acteurs économiques du domaine pour assurer l’information-connaissance à visée pratique sur les extensions électroniques.
Conclusion troisième section
Conclusion deuxième partie
Troisième partie : Emergence d’un modèle généraliste spéifique. La stabilisation de la presse multimédia
Introduction troisième partie
Première section : Un modèle généraliste, unissant les aspects professionnels et loisirs dans une approche techno-pratique liée à la créativité.
Introduction première section
1. La créativité comme thème fédérateur soumettant les aspects loisirs et professionnels à une approche techno-pratique.
1.1. La disparition progressive de la dichotomie entre presse loisir et presse professionnelle dans l’information consacrée au multimédia.
1.1.1. La fin des magazines consacrés exclusivement à une seule approche, en même temps que de l’initiation à l’Internet.
1.1.2. Des exceptions, néanmoins intégrées à la nouvelle donne généraliste de la presse multimédia.
1.2. L’avènement du modèle généraliste, ou l’unification des catégories loisirs et professionnelles, grâce à une approche technique centrée sur la pratique de créativité.
1.2.1. Le remplacement des catégories professionnelles et loisirs par une fusion entre public et privé grâce à la technique.
1.2.2. Le rôle clé de la créativité ou le retour du cyber dans la jonction entre loisir et professionnel.
2. Les deux figures de proue du modèle généraliste.
2.1. Netsurf ou la figure de l’entrepreneur.
2.1.1. Netsurf, la revue de l’entrepreneur moderne.
2.1.2. L’élargissement de la vision de l’entrepreneur à celle de tout créateur.
2.2. .net ou la figure de l’amateur.
2.2.1. Un amateur de plus en plus technicien pour pouvoir satisfaire sa passion.
2.2.2. La création de sites Web, où quand le hobby devient un métier.
Conclusion première section
Deuxième section : La stabilisation des extensions électroniques autour d’une dimension d’intermédiation, couplée avec les magazines papier.
Introduction deuxième section
1. La stabilisation de la diversification de la presse multimédia : une intermédiation électronique en lien avec les éditions papier.
1.1. Une intermédiation double grâce aux extensions électroniques.
1.1.1. L’extension électronique comme interface de navigation.
1.1.2. L’extension électronique comme plate-forme pour la création.
1.2. Une intermédiation rattachée au magazine papier avec une stabilisation de la répartition entre les supports.
1.2.1. Le magazine papier comme programme pour la navigation, ou le recul permis par l’imprimé.
1.2.2. Le magazine papier comme support pédagogique pour la création ou l’explication dans le texte.
2. L’évolution progressive et en parallèle des deux publications parvenues à cette stabilisation de la diversification.
2.1. De la stricte séparation entre “ pépites ” logicielles et “ ballades ” sur le CD-Rom à leur unification dans la partie “ Créer ” et l’ouverture vers la navigation : le cas de Netsurf.
2.1.1. La préférence initiale pour la fourniture d’outils professionnels plutôt que pour le surf.
2.1.2. Le rééquilibrage grâce à la création et l’ajout d’une dimension de navigation-plaisir.
2.2. Des “ utilitaires ” pour une navigation “ plaisir ”, à l’ajout d’outils de création pour imiter les sites Web “ de référence ” : le cas de .net.
2.2.1. Une relative indécision initiale, entre on-line et off-line, vite réorientée vers la navigation.
2.2.2. La mise en avant de la création ou l’éloignement du seul loisir pour une tournure mixte.
Conclusion deuxième section
Troisième section : La stabilisation autour d’un mode de médiatisation classique, affecté à sa marge par les nouveaux supports électroniques.
Introduction troisieme section
1. Une interdépendance globalement maîtrisée, malgré son léger renforcement par les nouveaux supports électroniques.
1.1. Une autonomie des acteurs médiatiques conforme à celle en vigueur dans la presse spécialisée, due à leur moindre implication dans le domaine
1.1.1. Des publications sous l’influence de groupes de presse les considérant comme des supports médiatiques à part entière, mettant de côté leurs velléités dans le domaine.
1.1.2. Des relations sans ambiguïté entre acteurs médiatiques et acteurs du domaine, au profit d’un travail journalistique plus classique.
1.2. Une interdépendance toutefois augmentée à la marge par les nouveaux supports électroniques.
1.2.1. Les supports électroniques comme nouveaux moyens professionnels utilisés par les journalistes, pour intensifier leurs relations avec les acteurs du domaine.
1.2.2. Les extensions électroniques de la publication comme intermédiation externalisant la production médiatique vers les acteurs du domaine.
2. Une médiatisation fondée sur une logique économique habituelle, tentant d’intégrer les nouveaux supports.
2.1. Une médiatisation à la logique économique de plus en plus stabilisée, par son inscription dans le modèle canonique de la presse spécialisée grand public.
2.1.1. Une recherche de rentabilité typique de la presse magazine.
2.1.2. L’utilisation de méthodes d’ordre économique pour répondre au double marché des lecteurs et des annonceurs.
2.2. Une logique économique de la médiatisation cernant également les extensions électroniques, inégalement intégrées à ce mode de fonctionnement traditionnel.
2.2.1. Le choix du CD-Rom, payant par sa vente couplée au magazine papier, plutôt que de l’extension sur un site Web non rétribuable.
2.2.2. Des extensions électroniques pas encore complètement investies par la logique économique, en raison de leur intermédiation vers des acteurs non marchands.
Conclusion troisième section
Conclusion troisième partie
Conclusion
Une médiatisation reposant sur une interdépendance accrue entre les acteurs et une logique économique en suspens
Le resserrement des liens entre les acteurs participant au processus de médiatisation.
Une logique économique à plusieurs vitesses.
L’hypertextualité comme dispositif central de la presse sur cd-rom et sur l’internet.
Le caractère ambivalent de la consultation hypertextuelle de l’information de presse.
L’hypertextualité comme ouverture de la publication vers l’extérieur.
Bibliographie
Annexes
Extraits des publications
Retranscription des échanges avec les journalistes
Entretien avec Yann BOUTIN, rédacteur et concepteur du site Web de CD-Rama : 27/03/1998.
Courrier électronique de Julie COUSIN, rédactrice à Hachette.net : 20/04/1998.
Echange par courrier électronique avec Christophe DUBUIT, rédacteur en chef de Netsurf : 19/03/1998.
Entretien avec Christophe DUBUIT, rédacteur en chef de Netsurf : 26/03/1998.
Echange par courrier électronique avec Corinne EJEIL, rédactrice en chef de L’Internet + : 03/07/1998 (1er courrier).
Echange par courrier électronique avec Corinne EJEIL, rédactrice en chef de L’Internet + : 08/07/1998 (2ème courrier).
Entretien avec Gilles FOUCHARD, rédacteur en chef de Internet - Le Guide du Web : 26/03/1998.
Entretien avec Olivier MAGNAN, rédacteur en chef de .net : 25/03/1998.
Entretien avec Florence ROY et Philippe BLANCHARD, rédaction en chef collégiale (avec Francis DESCHAMPS ) de Digipresse, collaborateurs d’Internet Reporter : 27/03/1998.
Entretien avec Luc SAINT ELIE, rédacteur en chef adjoint de Webmaster : 26/03/1998.
Entretien téléphonique avec Luc SOHM, rédacteur en chef de Ariane : 13/03/1998.
Echange par courrier électronique avec Jérôme THOREL, rédacteur en chef de Planète Internet 20/03/1998 (1er courrier).
Echange par courrier électronique avec Jérôme THOREL, rédacteur en chef de Planète Internet 23/03/1998 (2ème courrier).
Entretien avec Stéphane VIOSSAT, rédacteur à Netsurf, ancien rédacteur en chef adjoint d’Univers Interactif : 26/03/1998.
Synthèse de l’enquête auprès des lecteurs.
Conditions de l’enquête :
Modèle du questionnaire utilisé pour l’enquête :
Résultats de l’enquête :
Diffusion et tirage des publications.
Propriétaires des revues consacrées au multimédia (complément du tableau 1, p. 59.)
Dates et nombre de parutions (complément du tableau 3, p. 75.)
